Note de l'auteur : Salut tout le monde !!! C'est mon premier fic, alors soyez indulgents !!! Et rewiew SVP !!! Je sais que le début, c'est pas trop ça, mais attendez la suite...
P.S. : Les perso sont à J.K. Rowling, sauf...
1 La Faillite
Voldemort était assis dans une vaste pièce sombre, Queudever à côté de lui, entouré de mangemorts. Un serpent sifflait au pied du Maître des Ténèbres. Une femme était ligotée et attachée dans un coin de la salle les mangemorts la regardaient, étonnés, puis ils se tournèrent vers Voldemort :
« Maître, qui est ce ? demanda Lucius Malefoy
- Ne devines-tu pas ? Une de nos premières victimes, la seule qui ne soit pas encore morte. J'ai trop besoin d'elle cette jeune femme peut nous donner tellement d'informations qu'elle ne mourra pas tout de suite... Mais plus tard, beaucoup plus tard, dès que mon pouvoir sera enfin rétabli, et que Potter soit définitivement mort. Ça ne tardera pas... »
Les mangemorts fixaient Lord Voldemort. Cet homme avait-il de la pitié ? Non, ce n'était pas possible. Plutôt de l'intérêt pour une personne, précieuse à ses yeux. Précieuse, oui. Mais pourquoi ?
Pendant que les disciples regardaient leur sauveur, celui-ci se dirigea vers la pièce d'à côté. Tous le suivirent. La femme en profita pour tenter de se détacher, en vain. Elle réessaya de toutes ses forces elle n'avait rien à perdre. Après avoir été forcé de trahir les personnes qu'elle aimait le plus, cette femme n'avait pas le choix. Dans un dernier effort, elle parvint à attraper sa baguette magique, laissée négligemment sur une table et à se détacher, sans bruit. Elle entendit des voix se rapprocher. Elle crut qu'ils revenaient, mais non. Elle s'échappa.
Quand Voldemort revint, il ne remarqua pas tout de suite que sa prisonnière s'était échappée. C'est un mangemort, Macnair, qui s'écria :
« Maître, maître !
- Qui a-t-il ? Parle !
- La... la prisonnière n'est plus là ! »
Voldemort se retourna. Il constata qu'elle avait disparue. Il était fou de rage, quand...
A ce moment là, Harry Potter se réveilla en sursaut. Sa cicatrice lui faisait tellement mal, qu'il en aurait presque crié. Ses rêves commençaient à le fatiguer sérieusement.
On était au début des grandes vacances. Le jeune homme repensa à sa dernière année scolaire, à Sirius, son parrain, et surtout, au retour de Voldemort... Il secoua la tête pour chasser ces pensées néfastes. Il regarda son réveil, il indiquait trois heures du matin. Harry se leva et s'approcha de la fenêtre. Hedwige n'était toujours pas revenue. Depuis quelques temps, elle sortait nuit et jour, ne revenant que pour se nourrir.
Pourtant, ce soir, il crut apercevoir un oiseau dans la nuit. Le jeune sorcier ouvrit la fenêtre et se pencha dehors. Il ne s'était pas trompé ! Un hibou volait vers lui...ou plutôt trois oiseaux, Hedwige, Coq et Fumseck. Harry s'étonna de voir le phénix si tôt. D'habitude, il ne venait que vers la fin des vacances. Au moment où les trois volatiles pénétraient dans la pièce, le survivant eut un mauvais pressentiment. Il caressa Hedwige et détacha les deux lettres que lui avaient amenées les oiseaux. Il commença par celle de Dumbledore :
Cher Harry,
J'espère que tu vas bien, et que tu passes un bon début de vacances. Mais je dois t'annoncer une bien mauvaise nouvelle, au regret de gâcher tes jours de repos bien mérités. Peut-être que les Dursley t'en on parlé ? Je ne crois pas... L'entreprise de ton oncle est au bord de la faillite. Et de toute manière, avec le retour de Voldemort, tu aurais du quitter ta famille. Ils ne peuvent pas te protéger. Donc, comme tu l'as compris, tu dois quitter ces moldus. Tu dois te demander où tu vas bien pouvoir aller ? Chez un sorcier assez puissant, qui connaisse bien le comportement de Voldemort. Je t'aurais volontié proposer d'aller chez ton parrain, Sirius, mais comme tu le sais, c'est impossible. Malheureusement, tu ne peux pas venir chez moi, pour des raisons que je t'expliquerais un jour. Il ne reste qu'une personne, qui puisse t'héberger, et qui c'est proposé pour t'accueillir... Severus Rogue.
A ces mots, Harry crut qu'il plaisantait. Lui chez Rogue ! Se serait pire que chez les Dursley ! Le professeur et le jeune sorcier se détestaient, et ce n'était rien de le dire ! Il continua la lettre.
Je sais que cela ne t'enchante guère, mais tu n'as pas le choix. Peut-être pourrait tu passer quelques jours chez les Weasley ? Demande leur. Severus passera te prendre dimanche soir.
Harry, je te rappelle que si ta cicatrice te fait mal ou si quelque chose se passait d'inhabituel, préviens moi.
Bonne chance et à bientôt
Dumbledore
Le sorcier crut qu'il allait hurler, mais il se retint. A côté de Rogue, les Dursley étaient des anges ! Il essaya de se ressaisir, mais c'était dur. Comment Dumbledore pouvait-il lui faire ça ? Quand au « qui c'est proposé pour t'accueillir », Harry n'en crut pas un mot. Comment Rogue avait-il put se proposer pour l'héberger ? Ça doit être un supplice pour lui aussi, il en était sur. Ou alors le professeur avait changé ? Dans ce cas, se serait un miracle ! Mais les miracles, Harry ne pouvait y croire depuis la mort de ses parents. Il ne pouvait se résigner à aller vivre chez Severus Rogue. Mais où aller ?
En attendant de pouvoir se calmer, il ouvrit la deuxième lettre :
Salut Harry !
J'espère que tu vas bien et que tu passes de bonnes vacances, malgré la faillite de ton oncle. Dumbledore nous a prévenu. Mon pauvre Harry, comme je te plains ! J'espère que tu pourras venir chez moi la dernière semaine du mois d'août, Hermione sera là.
Au revoir et bonne chance !
Ron
Le jeune sorcier renvoya Fumseck, ces quelques mots accrochés à sa patte : « Merci de m'avoir prévenu, à la rentrée. Harry »
Après avoir digéré cette nouvelle, Harry essaya de voir les choses positivement. Il serait mieux protégé de Voldemort, et ça, c'est important, il pourra faire ses devoirs en plein jour, et il passera son anniversaire chez Rogue. Se sera peut-être un vrai anniversaire ? Il en doutait. Il se mit à espérer et à rêver. Perdu dans ses pensées, il finit par plonger dans un profond sommeil, qui allait être très agité...
Le lendemain matin, il descendit dans la cuisine. Son oncle et sa tante n'avaient pas l'air en forme :
« Bonjour tante Pétunia, bonjour oncle Vernon, dit Harry
- Bonjour Harry..., répondit Pétunia
- Pourquoi ne m'avez-vous rien dit, au sujet de la faillite de votre entreprise ?
- Qui t'a prévenu ?
- Dumbledore, le directeur de mon collège.
- Tant mieux, ça aurait été dur de te le dire. Et il t'a dit chez qui tu devais aller ?
- Oui, chez un professeur de Poudlard, Severus Rogue.
- Tu t'entends bien avec lui ?
- Non, il me déteste et moi aussi...
- ...
Harry déjeuna rapidement et il s'exclama :
- Je monte préparer mes affaires.
- Tu sais, Harry, tu nous manqueras...
- C'est vrai ?
- Oui... Tu nous écriras de temps en temps, hein ?
- Si tu veux, tante Pétunia....
Pendant ce tant, l'oncle Vernon les avait écoutés, silencieusement. Il ne paraissait pas bien.
Il rangea son assiette et monta dans sa chambre. Arrivé là-haut, il referma la porte. Finalement il se rendait compte que les Dursley allaient lui manquer et qu'ils n'étaient pas si horribles. Le jeune sorcier repensa à Sirius et projeta de lui écrire cette après- midi. Harry alla s'accouder à la fenêtre, observant le ballet des oiseaux dans le ciel. Il lui semblait que les animaux formaient un animal, un dragon, plus précisément. Cela lui rappela le tournoi des trois sorciers, l'année dernière. A ce moment la, il repensa à Cédric, au trophée qui n'était qu'un portoloin pour l'amener au près de Voldemort, qui avait pour projet de le tuer, ce qui avait bien failli réussir... Et surtout, il repensa à Queudver, ce lâche, qui deux ans plus tôt avait réussi a s'échapper et à rejoindre son maître, Voldemort. C'est à cause de lui qu'il ne pouvait pas aller vivre chez son parrain. Si il l'avait rattrapé ! Il ne serait pas obliger d'aller vivre chez Severus Rogue. Queudver, Queudver, si j'avais pu..., pensa Harry, si je t'avais attrapé ! Mais ça faisait beaucoup de « si ».
Le jeune sorcier commença à ranger ses affaires, ruminant toujours ses pensées moroses. Il attrapa sa valise, souleva la lame du parquet qui se décollait, sorti toute ses affaires et il se mit à les entassées dans sa valise. Quand il remarqua que Coq était toujours la, installé sur son bureau et qu'Hedwige, enfermée dans sa cage, avait un grand besoin de sortir. Harry se décida à répondre à Ron et à écrire à son parrain :
Salut Ron !
Je suis désolé de te répondre si tard, mais j'était trop sonné pour penser à t'écrire hier soir. Comme tu le sais, je dois aller chez Rogue dimanche. Je n'arrive pas à bien digérer cette nouvelle. Et j'accepte bien volontiers ta proposition, je n'est plus qu'as demander à Rogue, mais je suis presque sur qu'il acceptera, ça le soulagera certainement que je parte une semaine loin de lui ! Je te réécrirai pour te confirmer ma venue.
Au revoir, Ron
Harry
Il se accrocha sa lettre à la patte de Coq, non sans mal, l'oiseau ne voulant rester en place :
« Doucement, Coq, arrête de bouger !
Une fois le message accroché, il dit au hibou :
- Va donner ça à ton maître, Coq. Et fait attention a toi ! »
Il alla ouvrir la fenêtre et l'oiseau s'envola. Puis, il se mit à écrire à Sirius :
Cher Sirius,
J'espère que tu vas bien et que ce n'est pas trop dur de vivre ou tu es.
Dumbledore m'a écrit pour m'annoncer que les Dursley était au bord de la faillite, que je ne pouvais pas rester chez eux et que je devais allez chez... Severus Rogue. Je ne vais jamais pouvoir tenir au moins deux mois chez lui, et tu sais de quoi je parle... Je sais que, malgré votre « réconciliation » provisoire, tu ne le portes pas vraiment dans ton cœur, et bien moi non plus. Et lui, il me déteste pour beaucoup de raisons je suis un Griffondor, il garde un mauvais souvenir de toi, et j'en passe. J'aurais tellement aimé venir chez toi ! Mais à moins que je puisse me transformer en animagi, c'est impossible. Mais tu ne pourrais pas arranger ça, par hasard ?...
A bientôt,
Harry
Harry se leva et se dirigea vers la cage d'Hedwige. Il ouvrit la cage. La chouette voulut partir tout de suite et il dû la rappeler plusieurs fois à l'ordre. Il parvint à accrocher la lettre et il dit à sa chouette :
« Hedwige, tu vas donner cette lettre à Sirius, le plus vite que tu puisse. Quand tu reviendras, je ne sais pas si je serai encore là. Peut-être que je serai déjà chez Severus Rogue. Mais je sais que tu me retrouveras, comme tu l'as toujours fait. Va ma grande, va. »
Hedwige s'envola et s'engouffra par la fenêtre et vola vers l'horizon. Le jeune homme eut un pincement au cœur en la voyant partir ainsi. Elle était toute sa vie, cette chouette au plumage blanc comme la neige, c'était la seule personne à ne pas avoir un mouvement de recul en le voyant. Hagrid, le garde-chasse de Poudlard, lui avait offert le jour où il était allé au Chemin de Traverse pour la première fois, pour ses 11 ans. Un jour merveilleux. Il avait enfin quitté les Dursley et il s'apprêtait à vivre de merveilleuses aventures...
Le dimanche soir arriva, trop vite sans doute. Au moment où Harry entendit la sonnette de l'entrée, son cœur fit un bond dans sa poitrine. Et si ça se passait mal ? Et si Rogue était du coté de Voldemort ? Et si ce n'était qu'un piège ? Et si ce n'était pas Dumbledore qui avait écrit la lettre ? Et si... ? Il descendit rapidement les marches de l'escalier, prit une longue inspiration et il ouvrit la porte... Ce n'était qu'une voisine, qui voulait rendre un plat à tarte à sa tante Pétunia. Il la remercia. Le jeune homme fut soulagé, mais encore plus stressé qu'avant. Il alla s'asseoir dans la cuisine. Lorsque la sonnette retentit pour la deuxième fois, il se précipita vers la porte et l'ouvrit... Son professeur de potion se tenait devant la porte, vêtu de noir, comme à son habitude. Intimidé, Harry ne pipa mot. Ce fut Rogue qui commença :
« Bonjour Harry, fit le professeur, l'air plus sympathique que d'habitude.
- Bonjour professeur, lui répondit Harry, vous voulez entrez ?
- Non, si ça ne te dérange pas, j'aimerai mieux qu'on y aille tout de suite.
L'oncle Vernon arriva, méfiant :
- Bonjour...
- Bonjour monsieur.
- Je vais chercher mes affaires, ajouta Harry.
Il monta dans sa chambre, laissant son oncle et Rogue « faire connaissance ». Que devait-il penser ? Sur le moment, tout était tellement bizarre, tellement flou et étrange qu'il ne pouvait rien penser. Quand il redescendit, les adultes étaient là, parlants de la pluie et du beau temps.
Severus demanda à Harry :
-C'est bon, Harry, tu es prêt ?
Le jeune homme hocha la tête en guise de réponse. Il dit au revoir à toute la famille et crut apercevoir une larme dans l'œil de Pétunia. Rogue était venu en voiture. Harry installa sa valise dans le coffre et ils montèrent dans la voiture. Durant le début du voyage, le professeur et l'élève n'ouvrirent pas la bouche. Quand Severus se mit à parler, le jeune homme eut un léger sursaut :
- Tu sais Harry, avec le retour de Voldemort, il faudra que tu sois sur tes gardes tout le temps et que tu ne prennes pas de risques, qui pourraient s'avérer... mortels. Et quand tu iras à Pré-au-lard, tu devras vraiment faire attention. Si jamais tu meurs, se sera la fin. Voldemort aura gagné. Et si il gagne, se sera la fin. Il tuera tout le monde, et surtout les anciens mangemorts repentis... Tu es LE survivant, le seul à pouvoir l'anéantir. Fais attention, Harry, vraiment attention. Si tu viens vivre chez moi, c'est pour beaucoup de raisons. Dumbledore t'en a parlé, je suppose ?
- Oui, en partie.
- Si tu restes chez les Dursley, quand Voldemort referas surface, ils ne pourront pas te protéger, je ne dis pas que tu seras en parfaite sécurité chez moi, loin de là, mais se sera déjà mieux. A Poudlard, tu seras protégé, tant que Dumbledore sera là. Mais même lui, si il se retrouve face à Voldemort, ses chances de le vaincre sont faibles, très faibles. Peut-être qu'avec toi, vous serez assez puissant pour l'anéantir définitivement, mais pas avant que tu ai finit tes sept année d'étude, dans deux ans. Ces longues années pourront être trop longues, Harry, et il sera peut-être trop tard. ça fait beaucoup de peut-être, hein ? J'espère que tu m'as bien compris, Harry. Et même si je ne le montres pas, je tiens à toi...
Le jeune sorcier fut intrigué par ce discours. Rogue tenait à lui ? Finalement, ça ne l'étonnait pas tant que ça. En première année, il avait tenté de le sauver de Quirell, il était aussi l'ami de Dumbledore et il faisait partie des profs qui devait le « protéger ». Il était toujours perdu dans ses pensées quand il arriva chez Rogue :
- Merci, professeur...
- Tu peux m'appeler Severus, en dehors des cours, bien sur.
- D'accord.
Finalement, les quelques mois ici n'allaient pas être si terrible que cela. Il sortit sa valise du coffre et marcha derrière le professeur. Quand ils arrivèrent devant l'entrée du manoir, Severus s'arrêta. Il dit à Harry :
- Heu...Harry, il faut que je te dise quelque chose... Voila, j'ai une fille. Tu ne la jamais vu, c'est normal, elle allait à Durmstang les quatre dernières années, mais avec le retour de Voldemort, je préfère l'avoir près de moi, tu comprends ?
-Oui, c'est normal.
- Elle s'appelle Elisabeth et elle a le même âge que toi.
Rogue pénétra dans sa demeure, où une jeune fille les attendait. Elle était grande, mince, et elle ressemblait à un top model :
- Salut Harry ! C'était bien le voyage en voiture, lui dit-elle, amusée.
- Oui, c'était bien. Tu t'appelle Elisabeth, c'est ça ?
- Oui, oui. Et toi, c'est... le survivant ? Bon, j'arrête les plaisanteries, et je te montre ta chambre. Tu viens ?
Ils montèrent au premier étage. Rogue les avaient observés tout ce temps, amusé et étonné qu'ils s'entendent si bien. La jeune fille emmena Harry dans sa chambre. Une pièce simple, meublée d'un bureau, d'un lit et de quelques étagères. Une fenêtre éclairait le tout. Harry posa sa valise sur le lit et demanda à Elisabeth :
- C'est super ! Et ta chambre, elle est où ?
- Juste a coté. Tu veux faire le tour du propriétaire ? Suis-moi !
Elle lui montra sa chambre, la salle de bains, les WC, la chambre et le laboratoire de son père et elle rajouta qu'ils n'avaient pas le droit d'y pénétrer, puis ils descendirent dans la cuisine, le hall et dans le salon, où ils trouvèrent Rogue, plongé dans un journal, l'air concentré. Ils n'osèrent pas le déranger. Harry et Elisabeth remontèrent dans leur chambre. Le jeune homme commençait à ranger ses affaires, quand il aperçut Hedwige, sur le rebord de la fenêtre. Il la fit entrer, prit la lettre qu'elle lui avait apportée, ouvrit la cage et l'installa sur une petite table, non loin de la fenêtre. Elle était assoiffée. Il ouvrit la lettre de son parrain :
Cher Harry,
Je suis sincèrement désolé de se qu t'arrive. Comme tu me l'as dit, moi-même je n'aurai pas supporté. Tu sais que je suis devenu, quelque chose que je ne peux t'écrire, de peur que cette lettre ne sois intercepté, et je me suis promis de ne jamais révéler mon secret, sauf en cas de force majeur. Et je considère le retour de Voldemort et le fait que tu vives chez Severus comme un cas de force majeur. Donc, dès que tu iras dans le village, passe me voir... Et réfléchit d'ores et déjà à ce que tu veux.
Au revoir et bonne chance
Sirius
Il continua à ranger ses livres, ses vêtements et autres. Une fois cette besogne accomplie, il s'allongea sur le lit et il repensa à toute cette soirée. Tout se passait bien. En plus Elisabeth était très sympa. Ces quelques semaines s'annonçaient sous de bon auspices...
Note de l'auteur : alors, ça vous a plu ? Ecrivez moi des rewiew !
