Kikoo, je reviens en force ac une nouvelle fanfic ! Mais à la base, c'est elle ma premiere, celle ki ma inspiré la deuxieme « you're still the one » !
J'espere kelle vs plaira ! gro zoooooby !
Lolly xxx
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Chapitre 1 : Tatouage et Révélation
Une septième année qui commençait mal… c'est ce que la future Préfète en Chef de Poudlard se marmonna en elle-même en ce 31 octobre, veille de sa rentrée en « dernière », comme le chantait à tue tête Ron depuis le début des vacances. Ron… son meilleur ami… ou plutôt… ex meilleur ami.
Pourquoi celle-ci commençait mal ? Oh… tellement à dire… que même elle, LA plus brillante élève que Dumbledore ait jamais connu (énorme compliment sachant que ce dernier n'en était plus à sa vingtième bougie sur le gâteau !)… même elle ne savait l'expliquer… ou plutôt, ne voulait l'expliquer.
En fait, cette année commençait mal à cause d'innombrables évènements qu'elle n'arrivait pas à mettre en ordre dans son esprit.
Tristesse… alcool (non, là je rigole !)… vacances… amour… secrets… et… tatouage !
Oui, aussi dur que cela puisse paraître, cette année ne débuterait pas comme la routine du 1er Septembre qui s'était installé durant ces six dernières années.
Harry, ayant passé ENCORE un été… comment pourrait-on le qualifier d'autre que… désastreux, pitoyable, et ennuyeux à mourir, n'arriverait pas à 10h45 à la gare de King Cross accompagné… ou plutôt… jeté par dessus bord par les énergumènes de sales moldus qu'étaient son oncle Vernon et sa tante Pétunia.
En arrivant au quai 9 ¾, il ne se chamaillerait pas avec Ron sur leur plan « vengeance » contre Malfoy et sa vive bande de Serpentards.
Et par dessus tout, il… il… il n'enlacerait pas Hermione en lui marmonnant à l'oreille un timide « Content de te revoir 'Mione, tu m'as terriblement manqué » comme il le faisait depuis leur entrée à Poudlard.
Harry… oh Harry… ! Sans parler de Ron! Lui, qui même ayant rêvé de Vélanes durant toute la nuit, arrivait avec son incontestable mauvaise humeur ! En même temps, il fallait le comprendre… Arrivé à dix-sept ans Molly Weasley, la mère la plus surprotectrice que le monde sorcier ait connu, l'accompagnait toujours jusqu'au train en lui tenant la main.
« J'ai plus quatre ans, maman, arrête ! » marmonnait-il, rouge de honte face à ses camarades.
« Futilité ! » ne cessait de lui répéter Molly.
Ginny entrait alors, à son habituel, en jeu, en le taquinant de plus belle :
« Mais voyons Ronichou… tout le monde est au courant que tu es le préféré de Mannnmannn ! » déclarait-elle en lui mettant en bataille les cheveux qui depuis deux ans étaient soigneusement coupés et mis en piques.
''Hé oui…'' se dit Hermione en empilant ses dernières robes de sorcière dans sa valise, avant de la refermer.
''Tout ça… tout ça à cause de MOI !'' ragea-t-elle, tout en laissant couler une fine larme sur sa joue, meurtrie par la tristesse.
Toute cette routine attendue… et chérie par Hermione durant toutes ces années serait gâchée par son dernier départ à Poudlard… ''Tout ça… tout ça'' se répéta-t-elle, en effleurant du doigt le bas de ses reins '' à cause… d'un fichu… simple… minuscule… mais si révélateur… tatouage.''
Qui aurait pu penser qu'une simple journée… vingt-quatre petites heures… soit mille quatre cent quarante minutes, aurait pu anéantir… six ans de complicité entre ces trois-là ? Les trois inséparables Gryffondor !
En fait, tout commença le dimanche de la semaine précédente.
Harry devait passer deux ou trois jours au Terrier car la famille Weasley ainsi qu'Hermione, Seamus, Dean et Neville, lui réservaient une surprise de taille ! Une surprise pour fêter : de un, son anniversaire, de deux, la fin des vacances (qui d'ailleurs n'était pas censée être fêtée selon Ron !) et enfin leur entrée en dernière année d'étude dans la prestigieuse école de Poudlard.
Molly Weasley avait tout préparé afin que cette journée soit réussie et ''spéciale'' pour Harry, celui qu'elle considérait et considère toujours, au grand damn de Ron, comme son septième fils.
Pour une journée ''spéciale'' Molly ne s'attendait pas à ce qu'elle le soit autant !
Le Terrier se transforma ainsi en mini parc d'attraction avec un grand huit, un château gonflable, une grande roue… bref une vraie surprise party s'annonçait chez les Weasley !
Harry n'était bien sûr (ou plutôt comme d'habitude) au courant de rien (pauvre malheureux… non vraiment… snif !). Il tomba d'ailleurs par terre lorsqu'il fut accueilli par un « Surprise ! » qui aurait fait déterrer n'importe quelle momie !
« Euh… euh… » furent les seuls '' mots '' qu'Harry pu décrocher, face à toutes ces décorations… inattendues.
« Ben alors Riry… on a perdu sa langue ? » lancèrent en cœur Fred et George, tendant chacun une main au Survivant.
« Merci… mais qu'est-ce que… je… »
« Bon allez, Harry, c'est bon, on a compris que l'effet de surprise a marché, n'empêche que t'as pas encore tout vu, papa a ramené des barbes à papa et ça fait deux jours que l'odeur me passe sous le nez ! Alors, maintenant que t'es là, on va ENFIN pouvoir y goûter ! » s'écria Ron, plus affamé que jamais.
« Ok, c'est bon, relaxe mec… Ça fait JUSTE deux mois qu'on s'est pas vu et tout ce qui t'importe, c'est ton éternel estomac ? »
« Faut vraiment revoir l'ordre de tes priorités, Ronikee ! » ajouta Harry, à la fois enjoué et quelque peu vexé.
« Ben tu me connais, Harry ! Moi et la nourriture… et pis t'as vu l'heure qu'il est ? Franchement tu t'attendais à quoi ? » questionna Ron, un sourire aux lèvres.
« Euh… ben je m'attendais plus à un ''Salut, vieux, passé de bonnes vac's, comme d'hab' ?'' mais bon… voilà quoi… c'est pas grave. » le taquina Harry en faisant un semblant de moue.
« Harry ! Tu m'as trop manqué ! » lui susurra Hermione en se jetant au cou de son meilleur ami, puis se tournant vers le rouquin « Et toi, arrête de l'embêter ! » lui lança-t-elle en le fusillant d'un regard noir (mais il savait qu'elle ne faisait que le taquiner).
« L'année n'est pas commencée que tu joues ton chieur de première… vraiment ! »ajouta-t-elle avant de lui faire un revers de tête qui lui valut d'être fouetté par la longue e ravissante chevelure d'Hermione.
Ron la contourna pour rejoindre Harry en sifflant :
« Oui… mademoiselle. » et montant le ton « Préfète en Chef ? Tu parles… ! »
« Parce que tu crois que ton espèce de truc hideux de groupie portant le nom de Lavande Brown ferait une meilleure Préfète en Chef ? » demanda Hermione, touchée par les derniers mots de son meilleur ami.
« J'ai pas dit ça mais si tu continues… ça se pourrait bien ! » renchérit Ron, devenant légèrement rose.
« Ronald Weasley… tu n'es… tu n'es… » commença à pleurer Hermione.
« Je suis ? »
« Qu'un sale Serpentard ! »
Ron resta bouche bée face à l'insulte que venait de lui faire la fille qui… pour qui… il avait le plus de respect.
« Her… Her… Hermione… » bégaya-t-il, « tu… tu… tu m'as insulté là ? Non ? »
« Tu n'avais qu'à pas dépasser les bornes, Ron, et tu le sais aussi bien qu'Harry, n'est-ce pas Harry ? » dit-elle en essayant en vain de monter la voix et se tournant vers Harry.
« Il n'y a pas que Ron, 'Mione, qui a dépassé les limites » dit-il d'un ton réprobateur. « Vous les avez tous deux dépassées ! »
« Harry, honnêtement, ne te mêle pas de ça. » lança le rouquin d'un ton qui laisserait sans voix n'importe qui sauf Harry… et sûrement ces prétentieux et arrogants Serpentard.
« Si justement, je m'en mêle car vois-tu, mon petit Ronnikee d'amour, MOI j'en ai ma dose ! J'en ai marre de vous voir sans cesse vous chamailler comme… »
« Comme quoi ? » interrogea « Ronnikee » subitement.
Sur ce, Hermione, congelée dans son coin, pâlissait soudainement face aux mots qu'Harry s'apprêtait à prononcer.
« Comme deux idiots qui s'aiment éperdument mais qui, au lieu de se l'avouer comme des gens NORMAUX, font chier continuellement leur meilleur ami depuis six ans, ça te va ! » crépita Harry, le cœur soudainement plus léger.
« Euh… t'as fini ton discours là… C'est bon ? »
Ron devenait de plus en plus rouge. Un rouge de colère pour ce que venait de sortir son meilleur ami, et à la fois de honte par le fait qu'il s'agisse de ses sentiments les plus intimes.
Quant à la brunette, toujours aussi pâle, elle tentait de se faire aussi petite qu'une fourmi…
« Mes chéris, que se passe-t-il ici ? On attend que vous dans le jardin ! Fleur et Bill viennent tout juste d'arriver et ont une nouvelle à nous annoncer alors venez vite ! »
La voix de Molly résonna dans la petite pièce alors que chacun des trois Gryffondor se fixaient toujours dans les yeux, sans aucune réaction.
Molly allait continuer sa tirade lorsqu'elle s'inquiéta du silence inhabituel qui régnait dans son hall d'entrée.
« Que se passe-t-il ici ? » redemanda-t-elle.
Aucune réponse ne sortit de la bouche des ados.
« Harry, pourquoi es-tu dans cet état ? Ça ne va pas ? » Puis se tournant vers son fils « Ronichou… je t'avais prévenu pour ton allergie au soleil… ta peau claire et voilà… oh regarde-moi ces plaques rouges ! » dit-elle en caressant la joue de son « bébé ».
« Maman… ça va ! » répliqua Ron en bombant le torse, « j'ai plus cinq ans ! »
« Je sais, je sais… 'Mione chérie, pourrais-tu m'expliquer, toi ? Non parce que là j'avoue ne plus vous reconnaître et j'aimerais… »
Molly stoppa net sa phrase lorsque quelque chose au bas du dos d'Hermione retint son attention.
« Mione, qu'as-tu donc sur ton dos ? »
Hermione ne comprenant pas de quoi son interlocutrice parlait, la laissa s'approcher pour mieux regarder.
« Là… ici… mais… oh mon Dieu ! »
Molly, qui venait à présent de comprendre, resta sans voix.
Elle ne fut d'ailleurs pas la seule car à ce moment précis, Hermione recula d'un pas et rabaissa son débardeur… débardeur qu'elle regrettait à présent d'avoir mis.
« Maman… qu'est-ce qui te prend ? Qu'est-ce qu'il y a ? » questionna Ron, ne semblant pas avoir vu ce qui troublait ainsi sa mère.
Hermione s'en voulait… elle avait oublié qu'elle ne devait pas mettre ce genre de tenue en présence d'Harry et de Ron ! Et là… c'était… le drame… c'était trop tard.
« Hermione… qu'est-ce que c'est que ce tatouage ? Je croyais que… je croyais… » bégaya Molly.
« Quoi ? Mais de quoi tu parles, maman ? 'Mione n'a jamais eu de tatouage, elle déteste les aigui… »
Hermione n'eut pas le temps de réfléchir et de s'écarter, elle sentit des mains familières effleurer son tatouage.
Lorsqu'elle leva la tête pour voir à qui étaient ces mains si viriles… elle tomba dans les yeux remplis de tristesse et de rage de Ron.
« Ron… je… je… je vais t'expliquer » tenta de dire Hermione d'une voix faible.
A ce moment, Ron se sentit submergé de toutes sortes de sentiments possibles en même temps.
Il enleva sa main aussi rapidement que possible, comme si le corps d'Hermione était brûlant comme la braise.
Harry, totalement largué par tout ce qui se passait depuis son arrivée au Terrier, s'était légèrement mis sur pause mais fut réveillé par un hurlement.
« Hermione… qu'est-ce que ? HARRRRRYY ! »
Le Harry en question se liquéfia au son si… si inhabituel de la voix de son ami.
« Quoi ? Ron, quoi ? Qu'est-ce que j'ai encore dit ? »
Hermione tenta de calmer le rouquin en lui posant délicatement sa main sur l'épaule. Main qu'il rejeta d'un coup brusque d'épaule.
« Ron… ne dis rien que tu puisses regretter… il n'est pas au courant. »
« Au courant de quoi, bordel ? Arrêtez d'hurler, j'y comprends rien ! » commença Harry en élevant la voix face aux furies qui se tenaient devant lui.
« Fiche-toi de ma gueule, Potter ! Et moi qui te faisais confiance ! T'étais sensé m'aider, pas me tromper ! » le fusilla Ron.
« Enh ! »
Ne fais pas le crétin, Potter ! J'en ai assez de tes conneries ! J'aurais du me douter que tu aimais Hermione ! Depuis toujours… ! Depuis toujours j'aurais du m'en douter ! Comment tu lui souris, comment tu l'enlaces ! Tu me dégouttes Potter ! »
« Calme-toi Ron ! » intervint Hermione, « … je te dis qu'il n'y est pour rien là-dedans, c'est moi qui suis responsable de tout, je… je… je vais tout vous expliquer, je crois que ça a trop duré maintenant » tenta en vain d'expliquer Hermione, face à la rage de ses deux amis.
« WWWWWEEEAAASSSSSSLLEYY ! » tonna Harry, à présent hors de lui.
Un calme temporaire régna l'espace de… trente secondes pendant lesquelles Harry tenta tant bien que mal d'immerger de ce gros chaos.
« POTTER ! » renchérit Ron, écarlate, « j'aurais du m'en douter depuis le début ! Sa Majesté Potter avait le nom, la gloire, la célébrité, le look… mais non, tout ceci ne te suffisait pas, il a fallu que tu ais aussi ma copine ! »
Hermione eut un hoquet de surprise avant de sortir :
« TA copine ? Ronald Weasley je n'ai JAMAIS été TA copine ! Si tu crois que je n'ai rien compris à ton petit jeu, c'est RATE ! Je t'ai dévoilé mes sentiments en quatrième année, mais tu t'OBSTINAIS à croire que j'étais attirée par Viktor ! Tu savais ce que je ressentais pour toi, ne fais pas le gamin de Pouffsouffle ! »
« Quoi ? » Ron perdit l'équilibre et dut se raccrocher au meuble le plus proche.
Tu m'as très bien comprise ! Je t'aimais et tu n'as rien fait ! C'est de ta faute en fait, tout est de ta faute ! A force de refouler tes sentiments, ce sont les miens que tu as effacés ! » continua Hermione, le cœur soudain plus léger.
Confus face à cette énième dispute entre ses deux meilleurs amis, Harry sortit sa baguette et avant même que l'un des deux ne s'en aperçoive, il hurla :
« STUPEFIX ! »
On peut réellement dire 'hurla' étant donné qu'il y a de fortes probabilités que, de sa Bulgarie profonde, Viktor Krum ait entendu le sort (m'enfin bon, on a assez de deux mecs dans de beaux draps, on ne va pas y ajouter celui-là !).
« Ron, » commença calmement Harry, « je dois t'avouer que j'ai du mal à vous suivre tous les deux. Pour ce qui est de tes accusations de soi-disant vol de copine, je ne vois pas dans quoi tu m'impliques étant donné que tu n'es sorti avec personne depuis que je te connais ! Sans vouloir te vexer bien sûr… » ajouta-t-il en ébauchant un sourire.
« Secundo, auquel cas tu parlais d'Hermione, je pense qu'elle est assez grande pour agir seule. Seulement tu ne peux pas m'accuser de te l'avoir volé puisque, de un tu ne sors pas avec elle et de deux, parce que tout simplement elle n'est pas un objet. Hermione est ma meilleure amie et tu le sais depuis qu'on a onze ans, alors ne me dis pas que mes sentiments envers elle ont changé juste pour t'embêter ! »
Harry continuait son monologue face aux deux statues qui étaient réduites à l'écouter.
« J'ai toujours aimé Hermione… après tout qui ne l'aimerait pas ? Toi le premier tu le sais ! »
« Mais… mais elle est comme une sœur pour moi… la sœur que n'importe quelle personne aimerait avoir… » ajouta Harry.
Pourtant, lorsqu'il prononça ces mots, il sentit comme… une fausse note.
Jusque là, tout ce qu'avait avoué Harry était vrai : il considérait Hermione, sa 'Mione, comme sa meilleure amie… et il l'aimait plus que tout aussi… jusque là, tout sonnait juste.
Pourtant, lorsqu'il la compara à une « sœur » pour lui, son cœur flancha et Harry n'en comprenait pas très bien la raison.
C'était comme si… comme si son cœur refusait de la traiter comme une sœur… mais… plus… comme… 'Non, ce n'est pas possible' se marmonna en lui-même Harry. 'Hermione et moi ? Non…non… elle est comme une sœur pour moi…'
Harry resta ainsi, sans voix, pendant trois bonnes minutes, attendant une aide… une réponse de son ami… lorsqu'il se rappela qu'il avait lancé un sort de stupéfaction.
Sans regarder Ron directement en face, Harry annula le sort.
Hermione ne bougea toujours pas.
Non plus liquéfiée par le sort d'Harry mais par ses paroles… Ses derniers mots plus précisément.
'Une sœur… seulement une sœur…' se désespéra Hermione, dont les larmes commençaient à monter.
'Une sœur… seulement une sœur…' tentait de se persuader Harry, son regard évitant autant celui de Ron que d'Hermione.
« Ron » laissa-t-il échapper de ses lèvres tremblantes, « qu'est-ce qui te fait croire que… que 'Mione et… et… que… Hermione et moi t'avons trompé ? Je… je viens juste de réaliser que tu ne m'as toujours pas expliqué d'où viennent tes accusations ! » se rappela Harry, redevenu aussi calme que s'il avait pris une douche froide.
Son ami se tourna alors vers Hermione, et sans avoir la force de pouvoir dire autre chose, pointa du doigt le tatouage d'Hermione.
« Ça… »
Hermione, pâle durant toute la conversation, et malgré les larmes qui coulaient librement, prit soudain une teinte rose vif en s'apercevant que de magnifiques yeux vert émeraude la dévisageait de haut en bas pour finir par s'arrêter sur… son tatouage.
Harry ne sembla pas tout à fait faire le rapport entre le simple tatouage qu'arborait Hermione et la violente dispute qu'l venait d'avoir avec son meilleur ami.
Il se rapprocha de plus près, gêné d'admirer les formes innocentes mais joliment présentes de Mione… Quand il fut assez prêt pour distinguer la forme réelle du tatouage, sa bouche s'ouvrit, telle celle d'une carpe hors de l'eau.
Son regard n'arrivait plus à s'en détacher. Le souffle coupé, le cœur battant la chamade… les papillons dans l'estomac… les oiseaux gazouillant dans sa tête et… cette chaleur… si présente qui lui parcourait le corps.
Une chaleur… qui lui était étrangère… mais… pourtant… si… bienvenue !
Il n'avait jamais ressenti cet effet-là avant !
Un éclair… un… un… un éclair pensa Harry sous le choc. Il existe des millions de milliards de tatouages possibles mais… les yeux de Harry se mirent alors à briller… c'est un éclair… le tatouage d'Hermione est un éclair… mon éclair.
Ron semblait faire un cauchemar… oui, ça devait être ça… un cauchemar… et il allait se réveiller… il le fallait…
Hermione quant à elle ne savait plus que faire face aux deux paires d'yeux qui la fixaient comme si elle était un troll.
« Un ravissant troll » souffla Harry, comme s'il avait perçu les pensées de la brunette.
Hermione releva soudainement la tête, ne croyant pas ce que venait de lui souffler tendrement Harry.
« Tu as bien entendu » ajouta-t-il, tout en s'approchant plus près d'elle.
Les yeux chocolat d'Hermione se mirent à pétiller de surprise lorsqu'elle sentit le souffle chaud (à quelques centimètres d'elle) de son ami.
Effectivement, ne sachant lui-même pas comment il était arrivé jusque là, Harry s'aperçut à son tour que leurs visages n'était séparés que de quelques… ridicules… centimètres.
Tout à coup, un gros « BOUM » se fit entendre. Ron s'était évanoui…
… mais personne ne sembla s'en inquiéter… les yeux plongés dans le regard de l'autre, Hermione et Harry laissèrent le destin les emporter.
Harry mit alors son cerveau sur pause… son regard plongé sur celle dont la beauté lui faisait perdre la tête… puis il enlaça délicatement, de ses bras musclés, la fine taille d'Hermione et… quelques microsecondes plus tard… l'embrassa…
… l'embrassa d'un baiser passionné… qui se voulait éternel…
Ayé le chapitre est finit ! j'espere kil vs a plu, j'esséré de poster la suite bientôt, si les reviews st nombreuses !
Bizooo
Lolly