Disclaimer : Tous les personnages appartiennent aux créateurs de la série et à L. J. Smith.
Rating : K+ pour l'instant.
Couple : Klaus/Caroline.
Playlist du chapitre : Trading Yesterday - Love Song Requiem | Adele - Turning Tables | 3 Doors Down - Here Without You | Lana Del Rey - Dark Paradise.
Note de l'auteur : Toute la fiction prendra place après l'épisode 3x20 et aucun des prochains épisodes ne sera tenu en compte. Je tiens à préciser que je continue ma fiction "Tout commence par un baiser", dont le prochain chapitre est presque terminé.
Chapitre 1 : Adieux
« On se dit au revoir quand on espère bien qu'on ne se reverra jamais, et on se revoit volontiers quand on s'est dit adieu. » - Sacha Guitry
~ POV Caroline ~
Il partait.
Il m'avait fallut tellement de temps pour réaliser ce que le départ de Klaus impliquait. Je ne reverrais plus jamais son visage. Je ne retrouverais plus jamais ses cadeaux sur mon lit. Je n'entendrais plus jamais sa voix, ses sweetheart et ses love. Il n'essaierait plus jamais de me séduire. Comment pouvais-je ressentir de la peine à cette idée ? J'avais Tyler. Je l'aimais. Il m'aimait. Et si Klaus s'en allait, il ne mourrait pas. Tout était parfait, comme je l'avais toujours espéré.
N'est-ce pas ?
Mon cœur se serrait quand je repensais à notre danse. Notre dernière danse. Je ne pus retenir la larme qui coula sur ma joue et alla s'écraser sur mon oreiller. Pourquoi la seule personne qui, au premier abord, avait su voir autre chose en moi qu'une fille superficielle devait être l'hybride machiavélique qui avait détruit nos vies ? Et si Tyler avait raison ? Si je m'étais, malgré moi, malgré tous mes efforts, rapprochée de lui ? Je secouai la tête à cette idée et m'enfouis sur ma couverture. Je ne devais pas ressentir ce genre de chose. J'étais juste perdue, troublée par le retour de garçon que j'aimais. Il n'y avait rien de plus.
N'est-ce pas ?
Je me levai d'un coup et allai jusqu'à la salle de bain. Je mis rapidement les pieds dans ma douche et laissai couler l'eau sur mon corps, espérant qu'elle emmènerait toutes mes questions avec elle, une bonne fois pour toute. Le fait que je ressente quelque chose pour Klaus était littéralement impensable. Rien que le fait que j'ai envisagé que ce soit le cas était impensable. Premièrement, j'avais un petit ami. Deuxièmement, les Originaux n'avaient pas de cœur, pas de sentiments. Troisièmement, et bien, c'était Klaus, bon sang ! Certes, il était séduisant, mais... Non. Il n'était pas "séduisant". Il était...
« Rah ! » grognai-je en laissant échapper des larmes de rage.
Je me séchai, m'habillai, et me préparai en vitesse. Je devais oublier tout ça. Il ne s'était rien passé. Point. Du moins, il ne s'était rien passé qui vaille le coup que je me torture ainsi. Il m'était arrivé, dans de très rares cas d'apprécier sa présence. J'avais, parfois, espérer continuer ma discussion avec lui. J'avais, une fois, voulu qu'il reste avec moi plus longtemps. Mais l'histoire s'arrêtait là. Et je refusais de la laisser aller plus loin. Cela aurait été une pure folie. Je plaquai mes mains sur mes tempes pour m'empêcher de penser. Pourquoi ne n'arrêtait-il pas de me hanter ? Son départ devait être lieu de réjouissances. Il ne ferait plus jamais de mal autour de nous. C'était la plus belle chose qui était arrivée depuis longtemps. Je fermai les yeux et essayai de me résonner mentalement. Sans succès. Je ne parvenais pas à effacer le vide qui emplissait mon corps à ce moment. Imperceptiblement, il m'avait offert la possibilité de partir avec lui. Et je l'avais repoussé une fois de plus. J'avais fait la seule chose juste que je pouvais faire. Le repousser. Ce n'était pas comme s'il pouvait réellement tenir à moi.
N'est-ce pas ?
Quelqu'un sonna à la porte, me faisant sursauter. J'hésitai, debout dans ma chambre. Je n'avais envie de voir personne. Surtout pas lui. Mais la personne qui était sur le seuil avait sonné. Cela ne pouvait donc pas être...
« Klaus ? » murmurai-je quand je tournai finalement la poignée pour ouvrir.
Je fis involontairement un pas en arrière, sans m'autoriser à respirer. Que voulait-il ? Je pensais qu'il devait s'en aller.
« Surprise ? » demanda-t-il en plongeant ses yeux dans les miens.
Je battis plusieurs fois des paupières, pour reprendre mes esprits. Les bras croisés, les lèvres pincées, je secouai la tête. Me laisser aller face à lui n'était pas une option.
« Je pensais que tu serais déjà parti. Après tout, rien ne te retiens ici. »
Son regard s'assombrit devant ma froideur. Il retroussa les lèvres, comme près à une attaque. Il faisait ça dès qu'il était énervé, je le savais, et pourtant, je m'efforçai de rester de marbre. Ce n'était peut-être pas la meilleure chose à faire, mais montrer à quel point cela m'affectait l'était encore moins.
« Je suis juste venu te faire mes adieux. » expliqua-t-il, la voix grondante. « Je profite du fait que le toutou qui te sert de petit-ami ne soit pas avec toi. »
Je ne pus me retenir. Ma main bougea toute seule et lui décocha une gifle monumentale, qui claqua sur sa joue. Il attrapa mon poignet à la seconde suivante, et me serra si fort que mon bras fut totalement immobilisé.
« Je t'interdis de refaire se genre de chose ! » hurla-t-il, soudain hors de lui.
« Et moi, je t'interdis de parler de Tyler de cette façon ! »
Il m'observa curieusement, comme si je l'avais blessé. Mais non, c'était impossible qu'il ressente une quelconque peine. D'un mouvement sec, je tachai de me dégager. Mais tout ce que je parvins à faire fut de le forcer à resserrer sa prise. Sans comprendre comment, je me retrouvais le dos plaqué contre le mur près de moi, le corps de Klaus si près du miens que je sentais son souffle sur mon visage. Je n'avais aucune issue, aucun moyen de fuir.
« Tyler n'est rien. Alors je peux parler de lui comme je le souhaite. » susurra-t-il à mon oreille.
Je ne parvins pas à réprimer le frisson qui traversa mon corps à ce moment là. Je voulais répondre, trouver quelque chose à dire pour défendre l'homme que j'aimais, mais ma gorge s'était nouée. Il me sembla que Klaus s'écartait légèrement de moi.
« Si seulement tu savais à quel point tu fais erreur en le choisissant. »
Son ton s'était adoucit mais ses paroles m'avaient transpercées. Ma vue se brouilla comme j'étais sur le point de pleurer. Je n'avais aucune idée de la raison, mais j'avais besoin de laisser échapper mes sentiments. Le visage de Klaus afficha une telle surprise que je ne pus m'empêcher de le scruter. Il était littéralement passé de la colère à l'inquiétude. Aussi peu qu'il pouvait être inquiet de quelque chose. Au prix de nombreux efforts, je ravalai mes larmes.
« Ce n'est pas à toi de décider de ma vie. » grinçai-je entre mes dents pour éviter qu'il entende ma voix trembler.
Avec une douceur que je ne lui connaissais pas, il replaça une mèche blonde derrière mon oreille. Une chaleur persista à l'endroit où son doigt avait frôlé ma joue.
« Tu ne te rends pas compte de tout ce que tu mérites sweetheart. » chuchota-t-il.
« Mais arrête à la fin ! » me révoltai-je en lui frappant le torse. « Je ne suis rien de plus qu'une adolescente de dix-sept ans tout ce qu'il y a de plus banale. Il existe des milliers de filles comme moi, alors pourquoi tu ne vas pas t'en trouver une autre ? »
Il arqua un sourcil et sourit. C'était ce fameux sourire qu'il faisait quand il s'apprêtait à me faire un compliment.
« Pourquoi as-tu une si basse opinion de toi ? Tu es extraordinaire Caroline. Aucune des femmes que j'ai rencontrées ne t'arrive à la cheville. »
Je secouai la tête. J'avais envie de le croire, mais je savais qu'il mentait, qu'il disait cela pour me séduire. Me prenait-il pour une idiote au point de croire que je pourrais céder si facilement ? Il marqua une pause devant mon manque de réaction.
« Le jour où tu le verras, tu viendras me retrouver. » ajouta-t-il, confiant.
« Tu peux toujours rêver. »
Il recula d'un coup, comme si je l'avais frappé. Un rictus énervé se colla sur son visage. Il était vraiment imprévisible, mais peu m'importais. Je posai mes mains sur mes hanches pour me donner un peu de contenance.
« Je crois qu'il y a quelque chose que tu n'as pas bien compris. » continuai-je aussi durement que possible. « J'aime Tyler, et je n'ai pas l'intention de le quitter pour toi. Et quand bien même je romprais avec lui, ce qui n'arrivera pas, jamais je n'irais avec toi. Au cas où tu l'ais oublié, tu es la personne qui a détruit ma vie et celle de mes amis par la même occasion. »
Un grognement rauque s'échappa de sa gorge, un grognement de bête sauvage.
« As-tu la moindre idée de la personne à qui tu t'adresses ? J'ai déjà tué quelqu'un pour beaucoup moins que ce que tu viens de me dire. »
« Et bien vas-y. Qu'est-ce que tu attends ? Tue-moi si c'est ce que tu veux. »
C'était du bluff, purement et simplement. Je ne devais montrer que ma détermination, pas la peur qui montait petit à petit en moi. Klaus s'avança, l'air menaçant, me surplombant de toute sa hauteur.
« Tu joues à un jeu dangereux Caroline. » gronda-t-il. « Ne me pousse pas à bout. »
Je bloquai ma respiration et fermai les yeux, tandis qu'il se rapprochait encore de moi.
« Tu ne voudrais pas qu'il arrive quelque chose à Tyler, n'est-ce pas ? » dit-il plus bas.
Je secouai la tête mais ne le regardai pas. J'eus toutes les peines du monde à empêcher mon corps de trembler au son de sa voix. Ses mains attrapèrent mes bras et les collèrent brusquement au mur. Je ne pouvais rien dire, rien faire. S'il en venait à menacer mes amis, je ne prendrais pas le risque de le contrarier plus qu'il ne l'était déjà. Il ne fallait pas qu'ils soient blessés par ma faute. Une larme s'échappa de mes paupières closes. A ma grande surprise, Klaus l'essuya du bout de son doigt. Je n'arrivais pas à m'imaginer son visage, et cela m'angoissait. Seulement, je ne voulais pas non plus le voir. Il était si proche de moi que son odeur enivrante emplissait l'atmosphère. Mais je ne savais pas si je devais détester ou adorer cette sensation.
« Oh love... » murmura-t-il contre mon cou.
Tout à coup, je sentis quelque chose de chaud sur mes lèvres, qui se retira presque aussitôt, me laissant juste le temps d'apprécier sa saveur. Je mis plusieurs secondes à réaliser qu'il m'avait embrassée. Cela semblait impensable, et pourtant, il avait osé m'embrasser. Mes yeux s'exorbitèrent dès que je le compris, et la première chose que je vis fut son sourire. Il me lâcha et se dirigea vers la porte.
« Adieu Caroline. » lâcha-t-il. « Ou plutôt, à bientôt, si tu décides un jour de venir me voir. N'oublie pas : je t'attendrai. »
Il disparut avec que j'aie pu donner une quelconque réponse. Toujours troublée par ce baiser, je passai lentement mes doigts sur mes lèvres. Un grand froid se nicha dans mon cœur. C'était fini. Il était enfin parti. Pour toujours. Je tâchai, seule, d'afficher un air joyeux, mais je ne réussissais qu'à paraitre encore plus pathétique que je l'étais déjà. Je ne pouvais pas être triste de son départ.
N'est-ce pas ?
~ POV Klaus ~
Rebekah vint vers moi à l'instant même où je pénétrai dans le manoir. J'essayai encore de mettre mes idées en place après mon entrevue avec Caroline. Je ne savais même pas pourquoi j'étais allé la voir. Je n'avais pas l'intention de la convaincre de me suivre, ni même de lui en donner l'envie. Non. J'avais juste eu une pulsion soudaine, qui m'avait menée jusqu'à elle. Pourquoi ne voulait-elle pas comprendre ? Cela me mettait hors de moi, mais le goût de ses lèvres, toujours présent sur les mienne, me ramenait à la raison. J'aurais tellement aimé l'embrasser encore, rien que pour vérifier que rien n'avait changé.
« Où étais-tu Nik ? » demanda ma sœur.
« Ce n'est rien qui te concerne. »
Depuis que je l'avais réveillée, après que notre mère ait pris possession de son corps, elle était particulièrement suspicieuse. Comme si j'allais lui révéler que j'étais allé voir la blonde. Elle se planta sur ses talons et croisa les bras au niveau de sa poitrine. En bon grand frère, je lui tapotai sur la tête en la dépassant. Elle fit la grimace et me rattrapa, ce qui m'arracha un soupir. Parfois, Rebekah était tellement exaspérante que la seule envie que j'avais était de lui mettre de nouveau une dague dans le cœur. Elle tira sur ma manche.
« Il s'est passé quelque chose de grave. » m'informa-t-elle.
« Ce n'est rien qui ne peux pas attendre. » répondis-je, neutre. « Nous partons. »
Elle balança sa tête de droite à gauche, d'un air désapprobateur. La dernière chose dont j'avais besoin était qu'elle veuille rester. Tant pis. Si elle préférait ne pas me suivre, qu'elle le fasse. Je n'avais pas besoin d'elle. J'avais juste besoin du doppelgänger et de son sang. Rien de plus.
« Il ne serait pas très judicieux de partir maintenant. » dit-elle sans se démonter.
Je fronçai les sourcils, légèrement désappointé. Elle avait déjà repoussé notre départ une fois, pour son stupide bal, alors je n'avais pas l'intention de rester dans cette stupide ville une minute de plus.
« Quel est le problème encore ? » soupirai-je.
« L'homme que notre mère a voulu transformer en vampire pour nous tuer est vivant. Et il a achevé sa transformation. »
Je roulai des yeux.
« Et que veux-tu que cela me fasse ? » la questionnai-je sans aucune conviction. « Nous sommes invincibles. Il n'a aucun moyen de nous éliminer. »
Qu'avait-elle à m'ennuyer ainsi ? La seule chose que je voulais était mettre un terme à cette discussion inutile au plus vite, pour pouvoir faire mes valises au plus vite.
« Justement. » continua Rebekah, toujours aussi déterminée à gâcher mon plaisir. « Il a, en quelque sorte, une arme indestructible capable de nous tuer. »
Cette fois, je l'écoutais attentivement. Pourquoi n'avait-elle pas commencé par cela au lieu de tourner autour du pot ? Mon exaspération était à son comble, tandis que ma haine pour ma mère revenait plus forte. Elle parvenait à m'empoisonner jusque dans sa tombe. Jusque dans sa deuxième tombe.
« Comment ça "en quelque sorte" ? » grinçai-je.
Ma sœur se frotta nerveusement les mains, sentant que je n'étais pas loin d'exploser. Elle avait l'habitude de mes sautes d'humeur, mais j'étais parfois particulièrement violent. Et cette fois, ce serait sans aucun doute le cas. Je fis rouler mes épaules et contractai les muscles de mes bras. J'avais besoin de frapper quelque chose. Et de boire du sang. Beaucoup de sang. Et de tuer quelques humains également. En tout cas, j'avais besoin de faire ressortir ma rage de n'importe quelle façon possible.
« Disons que je pense qu'il va nous falloir un certain temps pour régler cette affaire. » expliqua-t-elle.
Je laissai échapper un grondement en montant quatre à quatre les escaliers du manoir. Cette fois, personne n'était sur mes talons. Je m'emparai d'une bouteille de bourbon rangée dans mon bureau, et vidai plusieurs verres à la suite. Je m'assis dans un sofa et posai les yeux sur la cheminée, dans laquelle brûlait toujours un feu qui ne servait à rien hormis à la décoration.
Mes pensées se fixèrent successivement sur deux sujets, presque aussi irritants l'un que l'autre.
J'allais encore devoir me battre pour ma survie et celle de ma famille. Ma mère, même morte, même enterrée, cherchait toujours à réparer ses erreurs. Et la seule façon qu'elle avait trouvée pour le faire était d'envoyer un chasseur de vampire fou furieux à nos trousses et de créer une arme que rien ne pouvait détruire. Je devais appeler Kol pour qu'il revienne ou qu'il se mette à l'abri, bien que ne plus l'avoir sur le dos aurait pu être une bénédiction. Je devais peut-être aussi prévenir Elijah, s'il était disposé à m'écouter.
Et puis il y avait Caroline. Je gardai un souvenir intarissable de son visage, de son sourire, de ses yeux, de ses lèvres. Mais très vite, ses images changeaient, devenaient une scène effroyable d'elle en train d'embrasser un de mes hybrides. Tyler. Au moment même où je les avais vus s'enlacer, j'avais eu l'irrésistible envie de lui arracher le cœur et de le couper en morceaux. Ou peut-être de lui cogner la tête contre le sol jusqu'à ce qu'elle explose. Ou encore planter des aiguilles dans chaque partie de son corps pour finir par le cœur. Mes dents se découvrir pour former un sourire machiavélique à cette pensée. J'aurais tellement aimé faire cela ! Mais il y avait Caroline. Elle m'en voudrait pour le restant de son existence, et cela ferait sans doute très long. Mais elle était beaucoup trop bien pour lui. Elle méritait le meilleur. Moi. Pourquoi ne s'en rendait-elle pas compte ?
Je fis tourner lentement l'alcool au fond de mon verre, partagé entre l'idée de le boire ou de continuer à observer sa couleur.
« Tu penses encore à elle, n'est-ce pas ? » fit la voix de ma sœur derrière moi.
Je ne répondis pas. Ce n'était pas la peine. Je savais très bien qu'elle n'appréciait guère Caroline, je n'ais donc pas besoin qu'elle m'expose son point de vue. Je l'entendis s'approcher de moi, comme chacun de ses pas résonnait dans la pièce. Elle posa une main sur mon épaule et laissa ses yeux se perdre dans les flammes, tout comme moi.
« Tu sais, puisque nous restons, tu as peut-être une chance de la séduire. »
J'arquai un sourcil, étonné qu'elle me donne de tels conseils. Sans me regarder, elle remarqua ma surprise.
« Après tout, cela fait longtemps qu'une fille ne t'a pas obsédée comme ça. » remarqua-t-elle.
Je fermai les yeux et inspirai lentement.
« Oui, c'est vrai. » acquiesçai-je. « Mille ans. »
A suivre...
Mot de la fin : Alors, que diriez-vous d'une petite review pour me donner vos impressions ?
Plumyx.
