Après avoir fini mon travail avec la paprass, je décide de rentrer chez moi un peu plus tôt en informant d'abord le judaime, il est fin d'après-midi et quand je suis sorti du manoir, je fus étonner du broillard qui fait dehors, le brouillard et épais comme de la purée de petit poids.
Je prend mon courage à deux mains et je m'engage sur cette route que je voyais à peine.
Quelque minutes plus tard je me sens mal à l'aise.
Mukuro : kufufu, on se promène ma chère marie. (d'un regard pas très rassurant)
Et oui mukuro et apparue derrière moi sans un bruit en me tapotant mon épaule droite.
Marie : Haaaa ! Sava pas de me faire peur comme sa ! Tu veut ma mort ? (éfrayer)
Mukuro : Et bien si tu veut le savoir ... (sourire sadique)
Marie : Non je préfaire pas le savoir. Que me veut tu ?
Mukuro : Kufufu, je veut te racompagner chez toi, on sais jamer tout peut arriver dans ce brouillard.
Marie : Bon d'accord tu peut m'acconpagnais. (soupir)
On commence à marchait. Quelque mètres plus loin ont entand un bruit devant nous. Je met mon chapeau de mafieu et je me transforme en tireuse d'élite sens pitiè avec un costar, je prend mon pistolet et tire vers l'endroit où il y à le bruit. C'ètait tsuna qui a pue éviter la ball grace à son hyper intuition et il sourit, mukuro lui tira mon chapeau pour que je redevien comme avant.
Marie : Tsuna ! Excuse moi de t'avoir tiré dessu ! (paniquer)
Tsuna : Ces pas grave, tu a crue que s'était un énnemie ces bien normal. (souri bètement)
Mukuro : Kufufu, notre chère marie et toujours prudente à ce que je vois. (éclate de rire)
Marie : Oui, surtout quand tu est à coté de moi.
Tsuna sourit et repart vers le manoir.
Tsuna : Bonne fin de journée.
Marie : Oui toi aussi.
Mukuro fait signe de la tête.
Nous contignions notre chemin, nous arrivons à l'entrer de la ville.
Soudain mon télèphone sonne ..
Marie : Allo ?
? : Quece que l'ananas fout avec toi ?
Marie : haaaa ! Hibari ces pas ce que tu crois, il fait que me racompagner chez moi et il s'en va !
Hibari : Il a intérait sinon je vous mord à mort tous les deux ! (il racroche)
Mukuro : Kufufu, c'était l'alouette n'est ce pas ?
Marie : Oui (soupir)
Enfin nous arrivons chez moi, je m'aprète à dire aurevoir à l'ananas, mais il est entrait chez moi comme sa sans ma permition.
Marie : Tu fais quoi la ? (étonner)
Mukuro : Kufufu, je m'invite bien sur.
Marie : Mais attend sa se fait pas sa !
Mukuro : A bon ! Excuse moi alors, aurevoir ma chère marie.
Il s'approche de moi et me tena la tête doucement et m'embrasse sur mes lèvre.
Je suis vexer, perdu et rougissante. Je savais pas quoi dire ni comment réagir.
Il me regarde avec des yeux conqui et disparait dans la brume.
Le landemain matin je me rend au manoir pour faire mon travail abituelle (trier la paprass, leurs donnée des cours d'économie ...).
Je passe dans la salle de repos après 3h00 de paprass et je décide de faire une petite pause.
Il y a émeline en train de lire un bouquin dans un fauteuil, hibari qui lis ces documents sur une chaise devant une table près de la bel vitré, yamamoto qui nétois son épée sur un pouf et chrome qui réfléchi dans le grand canapé coté gauche.
Marie : Bonjour tout le monde. (épuiser)
Yamamoto : Yo marie ! (souriant)
Chrome : Bonjour. (timide)
Hibari : ... (regard qui aquièse le bonjour)
Emeline : Salu marie. (ne quitte pas son bouquin des yeux)
Je m'instale dans le grand canapé coté droit et je réfléchi de ce qui c'est passé hier.
Soudain un étanche brouillard s'instale dans la pièce et une voie glacial retanti dans la pièce.
Mukuro : Kufufu, alors ma chère marie on me dit pas bonjour ?
Marie : Ho non pas lui. (à voie basse et tremblante)
Il apparait sur mes genous en me faisant un beau sourire, je peus plus bougé à cause de son poid. Hibari n'apréci pas du tous ce comportement surtous si ces moi la victime.
Il fixa mukuro à mort.
Mukuro remarque la réaction d'hibari et compris qu'il tien à moi.
Mukuro penche sa tête vers la mienne et tante de m'embrassé pour rendre encore plus jaloux le carnivore mais j'esquive du mieus que je peut.
Chrome : Mukuro – sama ... (à voie basse et étonner)
Emeline : ... (lève sa tête puis sourit et replonge dans son bouquin)
Yamamoto : Ma ma calmez vous voyons ! (tente désespérament de calmer mukuro et marie)
Hibari : Je vais te modre à mort l'anannas .
Hibari sort ses tonfas et fonce sur mukuro il plante son tonfas sur le coté droit de mukuro mais mukuro esquive avec agilité et rapidité.
Je suis enfin libre, je profite de fuir loin de se canapé et je les regardes ce battre.
Et puis Tsuna fait son entré dans la pièce.
Il est épuisait de la tonne de paprass qu'il vient juste de finir.
Tsuna : Quescequi ce passe ici ?
Emeline et Yamamoto : Mukuro à draguer marie et sa n'a pas plus à hibari. (s'ynchrone)
Chrome : Boss ... ?
Marie : Ils sont désespèrent ses deux la, ils vont jamait me laisser tranquille. (soupire)
Tsuna : Bon sa change des dispute habituelle mais maintenant sa suffit STOP !
Le gardien de la brume et le gardien de nuage s'arètaires soudainement
et fixa Tsuna d'un air prudent.
Tsuna : Maintenant vous vous s'éparez et restaient tranquille.
Hibari : pff, je laisserais pas un ananas ou un herbivore arcelé une jeune herbivore.(ses yeux se plis)
Mukuro : Kufufu, l'alouette tien à sa juliette à se que je voie. (rire sinistre)
Tsuna : Sa suffit ! (s'interpose entre mukuro est hibari et fronça ses sourciles )
Les deux gardiens parte chacun de leurs coté dont l'un qui veut encore s'amuser et l'autre qui veut modre à mort tous se qui bouge surtout l'ananas.
Marie : Merci tsuna, je te doit un service, si tu a besoins de quelque chose appel moi et je serais la.
Tsuna : non sava allez marci quand même.
Marie : J'insiste.
Tsuna : Bon d'accord.
Marie : Bon je retourne dans la paprass à plus tard tous le monde ! (salu de la main)
Emeline : A tout à l'heure. (toujours le nez dans son bouquin)
Yamamoto : Ha ha ! A plus tard marie et n'oublier pas tous notre rendez – vous devant le restaurant de mon père.
Tous : T' inquiète pas ! (s'ynchronisation)
Tsuna : Haaaaaa ! Enfin du calme ! (soulagement)
Je suis raparti dans mon bureau pour m'occuper du reste de la paprass, la fin de l'aprés – midi aproche et c'est biento l'heure du rendez – vous.
