Bonjour tout le monde ! Ou personne. Si ça se trouve personne ne va jamais lire ça. Lucius Malefoy est un personnage que j'affectionne beaucoup, mais j'ai beaucoup de mal à trouver des fanfictions sur lui et c'est vraiment dommage.

Cette histoire me trotte dans la tête depuis un moment alors j'ai décidé de tenter ma chance, ceci est ma deuxième fanfiction et j'espère que ce n'est pas la dernière xD

Je n'abandonne pas "Mangemort es-tu là ?", loin de là =)

J'attend vos avis, j'ai un peu peur _ _"

Pardonnez mes fautes, je n'ai pas de bêta.


Prologue

Ses yeux croisèrent les miens, ça faisait si longtemps. Une expression horrifiée passa sur son visage, mais elle fut aussi éphémère que l'intérêt qu'il m'avait porté à l'époque. Il me transperça de ses deux orbes métalliques l'air de dire : "Bon Dieu, qu'est-ce que tu peux bien foutre ici ?!". Je fis semblant de ne rien comprendre, ça l'énerverait, ça l'énervait toujours.

-Je vous présente ma sœur, Léana.

Les deux hommes sombres hochèrent la tête.

-Voici Lucius Malefoy et Antonin Dolohov.

Malefoy tressaillit à l'entente de son nom, Amiel venait à l'évidence de le sortir d'une douloureuse réflexion.

-Je suis enchantée de vous rencontrer, dis-je en esquissant mon sourire de circonstance. Mais je dois vous laisser, je suis attendue.

Le grand blond me lança un regard suspicieux. Mon jumeau m'attrapa par le bras, il fronçait les sourcils.

-Je peux savoir où tu vas ? me demanda t-il à voix basse.

Je me dégageais vivement de sa poigne.

-Laisse moi réfléchir...Non.

Je leur fis mon plus beau sourire hypocrite.

-Bonne soirée, messieurs.

-De même, me salua Dolohov, son regard dérivant là où il n'avait rien à faire.

Mon frère avait peut être l'intention de pactiser avec le Diable mais il ne m'entrainerait pas avec lui dans sa chute.


J'ai rencontré Lucius Malefoy pour la première fois en 1975, j'avais 16 ans, il en avait 20. Cette rencontre n'aurait jamais dû se faire, tout d'abord parce qu'à 16 ans je n'avais rien à faire dans un bar à plus de minuit. Et ensuite, parce que trouver deux sorciers de sang-pur qui ne se connaissaient pas, dans un bar moldu, en même temps, à cette époque, tenait du miracle ou de la mauvaise blague. Pourtant nous y étions, tous les deux.