Chapitre 1 : une rencontre arrosée.

Le rendez-vous était fixé en début d'après-midi, aux abords d'un immense château perdu dans la montagne. Une invitation avait été envoyée à sept personnages, pour se retrouver au dit lieu.

Le premier personnage à arriver est une femme, aux allures de militaires. Bien qu'habillée de façon stricte, on pouvait sans difficultés deviner ses formes généreuses sous les vêtements qu'elle portait. Jetant un regard aux alentours, la jeune femme se rendit compte que personne sauf elle n'était encore arrivé.

-Ils ne connaissent donc pas la ponctualité …?dit-elle tout haut en s'asseyant sur un rocher, au pied d'un arbre.

C'est alors qu'elle sentit un vif courant d'air, puis sursauta en se rendant compte qu'elle n'était pas seule. En effet, un homme, plutôt jeune lui aussi, vêtu d'un vêtement traditionnel chinois, la regardait, en souriant tout bon enfant.

-Je suis arrivé juste avant toi, j'ai escaladé l'arbre pour remonter un nid d'oiseaux qui était tombé.

La jeune femme paraissait sur le qui vive, ne sachant que penser de ce personnage.

-Tu as reçu toi aussi une invitation ? Lui demanda t-il . Je suis Fon.

-Lal Mirch. Répondit-elle avec un léger signe de tête, en se détendant, visiblement rassurée par l'attitude inoffensive de ce dernier.

Voyant la jeune femme rassurée, Fon prit une inspiration, celle qu'on lui a enseigné maintes et maintes fois. Puis il se rapprocha d'elle à une vitesse qu'elle n'eut pas le loisir de comprendre ce qu'il faisait. Lal se retrouva sur les genoux de Fon. Elle sentit quelque chose de dur poindre sous ses fesses. Elle comprit mais n'eut pas le temps de répliquer qu'il était déjà sur elle. Elle tenta une prise militaire pour lui briser le bras qui s'introduisait sous ses vêtements, mais fut abasourdie par la résistance du corps de Fon. Il lui sourit gentiment :

-Tu sais, je suis un expert en arts martiaux. Tout ce que tu tenteras sera vain sur moi. Prends donc du plaisir dans ce qui va suivre.

Il fit des mouvements rapides des mains et les vêtements de Lal s'enlevèrent d'un seul coup (*Pratique pour se changer*; pensa t-elle). Elle se retrouva nue, le souffle court, devant Fon, qui enlevait les siens. Elle sentit alors quelque chose de dur rentrer en elle. Au départ, cela lui fit mal, mais rapidement, le mal cèda place à une sensation différente, qu'elle a déjà connu auparavant avec un camarade militaire, le plaisir. Cependant, Fon utilisait différemment son sexe, il allait dans des recoins inexplorés, dans un rythme effréné, si bien que Lal commença a pousser des cris de plaisir. Fon mit visage devant le sien en lui disant :

-L'art martial a ses bons côtés hein ? Tu en veux plus ?

Puis il l'embrassa fougueusement. Il la retourna sans plus de cérémonie, et continua son va et vient...Avant de se dégager. Lal se tortilla, faisant mine d'en demander plus. Fon se leva, mit Lal à genoux et entrepris de la forcer à lui faire une fellation. Celle-ci tenta de se dégager, mais l'étreinte du maitre d'arts martiaux était trop forte. Elle ne put que subir.

Soudain, Fon quitta son air joyeux et regarda une branche de l'arbre. Il fixa une pierre du regard, et d'une main tendue vers elle cria :

-Gyôzaken !

La pierre se leva du sol, et Fon fit un geste de la main. La pierre se dirigea tout droit vers la branche , et on entendit un bruit sourd, suivi d'un juron etouffé.

-Montre toi, je sais qu'il y a quelqu'un !

Une sorte de brume fit son apparition, et un homme encapuchonné se dessina sous les yeux ébahis de Lal qui s'empressa de rassembler ses habits. L'homme était visiblement en train de se masturber, puisqu'il tenait son sexe à la main. Il soupira de plaisir et éjacula. Tout le jet tomba sur la pauvre Lal Mirch qui ne comprit ce que c'était qu'apres avoir mis le doigt à la bouche, pour tout aussitôt recracher.

Espèce d'obsédé, qui es-tu, pervers ?

Merde, je ne pensais mon illusion percée à jour. Bien vu le maitre en arts martiaux. Je m'appelle Viper, maitre en illusions. Je suis ici pour le rendez-vous. Comme je vous ai vu prendre du plaisir je me suis dit que j'allais en profiter. En plus c'était gratuit...

Tu me le paieras, Viper, espèce de sale $£^¨*% (Que d'obscénités)! S'écria Lal.

Viper semblait s'amuser de voir Lal dans cette colère noire, quand tout d'un coup, tout l'espace devint sombre. Tous levèrent la tête et ils virent...