Disclamer : Le personnage est l'unique propriété de JK. CE texte et VOS reviews sont MA propriété, nananananèreu...
Auteur : Moi, la seule, l'unique, l'inimitable et inimitée Evil Milou
Public :G
Résumé : Non, mais dis donc, c'est pas déjà assez court comme texte et il faut en plus faire un résumé ? Non, mais ! Vous n'avez pas Honte ? Bon, je m'incline... Imaginez Gilderoy s'admirant dans la glace, ça donne ça...
Le plus beau poème du monde
Il n'y a pas à dire, quand je me regarde, je me sens... différent. Il n'y a pas de doute possible à ce sujet. Regardez les autres. Ils essaient, ils font tout ce qu'ils peuvent, mais... personne ne m'arrive à la cheville. Je suis, je serais toujours, sans aucun doute possible, un des plus beau gars que vous pourrez croiser sur cette terre.
Parfois, c'est un peu dur à porter, je le reconnais. Même ce pauvre Sirius Black ne m'arrive pas à la cheville... Vraiment pas de chance avec les filles. Heureusement, ce n'est pas mon cas. Je ne sais pas comment, on peut vivre avec une telle tache à la place de la figure. Enfin, je suppose que ça doit être extrêmement difficile à supporter.
Évidemment, il y a parfois, des mauvais côtés. C'est tellement difficile d'être juger pour ses véritables compétences. Toutes les profs (je suis quasiment sûr que les profs masculins également) raffolent de Moi. Ah ! Moi... Grand, fort, Beau, musclé. En gros, Moi.
Je suis extraordinaire. Je suis persuadé d'avoir une sorte de « mission ». J'égaie les mornes journées des pauvres petites boutonneuses en leur offrant un sourire. La vie leur semble tout de suite moins lourde... Je suis merveilleux, je sais.
Je suis l'élu ! Il faut du courage pour l'admettre. J'ai tellement de peine à me rendre dans les bars... Tout le monde s'accroche à moi... Je suis indispensable. Je suis Moi et il n'y arien de plus beau que cette affirmation.
Moi. C'est comme un poème : Moi. Quelque chose de neuf, un vent de fraîcheur pour les vieilles décrépies, le messie de l'esthétique. Moi. Rien de trop beau, rien d'équivalent. Moi. Une nef sur un océan de laideur, survolant la médiocrité congénitale de mes contemporains. Personne ne peut m'enlever cela, je suis l'unique.
