"Hé, dit petit frère, à quoi ressemble-t-elle ? La mort. Que trouve-t-on sur l'autre rive ?

Est-ce chaud et doux comme un jeune soleil printanier ou bien froid et glacial comme la neige hivernal ?

Froid comme la neige, si pur qui se trouve juste sous mes pieds; glacial comme l'histoire que recouvre ce tapis blanchâtre de pureté.

Cette neige, si insouciante et merveilleuse, qui ne se doute pas de ce qu'elle recouvre de sa pâleur. Cette neige qui n'imagine pas qu'elle purifie ce sol rougis par le sang et les flammes, étouffant les cris d'agonie de millier de personnes innocente.

Cette terre noircie par les ténèbres et l'oublie du temps, de la civilisation. Cette terre rayée de toute mémoire, cette terre qui étais autrefois un si merveilleux et puissant royaume en paix. Notre Royaume.

J'aimerais que tu puisses voir cela petit frère, vraiment. Car c'est un spectacle magnifique qui s'offre à mes yeux et me ramène longtemps en arrière lorsque nous rions dans la neige, cette même neige qui purifie encore et toujours vos âmes tourmenter, à vous pauvres monde qui ont souffert de par la colère divine d'un dieu mécréant...

Vous que n'ai sus sauvé.

Bien qu'aujourd'hui cette terre soit désolée et réduite à l'état de ruine.

Sous ce paysage d'une pureté céleste tout semble être serein et apaisée, comme un petit coin de paradis, et cela me réchauffe le cœur, bien que me fais verser des larmes silencieuses.

Mais je tacherais d'être forte, je tacherais de porter ce fardeau qui est mien du mieux que je le peux, je me battrais pour votre mémoire et l'honorerais.

Je serais fière d'être née ici et dans notre peuple, de posséder ce que la nature m'a donner à la naissance, et je ferais perdurer nos connaissances, et servira celle que je songe digne.

Je l'ai d'ailleurs trouvé. D'un un endroit fort inattendue, nous qui vivons sans adorations pour aucun dieu, j'ai vouer allégeance à l'une d'entre eux.

Athena se fait-elle nommer, grande déesse au cœur si pur et digne qui se bat contre celui qui vous a condamner, et cherche à protéger qui que ce soit du même sort.

J'ai quitté cette paix et neutralité que nous avons toujours fais perdurer, et veuillez m'en pardonnez, vous tous.

Peut-être seriez-vous accablez de là ou vous êtes, si conscience vous possédez encore.

Je ne sais si je parle en vain, mais qu'importe.

Je me dévoue corps et âme à sa cause, puissiez-vous me pardonnez et acceptez mes mauvaise lamentations.

Requiescat In Pace."