Another story of a broken Heart
Hurricane, 30 secondes to mars
Des tuniques rouges et ors étaient éparpillées dans tout le vestiaire. Des vêtements aussi. On effet pas vraiment la différence entre ce qui est a qui plutôt qu'à un moi, je sui là, assis au milieu de tes affaires. Je tiens entre mes doigt ton bracelet, celui en argent, que tu porte toujours, sauf pour les matchs de Quiditch. Je ne devrais pas être là, je devrais être sur les gradins avec les autres, à hurler contre ton équipe et dire des conneries. Mais non, je suis là, au milieux de tes affaires éparpillées et de celles de tes amis.
Je sais ceci va se passer maintenant.
Je ne t'ai rien dis, j'aurais du. Mais je ne l'ai pas fait. Par égoïsme. Par pur égoïsme.
Serais je entrain de regretté mes actes ?
Oui, je les regrette, si tu savais comme je le regrette. Peut être devrais je courir, là maintenant, aller sur le terrain, t'obliger a descendre de ton foutu balais et t'embrasser, devant tout le monde ? Oui, c'est ce que je veux, ce que je désire, mais je ne le peux pas, alors pardonnes moi, mon amour.
Pardonne moi, je ne peux pas, je ne dois pas. Je suis déjà venu ici, alors que je me l'étais interdit.
J'aurais du te dire de ne pas participé a ce match, te forcer, t'enfermer dans un cachot ou dans une tour. Tu m'aurais hais pendant quelque temps mais… Tu serais encore en vie.
Je ne suis qu'un monstre.
Je suis comme tout ces hommes politique, qui se tue entre eux pour une meilleure place au pouvoir.
Toi qui hais les balais, tu as pourtant décider de te porter volontaire entant qu'arbitre. Tu as été choisis. Un simple paris contre moi au début. Je t'ai piégé en me piégeant moi même.
J'ai choisis de te sacrifier pour me sauvegarder moi même.
Tout nos souvenirs défile dans ma tête.
Tu es arrivé a Poudlard en cours d'années, sans que personne ne sache d'ou tu venait. Tu étais très belle, fougueuse, jeune. Tu as été envoyé a Serpentard, avant que le Choixpeau ne se ravise, et ne t'envoie a Gryffondor. C'était a première fois que le Choixpeau énonçait deux maison pour une seule personne. Tu devais choisir ou aller, alors tu as demandé si tu pouvais concidérer les deux maisons comme chez toi, porter les couleurs de Gryffondor et Serpentard entremêlés. Les élèves ont commencer a protester, mais le Choixpeau et Dumbledore on tenu bon. Tu devais aller dans les deux maisons, mais choisir au moins un dortoir. Tu as demandé a essayer celui des Gryffondor en premier, mais de t'asseoir a notre table. Sous les regards inquisiteurs, haineux et respectueux, tu es allé t'asseoir face a moi.
Et tu as commencé a me détester. Sans que je sache pourquoi. Tu m'attirais, d'une façon irrésistible, comme un aimant.
Comment avais tu pu être envoyer dans deux maisons différentes en tout point ? Ce n'était pas concevable, pour personne. A table, tu m'as totalement ignoré, obnubilé par les autres qui voulaient tout savoir de toi. Surtout cet imbécile de Malefoy.
A un instant de la conversation, il nous a présenter. Tu m'as lancé un regard froid, haineux.
Cela m'avais vraiment surpris, les filles ayant plutôt tendance a rougir dès que je les regardais une seconde. Mais pas toi. Tu m'as craché a la figure que tu savais pertinemment qui j'étais, que tu t'en contre fichait.
T'a première nuit chez les Gryffondor c'est bien passé, mais tu as tout de même demandé une chambre a part. Que tu as eus. Tu as toujours eu tout ce que tu voulais des gens de l'école. Tu étais belle, douce, gentille, intelligente, tu avais tout pour tout, les gens ne te résistais.
J'aurais pu te haïr pour ça, mais non, je t'ai désiré.
Désiré de tout mon coeur, de toute mon âme.
Mais pas toi, toi tu me haïssais dès le premier instant ou tu m'as vu.
Que t'ai je donc fait, pour mériter ça ?
Pourtant, petit a petit, tu as appris a me connaitre, doucement, je t'ai apprivoisée, comme une petit oiseau d'abord réticent.
Puis nous sommes allé au bal de noël ensemble. Pas grand chose aux yeux des autres, mais pour nous, ce fut le début d'une histoire merveilleuse.
Une danse, une simple danse, et tout à changé entre nous.
Une sorte de bonheur qui n'appartenait qu'à nous, rien qu'à nous.
Puis une premier baiser, une deuxième, et on finit par ne plus pourvoir les compter tellement il y en a.
Je crois que je suis tombé amoureux de toi, et pas qu'un peu.
La St Valentin, et là, tout a commencé a aller de travers.
On me disait de te laisser tomber, que tu n'étais pas faite pour moi. J'avais beau ne pas les écouté vraiment, doucement, le doute c'est insinué en moi.
D'où venais tu, jolie étrangère ? Belle, trop belle pour venir de nul pat.
Quel était ton but, ton véritable désir ?
Pourquoi étais tu ici ?
Alors, j'ai enquêté dans tes affaires, ma douce.
Je suis entré par effraction dans ta chambre, et devnie ce que j'y ai trouvé.
Une photo de toi, avec un certain Potter et un certain Weasley. Mais pas le Bilius Weasley ou le Charlie Potter que nous côtoyons a Poudlard. Eux, je ne les connaissaient pas.
J'ai aussi trouvé des coupures de presses, daté de 1994,1998, 1985 et bien d'autres. Et j'ai aussi trouvé un retourner de temps.
J'ai tout compris, a cet instant. Je savais d'ou tu venais, et ce que tu venais faire ici.
Tu n'étais pas vraiment celle que tu disais être.
Cette cicatrice, sur ton bras, l'impression qu'on à, comme quoi tu connait déjà tout Poudlard, ces photos, ces coupures de journaux, ces notes prises a la va vite… Je savais précisément ce que tu venais faire ici, ce que tu voulais m'empêcher de faire.
Tu étais ici pour me tuer.
Du moins, c'étais le but premier de ta mission. Car tu n'es pas rester tout ce temps pour un simple meurtre, je le sais, tu n'aurais pas attendu si longtemps.
J'aimerais dire que c'est parce que tu m'aimes que tu es resté.
Mais je ne suis sur de rien.
Je regarde ma montre. Il est onze heure douze.
Non, je ne resterais pas ici, a attendre bêtement que tout ce passe.
Je me lève d'un bond, sachant pertinemment qu'il y a une chance sur deux que j'arrive trop tard.
Je cours dans le couloir, j'arrive aux gradins.
J'accelère.
Je ne le permettrais pas que tu tombes, pas par ma faute.
Je ne le permettrais pas, tu m'entends ?
J'entend un hurlement, juste au dessus de moi, je cours.
Je pousse la porte qui mène au stade et cours sur le terrain. Tu es là, en l'air, encore bien vivante.
Onze heure quatorze.
Je te hurle de descendre, et lance un accio balais pour monter te chercher moi même.
Je sens les secondes défilié dans ma tête, de façon oppressante.
Trop tard.
A l'instant ou le balais touche ma main, je vois le tiens monter. Je hurle ton nom et enfourche mon balais pour partir a ta poursuite. Je cris ton nom, te suppliant de t'accrocher, murmurant au vent combien je t'aime et à quel point je me maudit d'avoir tant attendu pour venir te sauver.
Je suis juste derrière toi.
Deux mètres.
Un mètre. Je suis au même niveau que toi, maintenant, je suis juste a tes côtés. Je tends la main, et tu l'attrapes. Je te souris. Tout iras bien, je te le promet. Je vais te ramener au sol, t'embrassé, nous serons réunis et je ne te laisserais plus jamais partir sans moi. Je me rapproche de ton balais. Tu vas pouvoir monter derrière moi. Tout ira bien. Tout ira bien.
Je serre ta main dans la mienne. Tu es accroché a ton balais. Tu as peur. Je le vois dans ton regard. Je vois aussi autre chose. Serais-ce de l'amour ? Le vrai ?
Je te souris, doucement et murmure que tout vas bien ce passer. Tu vas monter sur mon balais. Nous allons redescendre. Tout ira bien. Tout ira bien, je te le promet.
Je répète en boucle ses phrases, comme pour y croire moi même.
D'un seul coupe, tu tombes. T amen glisse de la mienne, je n'ai pas eu le temps de la retenir. Ton balais tombe, redescend vers le sol, a toute vitesse. J'entends ton cris, et change de trajectoire, forçant mon balais a aller toujours plus vite.
Je vais te rattraper. Je tends la main vers toi, tu fais de même. Je vois le sol se rapprocher derrière toi. La chute sera mortelle, je le sais, j'avais tout calculer. Mais je ne laisserais pas le pire arriver. Je me battrais pour toi, même contre la mort, alors je te rattraperais. Je ne te laisserais pas tomber.
Je frôle tes doigts, mais tu retire ta main, tes yeux sont encrés dans les miens. Tu souris et tes lèvres murmure un "je t'aime". Puis tu laisses ta tête aller en arrière.
Tu as choisis la mort.
Je hurle ton nom. Une fois, deux fois.
J'accélère jusqu'à la limite de l'impossible. Je vois le sol. Dix mètre.
Je te supplie de me donner ta main.
C'est a cet instant ou je comprends.
Tu es déjà morte.
Je hurle et redresse mon balais. Je sors ma baguette et lance un sort dans ta direction. Ton corps ne tombera pas sur le sol d'un coup, il tombera lentement et se posera en douceur, ainsi.
Quand tu te pose, je me pose a tes côtés.
Je cours vers toi, et je tombe a genoux.
Je hurle ton nom, je te supplie, je cris tout mon amour et toute ma haine.
Je te promet de te venger dans une autre vie, de te sauver. Je te jure que je trouverais la moyen de te faire revenir.
Autour de moi, c'est le silence le plus complet. Tout le monde se tait et me regarde, nous regarde. Toi, on dirais que tu dors. Mais je sais que jamais tu ne te réveilleras. Alors, par respect, il se taise, il me laisse seul une dernière fois avec toi. Mais j'entends tout de même des sanglots dans l'assistance.
Je pleure, tout ne continuant de hurler ton nom, comme si cela pouvait te faire revenir.
Je prends ton corps dans mes bras et le sers contre mon coeur.
Je sens quelque chose. Un mouvement.
Mais je ne bouge pas, je refuse de regarder. Essayeraient-ont déjà de m'arracher a toi ?
Je sens des mains sur mes épaules, des mains qui me pressent, qui me forcent a te lacher.
Mais je resterais là, dans la boue, a serrer ton corps contre le mien. Je t'ai tué, je suis un assassin, c'est ma faute si tu es étendue là, sans vie sur le sol.
La pluie tombe en fine goute sur nos corps enlacé. Je sais qu'on veut que je te lache, que je retourne dans ma salle commune, que je reste en retrait. Mais je ne le ferais pas, je ne bougerais pas d'ici, je resterais avec toi. Pendant que je te presse contre mon coeur, espérant te ramener a la vie, j'entend autour de moi, de nous :
"Est elle morte ?" "Elle est morte ?" "Qui a fait ça ?" "Pourquoi ? "
Ils finissent par m'arracher de force a ton corps encore chaud.
Tant pis pour mon image, je pleure, je hurle, je tempête, je maudit et menace. Mais rien ni fait, je suis transporter de force loin de toi. Je jure que je me vengerais, que je te ramènerais a la vie, mène si pour cela je dois tuer, même je pour cela je dois tous les tué. Je hurle ton nom, frappe ce qui me retienne, je me baterais pour rester avec toi. Dumbledore te prend dans ses bras pour te porter a l'infirmerie. Je sais qu'après, ce sera l'enterment. Mais tu n'avais pas de famille, tu n'auras surement pas le droit a quelque chose de beau, que tu mérites.
Je me laisse alors aller dans les bras qui me traine loin du terrain. Je pleure toujours, comme un enfant. Un pars de moi à du aussi mourir, car j'ai mal, j'ai très mal, a l'intérieur de moi.
Quand ils me laissent enfin dans la salle commune, je suis assis, la tête entre les mains, mais mes larmes ne coulent plus. J'attend un instant, seul.
Puis je me souviens, tu es morte ici, mais, tu n'es pas d'ici.
Cela a t-il une conséquence ?
Je me lève et je souris au monde, je souris, je ris, je pleure a nouveaux.
Ils doivent tous me prendre pour un fou, je viens de te perdre, mais je ris. Je ris comme un dément, comme un possédé, comme un fou. Mais je m'en fiche, car j'ai trouvé comment j'allais te revoir, te faire revivre.
Tu es venue jusqu'à moi une première fois, tu m'as trouvé dans ton passé, tu m'as sauvé en mourant. Alors je viendrais dans ton présent, je te trouverais dans mon futur, et je te sauverais a mon tour.
Voilà, dite moi ce que vous en pensez !
