Bonjouuuuuuur, tout le moooonde !!! Nouvelle fic ! Eh oui, je sais en faire des sérieuses. Et celle çi sera serieux de chez serieux ! Lisez, et commentez svp 3 J'y ai passé beaucoup de temps.

Envy: tu veux dire... entre le pot de nutella que tu as vidé (il faisait 750g) et les litres de Tropicana que t'as bu...

Moi: HUUUM HUUUUUM ne l'ecoutez pas, c'est un usurpateur

Envy: usurpateur ... ? --"

Moi: oui, bon, allez, Enjoyez bien uu


Le calme et paisible village de Resembool. Sa jolie petite gare, ses champs pittoresques, les habitants, flanant dans les rues pavées. C'était un beau petit village, il avait son marché, où tout le voisinage faisait ses courses, mais aussi le bâtiment administratif, l'école, l'église, les... les clés à molettes volantes ? Winry Rockbell, jeune femme de dix neuf ans, fronça les sourcils, attrapa un autre outil et s'apprêta à repasser à l'offensive. Alphonse Elric l'arrêta, essayant de la calmer. Winry laissa échapper un "nabot". C'était le nabot de trop. Edward Elric gesticula de partout, balançant les bras, les jambes, et déversa un flot de juron que les bonnes manières m'interdisent de retranscrire.

- Ne m'appelles pas PETIT ! hurla celui-çi.
- Quand même, avoue que se faire dépasser en taille par son petit frère, c'est un comble, se moqua la mécanicienne.
- Grand frère, ne te met pas en colère contre Winry... tu sais bien qu'elle ne dit pas ça serieusement, murmura Alphonse, souriant.

Winry donna une claque dans le dos d'Edward, qui, secoué par le choc, trébucha. Il dût se rattaper à son épaule pour rétablir son équilibre.

- Mais ouais, tu sais bien que j't'adore, Fullmetal Nabot ! s'éxclama la jeune femme.
- Mais je ne suis pas si petit ! C'est mes vêtement qui donnent cette impression, se pleint Edward.

Il s'assit sur une chaise, enfouit sa tête dans ses bras et grommela un "petit, j't'en ferai voir, des petits moi..."

- Edward, ça ne se fait pas de bouder ! s'écria Alphonse.
- Je vais dehors, dit il en se levant.

Il n'adressa pas un seul regard à ses amis, ouvrit la porte d'un geste brusque puis sortit dans la fraicheur de l'automne.

Le soleil commençait à se coucher, diffusant une lumière timide par la fenêtre de la cuisine des Rockbell. Alphonse et Winry patientaient dans le silence. Alphone releva la tête :

- Winry..., commença Alphonse.

- C'est pas grave, j'ai l'habitude,

- Oui, mais... je sais bien que tu ne penses pas tout ce que tu dis. En plus depuis qu'on est revenu tu ne fais que des gaffes quand grand frère est là. A dix-neuf ans on espère un comportement plus mature non ?

Winry rougit instantanément, elle baissa la tête et tenta en vain de cacher son visage.

- C-comment tu peut savoir ça, hein ? bredouilla t'elle, gênée.

- J'ai touché juste ? demanda le jeune homme avec un sourire.

- N-non ! Roh et puis zut ! Vas le chercher ou on ne le reverra pas avant ce soir ! ordonna t'elle.

- Oui...

Alphonse s'éxecuta. Il traversa tout le village, sans trouver son frère. Il finit par gravir une petite colline, et y trouva Edward allongé dans l'herbe, les yeux clos. Il profitait des derniers rayons du soleil.

- Ed ! Viens, rentre à la maison ! s'écria Alphonse.

- Non !

Alphonse s'approcha, et prononça très lentement:

- Winry se fait BEAUCOUP de souci pour toi...

Ed tourna sa tête vivement et demanda, les yeux pleins d'espoir :

- C'est vrai ?

Il observa son frère un instant. Celui çi le regarda sérieusement, puis il esquissa un sourire, et enfin il s'écroula de rire dans l'herbe.

- hahahahaaaa !! Tu y a cru !!! s'exlama t'il.

- Je ne trouve pas ça très drôle ! rétorqua Edward.

Le plus jeune retrouva petit à petit son souffle. Il regarda son frère avec sincerité, se releva et lui dit :

- Plus sérieusement, si tu ne te dépêches pas, elle va vraiment "beaucoup" s'inquiéter.

Edward se leva et mis ces mains dans ses poches.

- Je suppose que je n'ai pas le choix. On y va ? demanda-t'il avec désinvolture.

- Oui !

Il remontèrent l'allée, en direction de la maison de Pinako. Le soleil venait de se coucher. Alors que le toit de la maison était en vue, Alphonse aperçut au loin une silhouette, sur le sol. Curieux, il accéléra le pas.

- Al, eh, Al ! Qu'est ce qu'il y a ?

- Quelqu'un sur la route !

- Quoi ?

Edward n'eut pas le droit à des explications plus approfondies, Al courait déjà. Il s'accroupit, vite suivi de son frère aîné. Au sol se trouvait une simple couverture bleue, salie. On aurait dit qu'elle avait été trainée dans la boue, puis jetée sur la route sans plus de grâce.

- Al, je crois que tu t'es trompé, ce n'est qu'une couverture, dit Edward en reprenant la route.

- Oui...

Soudain, l'amas de tissus s'agita frénétiquement. Alphonse écarta en hâte les pans de la couverture, cherchant ce qui pouvait bien bouger ainsi. Quelle ne fut pas sa surprise quand il découvrit une jeune fille très peu vêtue, d'une pâleur fantomatique, gisant sur le sol. Elle était trempée de transpiration et secouée de spasmes.

- Grand frère !

- Quoi ? soupira t'il.

"On ne va pas aller très loin avec ça..." pensa Alphonse. Il enveloppa la jeune fille et prit l'ensemble dans ses bras.

- Il y a quelqu'un la dedans, et il ne va pas bien ! s'exclama le cadet.

- Comment ça, quelqu'un ? Eh, attends !

Alphonse était déjà loin devant. Il courait à vive allure malgré le poids du corps, et arriva en peu de temps dans le salon des Rockbell. Winry, alertée par le bruit, déscendit de sa chambre, inquiète.

- Qu'est ce qui se passe ici ? demanda t'elle.

Elle aperçut la couverture qu'Alphonse avait posé sur le canapé. Edward arriva, il ne savait pas ce qui se passait, et cela l'énervait au plus haut point.

- Alphonse, qu'est ce qui se passe, s'inquiéta t'il.

- Il se passe qu'il y a une fille dans cette couverture ! répliqua t'il avec agacement.

Il tata son pouls.

- Elle ne va pas bien. Winry, apporte de quoi la changer s'il te plait !

- Quoi, en plus elle est nue ?

- S'il te plait, Winry ! Insista t'il.

Elle s'éxecuta et disparu dans les escaliers. Edward se sentait inutile.

- Je vais faire bouillir de l'eau et lui apporter une bouillote, dit-il.

Il pénétra dans la cuisine, et fit chauffer de l'eau dans une casserole. Alors que l'eau frétillait, il pensait à Alphonse. Il avait toujours été très gentil, généreux. Il aidait nimporte qui. Là était le problème. On ne savait pas qui était cette fille, ses intentions. Peut-être était elle dangereuse, ou porteuse d'une maladie grave. Peut être allait-elle s'attaquer à son frère. Inquiet, il regardait par l'entrebaillement de la porte. De là, il pouvait surveiller son frère. Winry arriva en trombe.

- Désolée Al, je n'ai trouvé que cette robe.

- Ce n'est pas grave. Elle a de la fièvre...

Alphonse se leva et entra dans la cuisine. Les deux frères échangèrent un regard, l'un confiant, l'autre empli de doutes.

- Grand frère, ne t'en fais pas, le rassura Alphonse d'un sourire.

- C'est que... Cette fille, on ne la connait pas. Alphonse, tu es trop gentil.

- Elle avait besoin d'aide. Elle avait froid, tu l'as vu toi même. J'ai cru qu'elle allait mourir.

Le cadet mouilla une serviette qu'il roula sur elle même puis s'apprêta à sortir. Il dût s'arrêter, la jeune fille avait passé sa tête par la porte. Elle s'avança, emmitouflée dans la couette, timide. Son visage témoignait d'un état de faiblesse important et d'une grande fatigue. Au moindre de ses mouvements, la couette découvrait une jambe, une épaule.

- Excusez-moi... Où suis-je ? demanda t'elle d'une voix à peine audible.

Edward et Alphonse ne répondirent pas tout de suite. Elle reposa sa question.

- Tu es en sécurité, répondit Edward en s'efforçant de ne pas regarder son corps à moitié dénudé. On ne te fera pas de mal.

Alphonse s'approcha. Elle eut un mouvement de recul et le regardait avec inquiétude. Il lui répondit par un sourire chaleureux :

- Allez, va te rallonger, je t'apporte de quoi te soigner.

Ses traits se radoucirent, et elle retourna dans le salon, suivi d'Alphonse. Il lui désigna la robe et s'en retourna dans la cuisine pour lui laisser un peu d'intimité.

- Alphonse, commença Edward, alors que son frère entrait dans la cuisine. J'ai une impression de déjà vu. Un très mauvais pressentiment.

- Et que pressens-tu ? demanda t'il.

- Je pressens des ennuis.

Alphonse savait qu'il ne devait pas négliger l'avis de son frère. Mais ils furent stoppés dans leurs pensées par un bruit sourd. Ils se précipitèrent dans le salon, et y trouvèrent la jeune fille au sol, secouée de spasmes. Ils s'approchèrent. La jeune fille était d'une pâleur fantomatique, et ses lèvres viraient au bleu.

- Alphonse, prends la couette et frottes la !

- Quoi ???

- Pas le temps de discuter ! Je vais chercher la bouilloire !

Peu de temps après, la crise était passée, aussi vite qu'elle était venue. La fille dormait paisiblement dans les bras d'Alphonse, assis sur le canapé. Gêné, il n'osait pas bouger de peur de la réveiller. Winry les avait rejoint.

- Grand frère, tu me dit qu'il faudrait que je fasse attention, mais tu aurais dû voir ta tête tout à l'heure, se moqua le cadet.

- Oh, ça va hein...

Ils allaient se disputer, mais c'est à ce moment précis que l'inconnue ouvrit les yeux.

- Alphonse ? murmura t'elle. C'est joli comme nom...

- Comment t'appelles-tu ? demanda Edward.
- Je ne sais pas...

- As-tu de la famille, des parents ?

- Je ne sais pas... répondit-elle dans un hoquement.

Ses mains se crispèrent. Elle s'agrippa à Alphonse.

- Je ne sais rien...

Et elle fondit en larmes. Les deux frères échangèrent un regard. Ils pensaient à la même chose.

- J'ai déjà entendu ça... murmura Edward plus pour lui même.


Woooooot !! Fini !! ouuuuf, enfin. J'ai vraiment mit du temps à l'écrire. S'il vous plait, commentez. Bon, mauvais, courts, longs, peu m'importe, je veux en faire ma meilleure fanfic 3

Je compte sur vous ;D

Envy: C'est du bourrage de crâne que tu leur fais, là...

Hughes: Regarde ma petite elysia, regarde, elle est mignonne hein ???

Moi: Quand on parle de bourrage de crâne... Allez, au prochain chapitre !!! tire sur une corde et ferme le rideau