Bien le bonjour, le bonsoir, tout dépend de l'heure à laquelle tu liras ce message ! :D
Donc... Ceci n'est pas un OS comme tout ce que vous avez pu lire jusqu'à présent, mais une fiction. Ma première sur ce site alors j'espère vraiment avoir des retours, positifs ou négatifs, j'aimerais bien avoir des critiques (et quelques reviews mouahaha O:) )
J'essaierai d'avoir un rythme de parution régulier, mais avec les cours (étant en 1èreS) je risque d'avoir une ou deux petites irrégularités. Ce que je souhaite pas du tout. :(
Parlons de la fiction (mais pas trop, je veux pas tout vous dévoiler :D). C'est une fiction qui porte sur Kurt et Blaine, si, si je vous le promets, ne vous fiez pas trop à ce premier chapitre. Je tiens à remercier ma superbe correctrice, NoodleGleek, qui a une magnifique fiction que je vous invite à aller voir ! :) Hésitez pas à poster des reviews, j'y réponds ! :)
Sur ce... Bonne lecture.
Lya.
Kurt rentra chez lui après une dure journée de boulot. Il habitait dans un appartement assez spacieux au cœur de New York, que son travail chez Vogue lui permettait de se payer. Il passait aussi de temps en temps quelques auditions pour des comédies musicales, mais il ne pouvait pas en vivre, pour son plus grand malheur. Il avait beau adorer la mode, la musique restait sa première passion. Et New York était la ville de tous les rêves et des fantasmes, il ne renoncerait pas.
Il monta les nombreux escaliers qui le séparaient de chez lui, mais au fur et à mesure des marches grimpées des cris résonnèrent. Les disputes étaient assez rares dans cet immeuble calme. Mais il savait à qui appartenait la voix grave qui s'élevait, c'était celle de son jeune voisin de palier. Il le vit dans l'encadrement de la porte en face d'une jeune fille. Et la dispute n'avait pas l'air anodin. Matt, adolescent de 17 ans, avait des tas de problèmes, il trafiquait notamment de la drogue. Kurt ignorait pourquoi, ses parents avaient de l'argent pourtant. Malgré ça, il ne jugeait pas son jeune voisin. Il ne pouvait juger quiconque, il l'avait été beaucoup trop lui-même.
- Aly, fait ce que je te dis, tu vas le regretter, menaça Matt.
- Il est hors de question que je t'obéisse, lui cracha-t-elle.
Et elle le gifla. C'était une mauvaise idée, grimaça Kurt resté sur les dernières marches, à l'abri des regards. Matt prit violemment le poignet de la fille et la plaqua durement contre le mur. Elle faisait une bonne tête –même deux bonnes têtes- de moins que lui. Il positionna ses poignets de chaque côté de sa tête.
- Ne m'oblige pas à te faire du mal, cria-t-il.
Kurt décida de se montrer avant que les choses ne s'aggravent. Il savait que Matt avait du respect pour lui et qu'il se calmerait, ayant trop peur d'être dénoncé. De plus, il ne voulait pas qu'il frappe la jeune fille. Elle avait l'air si… paumée, et Kurt savait trop bien ce que s'était de se faire martyriser. Il avait subi ça dans son Ohio natal.
- Un problème Matt ? déclara-t-il.
Il lâcha brusquement sa proie qui se frottait les poignets.
- Non, aucun Mr Hummel. Bonne soirée.
Et il claqua avec force la porte de son appartement. Kurt détailla la jeune fille en face de lui. Elle était vraiment petite, elle faisait peut être 1m55, tout au plus. Elle portait un jean noir troué, des Doc Martens, un tee-shirt gris et une veste en cuir. Elle avait un bonnet gris qui couvrait sa tête. Ses cheveux bruns lui arrivaient aux épaules et étaient ondulés. Elle avait un visage doux, malgré la dureté qu'elle voulait lui donner. Et il y avait ses yeux maquillés de noirs. Ces yeux que Kurt était persuadé d'avoir déjà vus quelque part. Doré, une couleur unique et tellement belle.
- Ca va ? lui demanda-t-il en déverrouillant sa porte.
- Il m'a fait mal cet abruti.
Elle grogna en touchant ses poignets qui commençaient à être bien rouges.
- Tu devrais probablement rentrer chez toi, et mettre de la glace ou de la pommade, lui conseilla-t-il en lui faisant face.
Kurt ne savait pas trop quoi faire. L'inviter à entrer et lui donner de la glace avant que cela empire ? Elle ne voudrait pas, il connaissait ce genre d'adolescentes. Sa meilleure amie avait eu sa période dure à cuire. Il lui proposa quand même. Et le moins qu'on puisse dire c'est qu'elle hésita, puis soupira un grand coup et accepta. Ca fait toujours plaisir de rendre service, pensa Kurt.
Il alla chercher une poche de glace pendant qu'elle s'installait sur un des tabourets du bar qui faisait office de table pour Kurt. Quand il lui tendit les poches, elle les lui arracha presque des mains et se les posa sur ses articulations douloureuses après avoir remonté les manches de sa veste. Kurt put voir un bracelet noir, où une clé de sol reliait les deux extrémités du bracelet. Il remarqua aussi une petite tête de mort accrochée juste à côté.
- Qu'est ce que tu lui as fait pour qu'il devienne si violent ? Il est rarement si énervé.
Elle avait terriblement envie de l'envoyer bouler, mais se retint. Kurt le sentait bien. Il ne lui voulait rien de mal après tout.
- Il voulait que… que j'aille voir un des ses acheteurs. Histoires de…
- De drogue, je suis au courant de ça. Tu as bien fait de ne pas te mêler de ça, surtout à ton âge. Tu t'appelles ?
Le châtain était persuadé qu'il avait déjà vu cette jeune fille. Sa mémoire ne le trompait jamais. Et ces yeux dorés ne pouvaient pas le tromper aussi. On ne voyait ce genre d'yeux qu'une fois dans sa vie sur une seule personne. C'était le genre de couleur qui hypnotisait quelqu'un en moins de deux.
- Alayna, dit-elle simplement. Elle rajouta d'une façon plus dure : J'ai 15 ans, crétin.
Il ne fit pas attention à sa remarque mais se contenta de conclure les faits qui se mélangeaient dans sa tête. En plus de ses yeux, elle avait un prénom peu commun. Kurt savait qu'il l'avait déjà vu quelque part, il avait déjà entendu ce prénom. Il essaya de détailler les traits de son visage, mais le regard qu'il lui lançait devait être… un peu insistant.
- Vous ne pouvez pas… juste arrêter de me fixer comme ça. Vous êtes flippant. Vous êtes vraiment taré.
Elle posa la glace sur le bar, remercia brièvement Kurt et partit au pas de course. C'est vrai qu'il avait était assez louche, mais il devait mettre la main sur ce souvenir qui ne remontait pas à la surface.
Quand Alayna claqua la porte de chez elle, elle ôta ses chaussures, sa veste en cuir qu'elle pendit sur le porte manteau et se dirigea vers le canapé où elle prit la télécommande et changea la télé de chaîne. Elle se massa les poignets. Ils étaient encore douloureux. Son père arriva de la cuisine où se dégageait une odeur de frites. Il posa les deux assiettes qu'il avait dans la main sur la table.
- Bonjour Alayna, ce serait trop poli pour toi ?
- Oh lâche moi un peu sérieux, bougonna-t-elle.
- Ne commence pas, déjà que tu rentres à pas d'heure tu pourrais juste me dire bonjour ! D'ailleurs tu étais où ?
Elle se leva et plongea sa tête dans son assiette de poulet et de frites. Elle n'avait aucune envie de parler de ça avec son père. Il allait encore lui faire une leçon de morale, et elle finirait par l'envoyer promener. Ce qu'il ne tolèrerait pas, et ça dégénérerait. Comme à peu près à chaque fois qu'ils s'adressaient la parole. Elle irait volontiers au conflit, mais ce soir elle n'avait pas envie. Pourtant elle lui répondit quand même.
- Chez Matt…
- C'est lui qui t'a fait ça hein ? dit-il en désignant de sa fourchette ses poignets devenus légèrement bleus.
- Ouais, mais son voisin m'a mit de la glace dessus. Arrête de me regarder comme ça, il était bizarre mais gentil. Mais bizarre. Hummel son nom de famille un truc du genre. S'il n'était pas arrivé j'aurais peut être un truc en moins.
- J'irai le remercier à l'occasion, conclut-il.
- Pourquoi ne pas lui apporter des cookies et une carte pendant que tu y es.
Elle leva les yeux aux ciels et se leva de sa chaise. Elle monta l'escalier en colimaçon pour aller dans sa chambre. Son père et elle habitait dans un petit immeuble, et ils avaient la chance d'avoir un étage. Elle entra et verrouilla la porte. Sa chambre était sous les combles et son lit était à l'angle d'un mur. Il y avait aussi des tas de cadres, des photos, tout pour une chambre d'ado. Sauf des touches de couleurs. Gris, noir, blanc. Il y avait une fenêtre sur le mur gauche en entrant dans sa chambre. Elle alla l'ouvrir, attrapa une cigarette et l'alluma avant de la porter à sa bouche.
Elle regarda la vue que lui offrait le sixième étage de son immeuble, assez évasive. Elle détestait sa vie. Elle détestait le monde. Elle détestait aimer. Elle tira une nouvelle fois sur sa cigarette, attrapa le cadre sur sa table de chevet et souffla la fumée par la bouche.
La photo datait de 9 ans auparavant. Elle était dans le bras de son père, beaucoup plus jeune. Ils posaient tout les deux en souriant devant la tour Eiffel. Elle avait alors six ans, son père en avait vingt-trois. Son père n'avait pas de barbe, pas de lunettes. Il portait juste son sourire et ses petites boucles. Et son métier était la musique. Mais aujourd'hui, il occupait ses journées dans une banque. Avait de la barbe et des lunettes. Et Alayna n'était plus la gentille petite fille modèle à son papa.
Elle soupira et balança son mégot par la fenêtre. Elle n'arrivait pas à mettre le doigt sur ce fouillis qu'était ses pensées. Qu'est ce qui l'avait fait soudainement grandir ? Changer du tout au tout ? Le cadre se fracassa par terre quand elle le lâcha. Tant pis, elle ramasserait plus tard. Elle finit par s'affaler sur son lit, dans le noir, la tête vide. Elle avait envie de sortir. S'aérer l'esprit. Danser. Peut être boire. Mais si elle sortait son père le saurait, viendrait la chercher, s'énerverait, et la surveillerait deux ou trois jours pour pas qu'elle sorte en semaine et le schéma se reproduirait. C'était toujours comme ça.
Elle se leva de son lit. Finalement elle allait sortir et tant pis pour son père. Elle irait boire et rentrerait vers deux heures du matin, même si on était mercredi soir et qu'elle avait un devoir de maths le lendemain. De toute manière sa deuxième année de lycée avait mal commencé et ce n'était pas au mois d'avril qu'elle pourrait y changer quoique ce soit.
Alayna déverrouilla la porte et descendit les escaliers sans prendre la peine d'être discrète. Elle attrapa sa veste en cuir au passage et la porte claqua. Son père ne devait pas l'avoir entendu, d'habitude il lui criait dessus.
Portable à la main, la jeune fille pressa le pas en direction de la maison de sa meilleure amie. Abandonnée l'idée de la boîte, elle préférait aller chez sa meilleure amie. Elle ne voulait pas boire. Elle voulait juste sa meilleure amie. Cheerleader de son lycée, la très populaire Kitty était quand même la meilleure amie d'Alayna. Même si celle-ci n'était pas du tout populaire. Elle n'en avait rien à faire.
- J'arrive dans deux minutes Kitty… Oui, je tourne au pied du café là… Hmmm… Non mon père ne sait pas que je viens. Arrête là bordel ! Je suis en bas.
En parlant de son père c'était étrange. D'habitude quand elle partait comme ça, il s'inquiétait. Là il ne l'avait pas appelé une seule fois. Enfin cela faisait quelques fois qu'il ne l'avait plus appelé. Elle fut sortit de ses pensées par Kitty qui lui hurlait de monter. Elle grimpa les 4 étages à une vitesse grand V et fut accueillie par les bras de la blonde. Elles s'introduisirent discrètement dans la chambre de cette dernière et s'assirent par terre.
- Tu t'es encore pris la tête avec ton père ? lança la cheerio.
- T'as pas idée comme il m'énerve Kit'. Mais vraiment. Blaine Anderson, le banquier parfait passionné de musique. Sauf qu'il est vraiment agaçant. Il n'aime pas Matt et…
- Je n'aime pas Matt non plus, Al'. Vraiment, ce mec est louche. Dealer de drogue qui plus est. Ton père est génial, il a des raisons de s'inquiéter…
- C'est bon. Maintenant tu t'arrêtes là, tu commences à me gonfler.
- T'es libre de te barrer Aly si tu veux, s'énerva la blonde. Tu ne me l'as fait pas à moi chérie, tu ne me joues pas la fille rebelle, je te connais donc tu arrêtes. Putain, qu'est ce que tu as depuis quelques temps ? D'accord ton père est un connard, la vie est une pute, mais arrête d'être méchante avec moi ! Je pensais qu'on brisait les codes et qu'on emmerdait le monde ?! Alors va mettre La petite Sirène, et discute pas.
C'est ce qu'elles faisaient quand elles se voyaient. Elles regardaient des Disney et mangeant du popcorn, et il n'y avait qu'avec Kitty qu'Alayna regardait des dessins-animés. Il n'y avait qu'avec elle qu'elle arrivait à être elle-même, à regarder des trucs débiles, à dire ce qu'elle avait sur le cœur, à craquer comme elle le faisait parfois. La blonde lui rendait bien, elle faisait pareil. Et c'était une vraie relation d'amitié entre elles, et c'était probablement la seule qu'Aly avait. Alors elle s'autorisait à être elle, parce que Kit' dévoilait aussi sa vraie personnalité. Elles formaient un duo complémentaire et complètement intouchable. Elles étaient en haut.
Blaine soupira en regardant l'heure. Enfin il pouvait partir. Il déposa un dossier sur son bureau et pressa le pas pour sortir de la banque le plus vite possible. Il détestait son boulot plus que tout. Il n'était pas fait pour n'être que dans une banque. C'était vraiment, vraiment ennuyant au possible. Il rêvait de musique, de concert, de public, de Broadway, mais il ne pouvait pas se le permettre, il avait une fille à nourrir, des factures à payer. Il salua la secrétaire et passa la porte.
Il remonta ses lunettes sur son nez et regarda son téléphone. Aucune nouvelle de sa fille. Il rangea le cellulaire et entama la marche vers son appartement, pensif. Il n'avait plus envie de se battre pour sa fille, c'était trop. Elle devenait de plus en plus agressive et ne s'ouvrait plus du tout. Avant qu'elle devienne la rebelle qu'elle était, elle craquait parfois, mais sa carapace se refermait de jour en jour et Blaine avait peur qu'elle devienne impénétrable.
Il avait toujours tout fait pour elle, et elle ne le remerciait pas, pire encore il avait l'impression d'avoir mal agi. Les enfants sont vraiment ingrats. Quand il arriva chez lui, il monta voir dans la chambre de l'adolescente, espérant la trouver là. Mais ce n'était pas le cas. Il savait très bien qu'elle rentrerait comme à chaque fois, mais il en avait marre de se faire marcher dessus. Il poussa la porte de la chambre. Il n'y rentrait pratiquement jamais, c'était l'univers de sa fille pas le sien. Mais l'envie était plus forte que la raison, alors il s'avança. Elle était plutôt bien rangée, et il vit des petits éclats de verre sur le sol. Il s'accroupit et ramassa la photo.
L'avait-elle cassé volontairement ? Alors elle ne voulait plus s'accrocher à l'espoir qu'ils redeviennent comme ça un jour, proches et heureux. Blaine sentit une boule se formait dans son estomac. Il ne voulait pas croire qu'elle l'avait brisé volontairement, cassant ainsi leur dernier souvenir. Il remit la photo à sa place, ayant toujours la contrariété placée au creux de son estomac. Il referma la chambre d'Aly et entendit la porte d'entrée claquer.
Alors ça allait commencer. Ca allait crier. Blaine descendit les marches précipitamment et s'installa sur le fauteuil à côté du canapé .Il regarda Alayna s'affaler dans le canapé et devenir maître de la télé. Comme d'habitude, elle l'ignorait. Elle ignorait totalement la présence de son père en train de la fixer derrière ses grandes lunettes.
- Tu étais où hier soir ?! Tonna-t-il d'une voix qu'il espérait tranchante.
- C'est maintenant que tu t'en affoles ? J'étais chez Kitty si tu veux savoir, répondit-elle irrespectueusement.
- Mais tu vas arrêter de me parler comme ça bon sang ? Tu te prends pour qui ? Putain, tu me dois du respect Alayna.
- Je te respecterai quand tu me laisseras vivre ma vie.
- Oh, et ce n'est pas déjà ce que je fais ? Tu te barres quand tu veux et je devrais faire quoi pour te laisser vivre ? Vas-y dis moi, je suis curieux de savoir. Parce que je ne vois vraiment pas ce que je peux faire de plus pour satisfaire tes petits besoins personnels.
Voilà le quotidien d'une journée. Un boulot pourri, un court moment de répit et une adolescente colérique et insatisfaite. Ils s'étaient levés et se faisaient face. Blaine dominait toujours sa fille en taille. Elle avait hérité de la petite taille de son père, dommage pour elle. Blaine la repoussa dans le canapé et la regarda de haut.
- Maintenant, j'en ai marre. Il est tant de considérer l'option « voir quelqu'un ».
Elle se releva en vitesse, attrapa sa veste et ouvrit la porte d'entrée. Elle se retourna, fixa son père dans les yeux. Ils avaient les mêmes yeux mordorés et perçants.
- Je n'irai voir personne, ça je te le promets, cracha-t-elle hautaine.
Et elle claqua la porte avec violence.
Kurt rentra du boulot encore une fois assez tardivement. Mais il s'en fichait, il adorait ça. Il grimpa les marches rapidement et entendit des voix dans la cage d'escalier. Décidemment, en deux jours il y avait du mouvement. Et ce qu'il vit ne le surprit pas vraiment. La jeune fille brune, toujours couverte de sa veste en cuir était dans les bras de Matt, son voisin. Ils s'embrassaient assez… langoureusement alors Kurt arrêta de les regarder. Il déverrouilla sa porte et la referma derrière lui.
Cette jeune fille voulait vraiment vouloir se faire du mal à rester avec Matt. Il était violent. Et il ne cessait de penser à elle depuis la veille, il ne voulait pas qu'elle se fasse du mal, et c'est ce qu'elle avait l'air de se faire. Elle avait l'air perturbé. Mais après tout ce n'était pas ses affaires. Il entendit rire derrière la porte, peut être qu'au final ça se passerait bien aujourd'hui, et que son voisin serait calme. Il le souhaitait en tout cas, il voulait juste être au calme ce soir et se regarder une bonne comédie musicale. Pas entendre crier de partout dans l'immeuble. Non, visiblement la soirée serait calme et silencieuse.
Ok, hum, je suis désolée pour ce qui va suivre mais NoodleGleek m'a clairement torturé (non, quand même pas ) pour que je vous transmette son message. ME TUEZ PAS. Siouplé. C'est pas ma faute :( Bisous ! Lya. Message que voilà (cette fille est folle) :
Okay, je ne vais pas parler pendant des heures, que ce soit clair –enfin ça ne me dérange pas hein, j'aaaaime causer. Je serais brève : pour moi, cette fiction a de quoi en faire une excellente, donc lisez la sérieux. Elle en vaut la peine.
Je vous aime mes choupinouuus ! P.S : Laissez-des reviews, sinon elle ne continuera pas, et croyez moi, vous VOULEZ qu'elle continue. Vous le voulez. *agite les trucs des hypnotiseurs devant vos yeux*
