Salut. Ben voilà mon histoire, j'espère que vous aimerez.
C'est un univers alternatif. Le monde de Harry Potter ne m'appartient pas mais l'histoire si.
Mon histoire commence quand Harry à 15 ans donc son enfance et sa scolarité sont une sorte de prologue on va dire.
/!\ Cette histoire contient un slash donc homophobes s'abstenir. /!\
La conversation entre Minuit (le chat) et Harry se fera dans l'esprit de ce dernier.
J'ai décidé de corriger mes chapitres donc si vous voyez une erreur que je n'ai pas vu, dîtes-le moi.
Chapitre 1: La Rencontre.
Harry James Potter était quelqu'un de calme, doux et gentil, un vrai petit ange, du moins avec ceux en qui il avait confiance. C'est-à-dire personne. Sa vie était normale, entre ses cours à Poudlard, l'école des sorciers, ses corvées à la maison de ses tuteurs et ses devoirs, il n'avait pas trop le temps de se faire des ennemis.. et des amis par la même occasion.
Ses parents avaient été assassiner quand il avait un an. Et tout naturellement, il fut recueilli par la sœur de sa mère, Pétunia Evans, mariée à Vernon Dursley et mère de Dudley Dursley. Il croyait qu'il vivrait heureux mais il avait tort. Au début, On l'appelait le monstre, l'anomalie, la chose... et petit à petit il commença à faire le ménage, la cuisine, la vaisselle, le repassage... un véritable esclave. Mais la maltraitanc ne s'arrêtait pas là, il vivait dans un placard sous l'escalier en guise de chambre et ne mangeait qu'une fois par jour. Et son gentil tonton qui lui donnait quelques corrections quelques fois -vraiment très sympa ce tonton- vec ses mains ou à l'aide de sa ceinture, mais aucune blessure violente que le temps ne puisse effacer.
À l'âge de cinq ans, il partit à l'école, apprit très vite à lire et à écrire, sa maîtresse ne tarissant pas d'éloges sur sa personne. Après les cours, il restait à la bibliothèque soit pour converser avec la bibliothécaire, soit pour lire un livre avec des images. Quelques fois, il s'y cachait de peur que son cousin et sa bande d'énergumènes jouent à la "chasse au Harry", sachant pertinemment qu'ils ne mettraient jamais un seul pied dans cet endroit "totalement nul et inutile" d'après eux. Des années passèrent et Harry était toujours aussi studieux.
Il était très intelligent. Bien sûr, son oncle avait bien essayé de lui faire comprendre que Dudley devait avoir de meilleurs résultats que lui à l'école, mais Harry ne flancha jamais, si bien que son oncle abandonna tellement il était une tête de mule.
Un beau jour, à ses dix ans, un imprévu se passa. Les sorciers se révélèrent aux moldus, des personnes dépourvus de pouvoirs magiques, et à sa grande surprise, il se révéla être doté de pouvoirs magiques. Ce qui expliquait tout ces petits accidents comme par exemple comment, après une journée sans être nourri, un plat de pâtes apparut dans sa chambre, ou bien comment une couverture se matérialisa quand il crevait de froid pendant les jours enneigés. Et avec quelques chantages bien placés, il put avoir la deuxième chambre de Dudley. Il avait essayé d'avoir de nouveaux vêtements au lieu de ceux de son gros cousin mais ses tuteurs avaient catégoriquement refusé.
Un an plus tard.
Le 31 Juillet 1991, un hibou pénétra par la fenêtre de la cuisine et vint jusqu'à lui, tenant une lettre dans son bec. Ce moyen de communication était d'actualité dans le monde sorcier. Et depuis, moldus et sorciers cohabitaient ensemble sur terre. Au début, ce fut une grande guerre entre les deux peuples, mais comme les deux camps subissaient de lourdes pertes, ils avaient décidé d'un commun accord de rédiger de nouvelles lois afin de pouvoir vivre en paix. Bien sûr, les Dursley avaient refusé cette solution, mais après quelques remarques de la part des voisins, ils avaient préféré garder leur jugement pour eux.
Il ouvrit sa lettre et lut le contenu. C'était ses affaires de Poudlard, l'école où on lui enseignerait la magie. Excité comme une puce, il vida son jus d'orange et demanda à son oncle de l'emmener à Londres pour acheter ses fournitures scolaires.
- Avec quel argent ?, ricana oncle Vernon, mauvais.
Il possédait un visage rond et grassouillet ainsi qu'un cou quasi inexistant. Il transperçait Harry de ses petits yeux de porcins. Sa tante était, au contraire maigre comme un clou avec un cou de girafe, pouvant ainsi faire sa commère au-dessus de la haie des voisins. Dudley ressemblait énormément à son père, et un enfant terriblement gâté, qui méprisait Harry.
- Et bien, ils m'ont donné un peu d'argent pour acheter tout ce dont j'ai besoin.
Ce qui était vrai, le professeur McGonnagall, la directrice adjointe de Poudlard lui avait donné une petite clé par le biais de la missive capable d'ouvrir un coffre à Gringotts, la célèbre banque des sorciers. Elle expliquait aussi comment se rendre sur Le Chemin De Traverse, l'allée marchande pour les sorciers.
- Très bien, en route. Mais si on croise des gens de ton espèce, je ne te connais pas et tu ne me connais pas, cracha son oncle, intransigeant.
Vernon le laissa devant un pub Le Chaudron Baveur précipitamment sans échanger aucun mot avec le brun qui entra à l'intérieur et demanda à Tom, le gérant, la route permettant de se rendre au Chemin De Traverse. Gentiment, l'homme lui montra le chemin.
Harry, suivant son conseil , se retrouva sitôt après devant des magasins de plus en plus étranges. De l'animalerie magique où l'en vend des hiboux à un magasin de farces et attrapes, en passant par une allée sombre, obscure et lugubre, à vous donner la chair de poule.
De plus en plus excité, le brun prit le chemin menant à une énorme bâtisse blanche, qui n'était autre que la célèbre banque des sorciers. À L'intérieur, il tomba sur des Gobelins, chacun ayant un travail bien spécifique. Timidement, il se dirigea vers un guichet, pensant au passage que ces Gobelins lui faisaient un peu peur.
- Bonjour, je suis Harry Potter et je souhaiterais retirer un peu d'argent.
- Votre clé ?, demanda le Gobelin après un long moment de silence.
Le petit garçon lui donna une petite clé et le suivit rapidement alors qu'il se dirigeait vers une porte qui menait dans les profondeurs de l'endroit. De peur de faire attendre la petite créature, il prit un peu d'argent, suffisamment pour subvenir à ses besoins scolaires et sortit.
De nouveau dans le hall, il remercia Bam, le Gobelin qui l'avait conduit à son coffre et partit faire quelques achats. A commencer par les robes de l'école, les bouquins, les ingrédients de potions et tout le tralala avec une baguette magique de 27.5 cm en bois de houx avec une plume de phénix comme noyau. En fin de journée, il avait tout ce qu'il fallait et c'est en marchant gaiement qu'il prit le bus qui le ramena chez lui.
Il se réveilla en sursaut quelques heures plus tard à cause d'une lumière aveuglante au centre de sa chambre. Il était rentré aux environs de 19 heures. Il avait préparé à manger pour sa famille et avait avait chipé discrètement quelques morceaux légumes, sachant pertinemment que sa famille n'allait pas le nourrir correctement. Enfin, il avait fait la vaisselle, et était parti se coucher.
La lumière perdit de son intensité jusqu'à ce qu'elle disparaisse finalement. Le brun n'eut pas le temps de faire un seul geste qu'une chose noire non identifiée lui sauta dessus avec un petit "Miaou" de contentement. Avec beaucoup d'efforts, le brun réussit à déloger le truc qui se révéla être un petit chaton noir aux yeux ambrés. Trop mignon, pensa Harry jusqu'à ce qu'il voit des petites ailes noires dans son dos.
- Qui es tu ? demanda distraitement Harry à voix haute, avide d'en savoir plus sur l'étrange petite créature.
- Ton gardien.
Le petit garçon sursauta violemment à cause d'une voix venant de percer dans son esprit, mais il n'y avait personne dans cette chambre. Il reporta son attention sur le chaton, les yeux pleins d'interrogations. Ce dernier lui fit un petit hochement de tête. Maintenant, Harry était clairement perdu. Normalement, les chats ne faisaient pas de hochements de tête. Devinant ses pensées, l'animal lui lécha le bout du nez.
- C'est toi qui a parlé petit chat ?, questionna Harry.
Après tout, il était un sorcier, et tout était possible avec de la magie.
- Oui c'est moi, confirma-t-il, mais appelle-moi Minuit.
- Euh... ok. Tu as dit que tu étais mon... gardien ?...
- Exact. Je suis le gardien de ceux qui peuvent porter des enfants naturellement.
- QUOI ?, cria Harry.
Se rendant compte de son erreur, il se concentra sur un possible bruit de marche mais n'entendit que les ronflements de Vernon et Dudley. Harry soupira de soulagement, au moins il n'aurait pas de corrections pour les avoir réveillé.
- Sur ta hanche droite, tu as une marque runique, c'est la marque de fécondité, expliqua le chat. Les porteurs sont normalement plus petits et plus chétifs que les autres et c'est pour cela que je suis là. Je suis un félin ailé magique et je peux grandir en fonction de ta peur, autrement je reste un chaton.
Harry avait les yeux écarquillés après toutes les informations que Minuit lui avait fourni. Fébrilement il leva le haut de son pyjama, priant silencieusement pour ne pas trouver de marque mais il n'avait vraiment pas de chance. Sur sa hanche droite, il trouva LA marque dont Minuit parlait. C'était un étrange "B" en forme de montagnes avec un point en haut. Le tout était d'une encre noire, gravé sur sa peau caramel. Se souvenant de son invité, il lui apporta un bol de lait sur la pointe des pieds, il ne voulait pas réveiller sa " famille ". Minuit le remercia chaleureusement et goba le délicieux liquide, heureux et content de voir que son nouveau protégé était aussi gentil.
Se recouchant sur son lit, il fut rejoint par le chaton qui ronronna quand le brun le caressa.
- Attends, tu parles réellement ?
- Et c'est maintenant que tu te rends compte de ça. Bon j'ai créé un lien télépathique quand je t'ai sauté dessus, avoua t-il en lui léchant gentiment la joue. Et je peux te parler dans ton esprit.
Sur ses belles paroles, ils s'endormirent paisiblement jusqu'au matin.
Poudlard était un château vraiment impressionnant. Le brun aurait dû dormir à l'école pendant toute la durée de l'année scolaire mais après de nombreuses plaintes des parents des Nés-moldus, le conseil, approuvé par les Sang-Pur extrémistes qui ne voulaient pas voir ce château envahi par de la vermine, décréta que seul les Sang-Pur et quelques Sang-Mêlé dont le nom de famille était ancestral (et qui plaisaient aux familles Sang-Pur) pourraient habiter dans le château tandis que les autres rentreraient par le biais du bus spécial Poudlard, le Poudlard Express, nommé ainsi en hommage au train d'antan.
Ses premières années se passèrent sans problème,le seul petit bémol fut qu'il n'avait pas d'amis, les autres garçons évitaient sa compagnie, et c'était tant mieux du point de vue de Harry qui ne les aimait pas trop. Un jour, il avait entendu quelqu'un dire qu'il le détestait juste parce qu'il jalousait la couleur de ces yeux, totalement stupide selon Harry. Devenu indépendant depuis son enfance chez les Dursley, il n'avait pas besoin d'ami, mais il avait toujours ce petit pincement au cœur quand les autres l'évitaient. Un seul garçon le saluait tous les jours et il mit un point d'honneur à retenir son nom : Neville Londubat.
Ses premiers cours se révélèrent difficiles dans un premier temps mais avec un peu de pratique il réussissait une fois sur deux du premier coup. Il était bien entendu le premier de sa classe et travaillait dur pour mériter cette place. Avec aucun ami à Poudlard et sa famille qui était effrayée par lui, il avait beaucoup de temps pour pouvoir travailler calmement.
Sa directrice de maison Minerva McGonnagall décida de lui faire sauter sa cinquième année (sous l'insistance de Harry qui s'ennuyait en classe) et le jeune sorcier passa ses BUSEs en récoltant un Optimal dans toutes les matières principales en plus des Runes anciennes et de l'arithmancie, excepté la Botanique et la Métamorphose, où il eut la mention Effort Exceptionnel en plus d'un Acceptable en Astronomie et l'Histoire de la Magie. Mais il dut bosser comme un malade pour avoir ces notes.
Harry n'avait pas particulièrement changé. Ses cheveux noirs étaient longs et soyeux arrivant au bas du dos, des yeux verts émeraudes époustouflants, qui brillaient d'une lueur innocente charmant tout son entourage. Petit et chétif pour son âge, même trop à son goût. Il était aussi mince, androgyne et avait de petites mains. Il ressemblait à une fille, et pour cause, son visage était doux, lisse et légèrement efféminé, il en avait même fait un gros complexe. Ne trouvant aucun moyen afin de cacher sa Marque à l'aide d'un sortilège, il évitait de se déshabiller devant les autres.
Il l'avait déjà caché avec du maquillage mais Minuit lui avait fait la tête à cause de ça, d'après lui, porter cette marque était un honneur, et lui il la cachait avec du maquillage, une honte !
Le brun n'avait pas d'amis proches, les jugeant trop stupides, sauf Neville qui une personne plutôt proche de lui. Mais il préférait la présence des livres, surtout les livres fantastiques et les science-fiction, un monde où il pouvait s'évader quand il n'en pouvait plus de sa solitude.
Aujourd'hui, on était le 5 mai, l'école était fermée pour cause de rénovations, des petits malins ayant eu la riche idée de faire exploser une partie de l'école grâce à une potion de destruction, les dignes successeurs des jumeaux Weasley.
Soupirant, Harry décida d'aller se promener dans les bois à côté de sa maison, laissant Minuit se reposer. Il adorait les bois, trouvant le silence de la forêt agréablement reposant, aimant lire là-bas. Il fit une randonnée et s'enfonça bientôt dans les profondeurs de la forêt sans voir le prédateur qui le suivait à la trace, avide de chair humaine.
Entendant un bruit de craquement derrière lui, il se retourna et tomba nez à nez, enfin nez à truffe avec un loup noir qui grognait et crachait dans sa direction. Sans se faire prier, et trouvant qu'il avait eu une vie un peu trop courte à son goût, il commença à courir, zigzaguant entre les arbres. Sa souplesse et son endurance lui furent d'une grande utilité, malheureusement la course poursuite fut de courte durée car une racine le fit tomber.
Le sorcier jura intérieurement, sachant pertinemment qu'il ne pourrait pas se cacher avant la venue du loup qui arriva prestement devant lui. Immense et imposant. Résigné, il ferma les yeux, attendant une attaque, priant silencieusement de l'aide. Mais aucune attaque ne vint, à son plus grand étonnement, peut-être que sa prière avait été exaucer. Prudemment, il rouvrit les yeux et tomba sur un tableau surprenant. Un homme, dos à lui était en train d'assommer le prédateur, utilisant force et rapidité.
La tâche accomplie, son sauveur se retourna, s'agenouilla à côté de lui et murmura quelques paroles que Harry ne comprit pas, trop confus par cette attaque surprise . Immédiatement, sa vue se brouilla et il sombra dans les ténèbres.
Harry se réveilla au chaud, dans un lit moelleux qui n'était pas le sien, recouvert d'une couverture qui n'était définitivement pas la sienne puisqu'il n'en avait pas, les Dursley jugeant inutile qu'il en ait une pendant l'été. Prit d'une peur panique, Harry ouvrit les yeux et se redressa. Regardant autour de lui, il remarqua qu'il était dans une chambre blanche avec un lit, un bureau, une armoire et deux portes, l'une à droite et l'autre à gauche. Une belle pièce, en somme.
Il se dirigea vers celle de droite et découvrit une petite salle de bain avec un lavabo, des toilettes et une douche. Il retourna à la chambre et se dirigea cette fois-ci vers l'armoire avec un miroir en guise de porte. Le brun observa son reflet et découvrit qu'il portait toujours les mêmes vêtements qu'avant son évanouissement. Bien. Au moins, la personne qui l'avait amené ici n'avait pas vu la marque.
Avant toute chose, il se décida à appeler son petit chaton, Minuit.
En fait, le félin magique et lui avaient développé un lien et Minuit devint par conséquent son familier magique. Chaque fois que Harry l'appelait, le chat apparaissait dans une fumée noire, n'importe où. Et cette fois-ci aussi ne fit pas exception à la règle. Rapidement, Harry se retrouva avec une petite boule de poils sur ses genoux. Doucement, il caressa son chaton pour le réconforter.
- Où étais tu bon sang ! Ça fait des heures que je te cherche.
- Alors, commença Harry. Je me suis fait attaquer par un loup pendant ma promenade, une racine m'a fait tomber, j'ai failli être dévoré tout cru par ledit mais un homme m'a sauvé de mon triste sort et je me suis évanoui. Fin.
- Et tu m'en parles comme si de rien n'était, grommela Minuit. Où sommes-nous ?
- Je ne sais pas. Peut être chez mon sauveur.
A peine avait-il prononcé ces mots que le même homme qui l'avait sauvé entra dans la chambre, portant avec lui un plateau rempli de bonnes choses.
- Salut, commença l'homme visiblement mal à l'aise, tu as faim ?
Mais Harry ne répondit pas, trop concentré à détailler le blond en face de lui. Car oui, c'était un blond, du moins, c'est ce que pensa Harry car sa couleur de cheveux tirait plus au blanc qu'au blond. Il avait des yeux d'un gris acier saisissant. Il était de grande taille, possédait des traits indéniablement masculins. Magnifique. Trop pour que cela paraisse normal aux yeux du jeune sorcier.
- Méfie-toi, conseilla Minuit dans sa tête. C'est un veela. Et un puissant on dirait.
Un veela. Intéressant, ce qui explique donc sa couleur de cheveux.
- Si tu continues comme ça, je vais croire que tu es muet, plaisanta le veela, de plus en plus mal à l'aise.
- S'il veut tant que ça t'entendre parler, demande lui du lait, j'ai fail, quémanda le chaton tout en miaulant.
Harry esquissa un petit sourire. Vraiment, Minuit était un ventre sur pattes. Voyant l'homme ouvrir la bouche, il se décida à parler.
- Puis-je avoir un bol de lait ?, demanda-t-il d'une voix douce et mélodieuse.
Trop concentré sur son chaton, il ne vit pas le blond frissonner à l'entente de sa voix, au contraire de Minuit qui se promit de garder l'oeil ouvert avec ce veela.
Précipitamment, le blond posa le plateau sur le lit, prit un bol, le remplit de lait et le donna à Harry. Avec un petit sourire, Harry le remercia, prit le bol de lait, le mit sur le sol et se releva, laissant Minuit boire à son aise.
Il regarda alors curieusement l'adulte, espérant le faire de nouveau parler pour en savoir plus sur lui. Se rendant compte de cette inspection surprise, le blond lui fit un petit sourire et montra le petit-déjeuner de la tête. Ayant un peu faim, Harry saisit un toast délicieusement beurré et s'en régala, le tout sous l'œil scrutateur du veela. Après avoir bu un jus d'orange(il détestait le jus de citrouille),il rompit finalement le silence qui s'éternisait.
- Merci de m'avoir sauvé du loup.
- De rien, j'aime bien sauver les gens des loups, plaisanta le germent le blond. Au fait je suis Draco Malfoy.
- Harry Potter.
Draco, un nom vraiment étrange. Il le regarda longuement. Draco, voyant qu'il le regardait encore, lui sourit cette fois-ci plus chaudement.
- Vous êtes un veela, n'est ce pas ?
- Quoi ? Comment... ?
Ne sachant quoi dire, Harry haussa les épaules tandis qu'il soulevait Minuit, qui s'était approché pendant leur conversation et qui le regardait lui et Draco d'une façon étrange.
/- Non mais vraiment Harry, tu te mets dans des situations pas possibles, murmura son ange gardien./
- Pourquoi dis-tu ça?
- C'est toi, son compagnon, idiot.
Voilà j'espère que ça vous plaît. Review please.