Reprise...

Un guest m'a envoyé un message pour me rappeler la date... c'est gentil de me culpabiliser...

Bref...

J'ai une trame mais pas grand chose d'écrit donc... pour l'instant. Tout les 10 du mois, je vais publier un chapitre.

Alors heureux?

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Note de l'auteure : Deuxième partie de mon Omégarverse sur SQ.

Petit rappel : Donc dans mon univers : les alphas, les betas et les omégas ont des tatouages pour trouver leur âme-sœur ou true love. Mais les betas sont des humains ordinaires et ne sont pas soumis au même instinct que les alphas et les omégas. Tous les alphas sont soit des mâles soit des G!P (girl with penis). Tous les omégas sont soit des femelles soit des mâles/preg (homme pouvant être enceint(e)). Les betas sont toujours ordinaires. Les tatouages lient indifféremment : un alpha mâle avec un/une oméga ou avec un ou une beta, une alpha G!P avec un/une oméga ou avec un ou une beta, un beta avec un/une oméga ou avec un ou une beta, une beta avec un/une oméga ou avec un ou une beta.

Nota bene : deux alphas et deux omégas ne peuvent pas se lier. Pourquoi ? Je considère que ça va à l'encontre de la logique des Omégaverses. Deux alphas ou deux omégas en vue de leurs instincts respectifs ne peuvent pas se lier.

Résumé : Régina est une Alpha et une G!P. Emma est une Oméga. Emma est l'âme sœur de Régina, évidemment. Il faut lire Une couronne de rouge et de blanc avant de lire cette histoire. Bonne lecture

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Chapitre 1 : Tout allait bien…

Tout allait bien. Tout allait vraiment bien. Non sérieusement tout allait bien. Un bon travail, une famille attachante bien qu'un peu collante, une magnifique âme sœur et un petit bout de chou merveilleux et souriant. Rien à redire… Non vraiment rien…

A part que j'avais entre mes bras une Emma totalement paniquée, qui faisait semblant de dormir. A l'odeur elle était à 9 sur l'échelle de « je panique », selon l'échelle sur 11 que j'avais créée. De 0 « j'ai Henry dans les bras et j'ai mon alpha à porter de vue » à 11 « Au secours, Alpha », Emma était à 9… Et je savais bien pourquoi. Henry allait aller à l'école. Il avait 3 ans et comme Emma allait elle aussi au lycée. Le petit bout pouvait bien aller en petite section. Et Emma paniquait à cette idée, à l'idée d'envoyer Henry à l'école, et je suppose que la perspective d'aller au lycée dans une semaine n'arrangeait pas les choses.

J'avais vraiment tout essayer pour la rassurer. Vraiment. J'avais fait visité l'école à Emma, je lui avais fait rencontré la directrice et la future maîtresse d'Henry. Une Alpha très douce du nom d'Ariel et un bêta assez âgé mais très dynamique du nom de Marco. Emma avait un peu eu peur d'Ariel mais cette dernière avait une attitude professionnelle. De plus Robin et Roland était dans la même école. J'avais demandé à ma sœur de faire l'éloge de l'école… mais rien ne pouvait vraiment rassurer Emma.

Donc il était 4h du matin et Emma qui essayait d'être immobile était au bord des larmes. Mon alpha était au bord de la crise de nerf. Je soupire fortement quand une autre vague de phéromone attaqua mon nez. Emma sursaute et se tend. Malgré les presque 3 ans, Emma avait toujours peur parfois de mes réactions et ça me brisait le cœur à chaque fois.

-Mon ange… commençai-je d'une voix aussi douce que possible.

-Je suis désolée… Je suis désolée… J'arrive pas… J'arrive pas à me calmer…

-Chut tout va bien, tout va bien… Je lui murmure à l'oreille en la serrant contre moi.

-Je suis désolée… Vraiment… Je… Je… Et si les autres enfants étaient méchants avec lui… et si… … Et si… Elle sanglote dans mon cou et je grogne bruyamment. Elle répond en couinant à travers ses larmes.

Je reprends encore plus doucement.

-Mon ange… Henry est très excité à l'idée d'aller à l'école. Et c'était vrai. Il était tout content de son cartable tout neuf que nous avions acheté avec lui et mes parents avaient pratiquement volé Henry pour lui acheter une garde-robe de « grand » garçon. Donc Henry était fin prêt pour l'école et il allait pouvoir voir ses cousins tous les jours, ce qui était « trop trop et trop bien » selon ses propres mots. Et puis… si les autres enfants sont méchants ses cousins seront là pour lui. Et Marco sera là.

-Mais…

-Pas de mais, mon ange. Tout va bien se passer. Pour toi comme pour Henry. Je te le promets. Je ne permettrai pas qu'on lui fasse du mal. Jamais. Ni à lui, ni à toi. Tu le sais mon ange. N'est-ce pas ?

-Oui, mais…

Je grogne plus fort pour la faire taire. Elle me regarde avec un mélange de surprise et de… et de quelque chose d'autre…

-Pas de mais, j'ai dit pas de mais. Alors rendors toi.

Emma reste silencieuse un moment avec de se dégager pour me regarder les yeux.

-Sinon quoi… alpha ? Je déglutis à la chaleur joueuse et taquine de sa voix.

-Euh… sinon…

-Est-ce que je serais punie… Al-pha ? Putain. Comme j'aime qu'elle fasse ça. Je pourrais me plaindre qu'elle soit insatiable et qu'elle soit une foutue allumeuse à 4h du matin alors que nous devons nous lever vers 7h30… Mais visiblement mon corps lui ne s'en plaint pas… Le traitre… Puisque je ne réponds pas, mon cerveau s'étant un tout petit peu court-circuité, Emma reprend. Est-ce que tu vas me punir, mon alpha ? Je la regarde dans les yeux foutrement, excitée, mais ne sachant pas ce qu'elle veut, si elle veut juste jouer ou… S'il te plait, Régina…

Je prends ses derniers mots pour une autorisation et je lèche son cou et me frotte à elle tout en la poussant sur le dos. Je soupire d'aise quand je la sens se détendre. Je souris dans son cou et murmure :

-Tu es si vilaine mon Emma… Je dois te punir encore et encore… J'agrippe fermement ses hanches et la plaque un peu plus sur le matelas. A croire que tu aimes ça…

Un gloussement s'échappe de la gorge d'Emma et elle tire légèrement sur mes cheveux pour me faire l'embrasser. Ça avait pris du temps mais elle se sentait de plus en plus libre de faire ce genre de chose au lit mais aussi de manière générale… Même si elle restait assez soumise, elle n'était pas non plus comme ma sœur, ni comme mon père, et sans doute ne le sera-t-elle jamais, elle était beaucoup plus confiante et volontaire. Le baiser que l'on échange est urgent, presque violent. Mes mains sagement posées sur ses hanches montent jusqu'à ses seins et je m'empresse de les presser avec fermeté. Emma adore ça… Et j'adore son ronronnement quand je la caresse là. Je suis assise sur elle, penchée pour l'embrasser et jouer avec ses durs tétons. Je pourrais faire ça pendant des heures et des heures mais il fait que je la prenne et que l'on dorme. Je jouerai avec elle plus tard, toute notre vie… mais pas maintenant.

Maintenant, il faut un orgasme rapide et de toute façon, je n'allais pas tenir longtemps. J'écarte fermement les jambes d'Emma. Je sais que ce geste lui plait, elle trouve ça excitant m'avait-elle avoué, légèrement éméchée, lors de notre premier nouvel an ensemble. Elle adorait la sensation de ses cuisses écartées par quelqu'un d'autre. Et moi j'aimais être à l'origine de cette vue, la vue du sexe de mon oméga, tout humide, prêt, tellement prêt à se faire prendre. Je grogne et je caresse la petite toison d'or d'Emma. La sensation de l'humidité chaude sur mes doigts me fait frissonner. Je ne peux pas m'en lasser. Il faut, il faut vraiment que je la prenne. J'insère trois doigts dans son sexe et je sais qu'elle peut les prendre… elle peut tellement bien les prendre et elle gémit mon nom quand je bute au fond d'elle. Je fais quatre va-et-vient lent avant d'accélérer.

-Régina… Régina… Gina… Elle s'essouffle et dit inlassablement mon prénom. Je suis très fière de son état, après des mois et des mois à lui faire l'amour, je ne peux pas me lasser de ça. De voir mon Emma qui prend trois de mes doigts sans difficulté et qui en veut plus… Je ne peux pas me lasser de glisser en elle. Mes doigts, mon sexe, ma langue… Je grogne à la pensée du goût de son excitation sur mes lèvres… Je me retire totalement et plonge sans attendre la tête entre ses jambes. Un Oh surpris mais appréciateur sort de la bouche de mon oméga. Je lèche furieusement son sexe trempé alors que mes mains et mes bras capturent son bassin pour qu'elle ne bouge pas. Putain… Son gout est si bon… à chaque fois… Perdue dans ma sensation, je n'entends pas immédiatement les supplications d'Emma. Gina… Alpha… s'il-te-plait… remplis-moi… s'il-te-plait…

Quittant son sexe, les lèvres humides de son plaisir, je m'empare de la bouche de mon ange avant d'exiger.

-Supplie-moi encore… Emma, mon ange… ma vilaine oméga… En disant ça, je mordille sa lèvre inférieure durement. Je veux tellement qu'elle me supplie… Je gronde bruyamment pour la faire se soumettre et Emma couine et jappe, ses sons sonnent divinement à mes oreilles. Mais je veux l'entendre le dire encore… Avec des mots, mon bel ange… Supplie-moi…

Emma se lèche les lèvres et me regarde dans les yeux… comme un défi… comme une promesse… Accord tacite… Je souris tendrement avant de grogner un peu plus sur Emma, pour qu'elle obéisse…

Elle ferme les yeux et après ce qui me semble une éternité, elle murmure, d'une voix tellement docile :

-Alpha… Alpha… Je… S'il-te-plait… Je t'en supplie… prends moi… Prends moi… Remplie moi… S'il te plait… Al…

Elle cambre le dos quand je m'enfonce en elle. Je serre les dents pour ne pas jouir précocement comme un adolescent en rut. Mais putain, c'est tellement difficile… elle est si douce… si bonne… La prendre sans préservatif, tout le temps est si bonne, si douce, si accueillante. Et surtout surtout, tellement et entièrement sienne.

Avec le temps, tu connaissais le corps d'Emma par cœur. Chaque zone érogène, chaque zone chatouilleuse… Mais aussi chaque cicatrice, chaque odieuse trace qu'on avait laissée sur son merveilleux corps. Parfois tu avais envie de les chasser, de les traquer, de les débusquer et de les abattre comme les chiens bâtards galleux qu'ils étaient… mais la plupart du temps, tu avais juste envie de tracer de ta main ou de ta langue chaque trace pour faire comprendre à Emma qu'elles, ses traces, étaient tienne… que tu l'acceptais, que tu l'aimais entièrement et totalement. Il avait fallu et il allait encore falloir du temps et de l'entêtement pour qu'Emma comprenne à quel point elle était belle, fantastique et sexy. Tu avais dû la rassurer un millier de fois et même si elle ne se couvrait plus entièrement le corps quand vous étiez à la maison juste tous les trois, dès qu'il y avait du monde, dès que vous sortiez Emma ne laissait que son cou, ses mains et son visage d'apparent.

Je m'allonge presque sur elle pour l'embrasser alors que je commence à la baiser sans douceur. Le rythme est rapide et saccadé… Emma gémit et gémit encore… C'est très bon vraiment très bon…

-Tu es à moi. Tellement à moi, mon ange…

-Oui… oui, s'il-te-plait… fais jouir ton oméga, mon… Elle gémit fortement quand je jouis en elle, mais je n'arrête pas de la pilonner pour autant. Il faut qu'elle jouisse… Al-phaaaa…

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J'ouvre les yeux avant le réveil de Régina, comme à mon habitude. Je sors du lit même si l'alpha grogne mécontente de perdre mon contact. Je vois une demi-érection sous le drap avant de le replacer sur le corps nu de mon alpha. Je souris, j'aime l'idée qu'elle me désire comme ça. Même si on a fait l'amour il n'y a que quelques heures, elle me veut encore… C'est rassurant et très agréable pour l'égo.

Je me dépêche de prendre ma douche dans notre salle de bain. Ça fait des mois que Régina m'a fait venir officiellement dans sa chambre et que c'est officiellement notre chambre et notre salle de bain. L'eau coule sur mon corps un peu endolori, je souris en touchant mon entre-jambe. Les doigts, la langue et enfin la bite de l'alpha… C'était parfait… Régina ne m'avait pas trop fait supplier cette fois… peut-être parce qu'il était tard… enfin tôt… J'aimais la supplier… avec elle supplier était un jeu, un plaisir… qui comblait à la fois son alpha et mon oméga… dans leur rôle respectif, dans leur essence. J'aime ça, le rôle de l'oméga. Qu'elle me laisse être comme ça, mais en échange, elle veut que je fasse plus de chose dehors.

Depuis près d'un an, Régina me pousse à faire des choses dehors toute seule. Elle m'a fait passer le code et je dois passer mon permis dans quelques temps, après mes 18 ans. Régina m'a déjà demandé quel genre de voiture je voulais… Je ne savais pas trop et puis surtout, surtout, je ne voulais pas qu'elle dépense trop pour moi… Après une longue discussion avec mon alpha buté, elle a accepté de m'acheter une voiture d'occasion, pas une neuve. C'était déjà ça. Et puis Henry aime beaucoup la mécanique donc il pourra m'apprendre.

Apprendre, je ne savais pas à quel point c'était bien. Il te fallait juste du temps, je me rappelle des mots de Régina. Elle avait eu raison mais il avait aussi fallu un bon professeur patient et gentil, et Régina qui m'avait aidé… avec mes devoirs et pour apprendre bien sûr, mais surtout parce qu'elle était toujours là pour me protéger et m'encourager. En un peu plus de deux ans, j'avais rattrapé mon retard et j'entrai avec seulement une petite année de retard au lycée le plus huppé de la ville. Régina avait dit qu'il était important que j'aille dans un bon lycée pour aller dans une bonne université. J'avais un peu peur de ne pas être à la hauteur des élèves et de ne pas me faire d'amis, mais Archie m'a dit que je pourrais passer mon bac sans difficulté à l'instant même et que je l'aurai sans doute avec mention et que cette année allait être une promenade de santé. Et Régina m'a affirmé que le nom de Mills était respecté dans toute la ville et que tout le monde allait vouloir être mon ami…

Mais il y avait aussi Henry. Je ne voulais pas le quitter, je suis sa mère, sa mère oméga, je devrai rester près de lui… Mais Régina a affirmé qu'il était tant que ses anges rencontrent le monde réel. Que c'était égoïste de sa part que de nous garder rien que pour elle… Je sais qu'elle a dit ça pour rire mais l'idée d'être partagée m'a fait grimacer… et puis je ne vois pas l'intérêt, le monde extérieur est bien fade à côté de mon alpha.

Je sors de la douche, me sèche et retourne, nue, dans la chambre pour trouver de quoi m'habiller dans le dressing. Régina a fait agrandir son dressing pour que je puisse mettre mes affaires… Elle m'a laissé choisir mon côté… Au début je n'avais pas de quoi le remplir mais très vite… puisque Régina m'emmène une fois par mois faire les magasins alors qu'Henry était soit chez ses parents soit chez Ingrid. Et que Belle ou Zéléna ou au pire les deux, ensemble, m'embarquaient presque de force avec elles, sous le regard amusé de mon alpha qui ne faisait rien pour m'aider malgré mes regards de détresse, pour faire une virée entre filles, sans alpha avait précisé la rousse. Zéléna appelait ça la virée Shopping ZEB, pour nos initiales de prénom… et tu avais dû supporter Belle et Zéléna se disputer pour savoir quelle allait être la meilleure appellation entre BEZ ou ZEB, ça avait été un très long trajet.

Et puis il y avait aussi le shopping avec ma mère adoptive et ma belle-mère. Ingrid et Cora m'emmenaient dans des magasins de cuisine parce que le matériel culinaire de Régina n'était pas super, mais aussi dans des boutiques pour enfant quand elles réussissaient à me convaincre de prendre Henry avec nous, pour laisser Régina travailler. Je ne sais pas si Cora le fait exprès mais Régina croulait toujours sous le travail quand elle proposait ce genre de sortie. J'avais fait la remarque à Régina, qui avait éclaté de rire en affirmant que c'était même sûr et certain. J'étais un peu dépitée de cette nouvelle mais Régina avait affirmé que se refiler la paperasse ou des dossiers était des coutumes familiales donc bon…

J'aimais vraiment être entourer de sa famille, notre famille comme me le dit Régina. Les enfants de Zéléna étaient adorables et s'entendaient très bien avec mon… avec notre fils. Henry Sénior était très protecteur envers moi, et retrouver cette figure de père était réconfortante… et puis il y avait Robin, à qui je ne parlais pas trop. Il était toujours distant. Quant à Cora, depuis que nous avions cuisiné ensemble tout un dimanche matin alors qu'Henry Sénior et Régina discutaient d'un dossier important pour le travail, tout se passait très bien. Cora était très semblable à Régina. Elle était très tendre, surprotectrice et douce malgré son statut d'alpha. Elle était à mon écoute, non seulement pour Henry ou pour Régina mais pour d'autres choses… Comme mes peurs d'échec et ma peur de l'abandon. Elle était une oreille attentive et amicale mais moins maternelle qu'Ingrid ou que Granny.

Avec le fait que j'aille au lycée et qu'Henry aille à l'école maternelle, Granny s'était d'ailleurs lamentée et avait exigé que Zéléna ou moi fassions un autre petit Mills. Ce qui avait fait bien rire Zéléna alors que moi, j'attendais avec impatience que mon alpha me reparle de faire un enfant. J'avais envie d'une fille, une petite oméga, car depuis quelques temps Henry était de plus en plus actif, rapide et surtout agressif, enfin comme un chiot. Donc avec des petites morsures de rien du tout, mais quand même. Il sera sans doute un alpha ou un bêta.

Je sursaute alors que deux bras me tirent vers l'arrière et que je rencontre le corps encore chaud de sommeil de mon alpha. Je sens son sexe contre mes fesses et retient ma respiration, attentive aux envies de Régina. Mais au lieu de demander du sexe, elle me berce presque et soupire :

-Tu sens si bon, mon ange. Et j'avais une belle vue de ton dos et de tes petites fesses depuis le lit… ma petite allumeuse. Le ton est joueur mais pas sexuel. Je pourrais me frotter à elle pour l'allumer un peu plus mais je décide de ne pas tenter le diable.

-Je ne savais pas trop quoi mettre. Tu veux choisir ?

Régina adorait choisir mes vêtements. Un truc d'alpha femelle selon Belle, qui avait rougi juste après avoir dit ça. Choisir mes vêtements devait satisfaire un instinct de possession ou un truc du genre.

-Vraiment ? Super. Elle me lâche pour regarder de plus près mes affaires. J'ai une vue très agréable sur ses fesses, je passe ma main dessus. Miss Swan… Régina a pris un ton dangereux, comme pour me dire, si tu continues je ne réponds plus de rien… J'aime ce ton…

-Oui, Madame Mills ?

Régina grogne, se retourne et attrape mon cou puis me plaque assez durement contre une étagère.

-Vous a-t-on déjà dit que vous étiez une foutue allumeuse, Miss Swan ?

Je me laisse faire et reste immobile, mais au lieu de regarder par terre comme le ferait normalement un oméga, je regarde Régina dans les yeux.

-Oui, madame. Tout le temps, madame…

Une lueur amusée brille dans le regard de mon alpha. Je vrille de plaisir à notre jeu et elle me sourit. Avant de poursuivre, elle se lèche lentement les lèvres :

-Ça ne m'étonne pas… Elle serre un peu mon cou… Elle fait descendre lentement son regard sur mon corps. Pour une petite allumeuse, Elle pose son autre main sur mon sien droit et le caresse… une vilaine oméga… Je pense qu'un string t'ira bien et ton jean noir, qui te fait un cul d'enfer, elle serre mon cou presque douloureusement avant de lâcher et de réunir ses deux mains sur ma poitrine, le soutien-gorge avec la dentelle fine avec ta chemise cintrée rouge, dieu, tu sais ce que me fait cette chemise… n'est-ce pas… , ta magnifique veste de cuir noir, qui te donne un air si sexy et… Emma si tu mets tes bottes, je pourrais défaillir…

-Je ferai comme tu le désires mon alpha. Je souris franchement quand je vois le pénis de Régina se dresser un peu.

Elle s'éloigne de moi et quitte la pièce en murmurant : foutue allumeuse.

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Voilà le premier chapitre de ce deuxième opus.

Donc à dans un mois !

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