Titre : La boite de chocolat
Auteur : Cecilia Cornwell
Personnages/Pairing :Théodore Nott/Daphné Greengrass. Apparition d'Alexander (OC), fils adoptif de Théodore.
Rating : PG
Nombre de mots : 300
Disclaimer : tout appartient à J.K. Rowling
A propos du titre : cf ci-dessous. 'Forrest Gump', film de Robert Zemeckis (1994), avec Tom Hanks, Sally Field, Gary Sinise et Robin Wright-Penn.
Note : réponse au défi de la communauté HP Het. Défi '300 mots et puis c'est tout !'. Le principe : 3 vignettes de 100 mots, commençant par 'C'était... C'est... Ce sera...'
Note 2 : Cadeau pour Isil ! *câlin* Le pairing m'a tellement inspirée que j'en ai écrit plusieurs versions. Ça mériterait même une fic entière en réalité... *pensive* Voici la version inspirée par Papotus_Sempra (communauté LJ de RPG sur Harry Potter).
« Maman disait toujours, la vie c'est comme une boîte de chocolat, on ne sait jamais sur quoi on va tomber » - Forrest Gump
La boîte de chocolat
C'était un choc, à chaque fois.
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Elle et lui ?
Elle, avait longuement flirté avec Adrian Pucey. Las, trop de piquant de part et d'autre. Quelques tentatives diverses, autant d'échecs.
Lui, avait laissé partir Blaise, toujours affamé de nouveautés. Sa bien-aimée solitude à nouveau. Ou plutôt, Alexander.
A qui Théodore décréta qu'il fallait une mère. Un prétexte comme un autre pour proposer le mariage à Daphné. Elle refusa, il n'insista pas.
Jusqu'au jour où ce fut elle qui lui proposa de l'épouser. S'il le désirait toujours. Alors ?
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Un choc à chaque fois, même pour elle : Lady Daphné Nott.
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C'est un choc lorsque pour leur premier anniversaire de mariage Théodore lui propose le divorce.
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Lui qui a toujours fustigé la parodie que Draco et Astoria jouent depuis des années refuse de la rendre malheureuse, elle qui a toujours été à ses côtés, fut-ce pour l'asticoter, elle qui a signé pour être la mère de son fils, rien d'autre, elle qui est une fille bien, et qui s'en est toujours sortie sans lui, n'est-ce pas ?
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C'est Alexander qui, du haut de ses sept ans, vient prendre sa maman dans ses bras et la supplier tout bas d'arrêter de pleurer.
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Ce sera un choc : ces trois petits mots murmurés sur l'oreiller parmi les longues mèches dorées... Et pour toute réponse un long baiser troublé, troublant. Finalement.
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Le temps passera et ils seront toujours là tous les deux, et Alexander avec eux. Tous les trois.
A s'apprivoiser, à construire ensemble, à avancer côte à côte. A s'aimer.
Pourquoi elle, pourquoi lui, pourquoi non, pourquoi oui, qu'importe !
Elle et lui, et leur fils.
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Elle continuera d'avoir peur parfois d'avoir fait le mauvais choix – alors il la serrera amoureusement tout contre lui, tout contre... Ou peut-être le bon pour une fois.
Votre avis ? Un autre sur le même couple très vite. ^^