Espèce de brute !

OS écrit en cour d'éco...j'avais rien de mieux à faire !

...

Le silence, la solitude. Voilà ce que je découvre lorsque j'ouvre mes yeux. Il n'y a pas que cela, une pièce blanche. Je suis assis en son centre, sur un siège d'acier, les chevilles et les poignets enchâinés.

Mes yeux me piquent et ma tête retombe mollement sur mon buste. J'ai l'impression d'avoir été drogué et peut-être même violé. C'est l'hypothèse que je formule lorsque je découvre du sang entre mes jambes.

Je ne suis pas nu et je porte une chemise blanche beaucoup trop grande. C'est étrange. Je me demande ce que je fais là, mais je ne me rappelle de rien. Le silence et la solitude deviennent vite pesant. Il n'y a personne, juste moi.

Comment suis-je arrivé ici, impossible de savoir, je ne me souviens de rien.

C'est soudainement que le courant disparaît, et la pièce se retrouve plongée dans un noir ténèbres effrayant. Ma respiration s'accélère, j'ai peur. Une main se pose sur ma cuisse et remonte doucement vers mon entre-jambe.

On me chantonne My Fair Lady, c'est comme une berceuse. Mes yeux deviennent lourds, je ne veux pas me laisser faire, hors de question. Qu'on rallume cette foutue lumière pour que je puisse voir la tête de cet enculé, bordel !

Sa main arrive à mon pénis et joue avec mon gland. Bientôt, mon entre-jambe se dresse, sans le vouloir. La chanson se termine et ma tête retombe à nouveau contre mon buste.

Avant que je ne m'endorme, j'entends une voix inquiétante et suave dire :

« Dors mon petit Ciel, laisse-moi m'occuper de toi ! »

N.D.A : Une suite est à prévoir pour répondre à vos questions : Qui est ce drôle de type ? Que veut-il à Ciel ? S'en sortira t-il ?