Peu après que Seigaku ait gagné la demi-finale des nationales, contre Shitenhouji, et qu'ils eurent fini leur soirées yakiniku qui rassemblait Seigaku, Hyotei, Shitenhouji, Higachuu et Rokkaku.

Avec avoir eu la chance de se tuer aux Unui juices, aux tonnes de morceaux de viendes qu'ils avaient du avaler, ils étaient tous - même Tezuka - «Hors service».

Leurs états ne s'étaient pas du tout amélioré, il avaitn même empiré, quand les entraineurs de ces clubs, les avaient trouvé, et avaient vu la note...

Les joueurs de tennis déguerpir rapidement -très rapidement- sous les menaces des entraineurs.

L'équipe de Shiraishi n'habitaient pas a Tokyo et avaient tous un sens de l'orientation disons, hum, limité.

Même le Saiki Kampatsu No Kiwami de Chitose ne pouvait rien y faire...

Ces quelques joueurs étaient donc, en plein milieu de la nuit, en train de chercher leur gîte pommé en plein Tokyo, quand Fuji proposa de les y guider, ayant soudainement un élan de générosité, ou plutôt de pitié.

Un peu plus tard, ils avaient enfin réussi a rejoindre leur maison, non sans avoir réuusi d'empecher Kintarou de ceder aux provocations d'ados assez fou pour oser le critiquer, et d'essuyer une crise de nerf de Koharu qui se pouillait -encore- avec Hitoji.

Fuji se creusait la cervelle pour essayer de trouver une excuse pour fuir cette bande de... De Bakas!, quand, quelle coincidence, la pluie se mit à tomber à verse, obligeant le Seigaku à rester, pour son plus «grand» plaisir.

Donc, il finit coinçé par terre, entre le matelas de Kuranosuke et le mur.

«Hitouji! Dégage de mon matelas!

-Koharuuu!

-Ne me touche pas!

-Koharuuu!

-Tch! Tch!»

Le «copieur» de Shitenhouji se prit un oreiller dans la figure, et le relença sur Kenya au lieu de Koharu, qui le lança sur Kintarou, qui fit vite faite de participer ç cette bataille d'oreillers en lançant des coussins à quicuonque l'approchait.

«Kin-chan! Tu veux mourir?

-Non, non, je sui trop jeune...Arrrgh...Non...Pas la main emposonnée!!

-Alors retourne dans ton lit et dors!

-Haiii!»

Le calme revnu, la lumière éteinte, Shiraishi se replaça sur son matles, écrasant un peu plus Fuji.

Une heure après, celui-ci n'arrivaot toujours pas à domir, compressé contre le mur.

S'il ne finissait pas plat comme une crêpe au petit matin, c'était que dieu existait.

Soudain, il sentit un bras l'entourer et le mettre sur un matelas.

«T'arrives pas à dormir?

-Comme si je pouvais, je suis en train de me faire écrabouiller.

-Pourquoi tu l'as pas dit?

-...»

Fuji s'installa sur le bord du matelas et commença à compter les moutons...

Au 167eme, Il sentit une main se premener sur son torse, le faisant frissoner.

Shiraishi -ça ne pouvait être que lui- lui prit le menton et l'attira vers lui pour l'embrasser.

Baiser qui se prolongea.

«Hey Shiraishi...»

Ils s'interrompirent.

«Qu'est-ce qu'ils y a, Kin-chan?

-J'ai faiiim!

-Tu crois vraiment que c'est l'heure pour manger?

-Mais j'ai faiiim!

-kin-chan!

-Bon, bon d'accord, je vais dormir...»

Grummble! «grognement de ventre»

«Shiraishiiii!...»

Le capitaine soupira:

«va dans la cuisine, je te rejoins.»

Il enleva sa main du ventre de Fuji et parti rejoindre le rookie de son équipe.

A son retourn Fuji s'était endormi? Il s'installa en le prenant dans ses bras et s'emdormit comme une souche.

«Ils sont pas mignons!

-Hey Chitose, j'ai faiiim!

-On devrait faire pareils qu'eux, Koharu.

-Lache-moi Hitoji!

-Dépeche-toi de les reveiller Chitose, j'ai faiiim!

-Oui, oui...»

L'ancien joueur de Kyuushu reveilla fuji et Kuranosuke, qui s'étaient collés au cours de la nuit.

Le Seigaku se dépétra des bras de l'autre joueur, tous les deux encore sonnés, et Fuji se dépécha de déjeuner et pertir sous les taquineries des autre joueurs.