Disclaimer : Pardon, Oda. Pardon.
Note : Ce qui va suivre a été rédigé dans le cadre du « Chic, t'es chiche ! » du Forum de tous les Périls. C'est un topic absurde où on se lance des défis absurdes entre membres absurdes. Cette fois, j'ouvre un recueil, parce que j'en ai envie.
Ce défi m'a été donné par Bulle : « Neechu: Tu es chiche de raconter comment Doflamingo a réussi à danser avec Sengoku et Tsuru le Gangnam Style en vêtements fluos sous les yeux de toutes la marine ? »
WARNING : Abandonnez vos neurones et tout sens commun. Aucune relecture, j'ai trop peur pour ça, donc probablement des coquilles et des fautes pas possible. Mais ce n'est pas comme si je vous demandais de le lire. (Qui voudrait le lire, hein ?)
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LE MALAISE
#1 — Ou pas d'Gangnam Style
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Ce qui se passait dans le laboratoire du Docteur Vegapunk restait dans le laboratoire du Docteur Vegapunk, c'était une règle tacite et absolue que personne n'avait jamais osé briser. Sauf quand ce qui se passait dans le-dit laboratoire s'échappait tout seul, le plus souvent avec une énorme explosion dévastatrice qui le forçait à se délocaliser, semant ainsi des laboratoires abandonnés un peu partout sur la surface du globe.
Le dernier en date avait été construit directement sur Red Line, non loin de la base Marine de Mariejois et si le génie scientifique lui-même avait explicitement signalé que c'était une erreur et qu'il ne se porterait pas responsable des conséquences inévitables et très certainement dangereuses, le Gouvernement Mondial avait préféré ignorer ses avertissements et les Dragons Célestes avaient préféré le garder près de lui pour mieux surveiller le résultat de ses recherches.
La vie de Dragon Céleste manquait visiblement de divertissement, et sans vraiment avoir le choix, Vegapunk travaillait sur la fabrication de diverses drogues. Le savant fou faisait de son mieux pour ne pas se sentir insulté par cette requête des plus triviales et décida de prendre cela comme une aubaine, profitant du financement de ces êtres capricieux pour s'amuser un peu. En effet, le pouvoir des Dragons Célestes était illimité, et il était facile d'obtenir ce qu'il voulait. Cela allait d'un cornet de glace vanille-fraise à une nouvelle cargaison de cobayes frais et dispos.
Personne n'avait jamais osé questionner Vegapunk sur l'existence possible d'une conscience quelconque. La science avait un prix que seul lui était prêt à payer, et on allait pas essayer de le contrarier.
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Puis un jour, ce qui devait arriver arriva.
L'explosion avait été soudaine, et d'origine inconnue parce qu'on ne cherchait jamais à savoir comment Vegapunk s'y prenait, ni même comment il arrivait à s'en sortir indemne.
Ce fut un jour sombre et sordide que beaucoup surnommaient « Le Malaise » à Marineford.
Personne ne savait ce que Donquixote Doflamingo faisait à Mariejois ce jour-là, personne ne voulait le savoir d'ailleurs. (Une petite visite de courtoisie, aurait argumenté le Démon Céleste, avec un rire à en faire des cauchemars jusqu'à la fin de ses jours.)
Tout ce qu'on savait, c'était qu'il avait débarqué au milieu de la plus grande base du monde, c'est-à-dire Marineford, bras dessus bras dessous avec l'Amiral-en-Chef et la Grande Officière d'État-Major (c'était moche, mais même la grammaire un brin macho se pliait face à Tsuru). Et ils avaient dansé et chanté des mots désormais tabous pendant des heures, dans des tenues encore plus farfelues et tape-à-l'œil que les pires habits du Capitaine Corsaire lui-même, dont le mauvais goût n'était plus à prouver d'un point de vue vestimentaire si le narrateur devait être tout à fait objectif, même lorsque cela concernait le souverain de Dressrosa.
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Voilà, Bulle, si tu passes par là.
Oui, j'ai utilisé la carte Vegapunk, et alors ?