Bonjour tout le monde voilà c'est la première fanfiction que j'écris ainsi que mon premier lemon j'espère donc que vous posterez des review pour me permettre de m'améliorer.

Bien entendu les personnages principaux ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à Moffat et Gratis et si ma fanfiction pour certains éléments s'inspire de faits réels les noms sont bien entendu faux.

Les passages en gras sont des commentaires des personnages après les faits et ceux en italique sont des citations.


Sherlock marchait dans la nuit tel un fantôme, il avait besoin de réfléchir. En effet, pour la première fois de sa vie, il avait eu peur pour quelqu'un d'autre, peur pour John et il ne comprenait pas. Jamais auparavant il n'avait eu peur, ni pour lui ni pour personne, mais quand Watson était apparu, la veste entrouverte laissant voir la ceinture d'explosifs qui l'entravait, Sherlock avait senti l'espace d'un instant son cœur s'arrêter. Seule la chance leur avait permis de survivre à l'épisode de la piscine et il s'en sentait passablement frustré.

Plongé profondément dans ses réflexions, le grand détective à qui rien n'échappait habituellement ne vit pas la limousine noire se détacher d'une ruelle obscure pour le suivre. Il ne s'aperçut de sa présence que lorsqu'il fut trop tard.

De puissants phares illuminèrent la rue, surpris, le logicien se retourna lentement pour voir la limousine qui l'emprisonnait dans la lumière de ses feux. Deux silhouettes armée en sortirent, le détective eut alors un sourire sarcastique :

-Moriarty est tellement versatile, souffla-t-il dans un ricanement avant de monter dans le véhicule sous l'œil attentif des révolvers braqués sur lui.

Sherlock s'installa confortablement dans les sièges de cuir et affichant un visage impassible il commença à réfléchir à sa situation. C'était entièrement de sa faute. Il avait manqué de prudence et n'avait pas réagi à l'apparition de la voiture qui d'ailleurs ne laissait aucun échappatoire. Le détective ferma alors les yeux, se préparant ainsi à la confrontation qui aurait bientôt lieue.

Vingt minutes plus tard, la voiture pénétra dans un entrepôt désaffecté avant de s'arrêter. Le logicien ouvrit les yeux et descendit du véhicule :

-Si j'étais vous je changerais de chauffeur, j'aurais pu arriver dix minutes plus tôt, lança le détective toujours impassible tandis qu'il cherchait le moyen de se sortir de cette délicate situation.

-C'est bien ce que je pensais et j'ai horreur d'attendre. Répondant à un geste du criminel consultant deux hommes s'emparèrent du conducteur avant de l'emmener hors de l'entrepôt.

Sherlock déglutit, tentant d'étouffer un début de culpabilité. (Mais je ne me suis jamais senti coupable ! SH/ Peut être mais les lecteurs voudront peut être penser que tu es humain, c'est foutu maintenant. C)

-Mme Hudson aurait que tu répondrais de tes meurtres devant Dieu mais…

-Mais quoi ! Ces dieux que l'Homme a fait et qui n'ont point fait l'Homme ?! Et puis mourir ce n'est rien, hier un esclave est mort pour le plaisir de son maître.

-Et puis c'est ce que les gens font, on a compris, mais ne t'en fais pas tu n'auras pas à attendre de passer devant Dieux pour payer.

-Tu es encore tellement naïf que s'en est attendrissant. Bon trêve de bavardage, le repas est prêt ! fit Moriarty qui courrait presque entraînant son rival à sa suite.

Le détective surpris se laissa faire et s'asseya même devant son assiette, il ne s'attendait certes pas à un dîner aux chandelles avec son ennemi !

-Alors tu ne manges pas ? Personnellement j'aime bien manger avant une nuit mouvementée, lança le criminel avec un sourire moqueur.

Sherlock ne releva pas trop occupé à examiner la nourriture qu'on lui proposait avec méfiance. Il finit cependant par manger et apprécia à leur juste valeur ces mets délicats. Il y avait donc un avantage à avoir un Moriarty pour ennemi !

-Tu ne mangerais quand même pas cette viande sans vin ! le gourmanda celui-ci, ce serait de mauvais goûts alors que je viens de recevoir cet excellent vin de Bordeaux, un grand cru.

A ces mots un serveur apparut, surgissant de l'ombre, une bouteille à la main. Soupçonneux, le logicien finit tout de même par céder, surtout que la bouteille, bien scellée, l'attirait fortement. Il avait, depuis toujours, un faible pour les bons vins. Ce n'est qu'après avoir fini son verre qu'il remarqua le sourire de son ennemi ainsi que son verre, plein. Le détective prit d'un doute observa plus attentivement le bouchon de la bouteille et dut résister à la soudaine envi de se gifler. Il n'en ratait pas une ce soir, à se demander s'il ne faisait pas exprès. Le bouchon montrait une très belle marque de piqûre. (Merde, comment ai-je pu être aussi con ! SH). Sherlock voulut se lever mais la drogue avait engourdie ses jambes. Il ne put que se rattraper à la table, évitant ainsi de s'effondrer de justesse. (Tu n'as pas l'air dans ton assiette, un verre de vin ? JM). Un voile passa devant ces yeux, obscurcissant sa vue. Ses muscles se décontractèrent soudain et il lâcha la table. La dernière chose qu'il sentit fut les mains de Moriarty le rattrapant de justesse.


Attention, passage fortement déconseillé aux mineurs et aux personnes sensibles. Rendez-vous au chapitre 2 pour ceux-ci.


Sherlock ouvrit les yeux. Il avait la langue pâteuse et sa tête tournait. Il présentait tous les symptômes d'une prise de narcotiques. Il avait du mal à se concentrer et ressentait les choses d'une façon étrange, plus poussée, plus électrisante. (Je suis sûr qu'il n'y avait pas que des narcotiques. SH/ Je ne dévoile jamais mes secrets. JM/ Tu parles. SH). Ce n'est qu'au bout de plusieurs minutes d'immobilité que le détective se rendit compte qu'il était nu, les bras attachés dans le dos par des lanières de cuir et qu'un bandeau lui couvrait les yeux, l'aveuglant. Le sociopathe sentit une boule d'angoisse se former dans le creux de son ventre, il se sentait vulnérable. Sans ses yeux, il perdait une grande partie de ses dons de déduction et sans eux, le monde qui l'entourait lui semblait faussé. Pour se rassurer, il se promit de combler cette lacune, de ne plus dépendre autant de sa vue. S'il s'en sortait. Un bruit furtif dans son dos le fit sursauter. Des mains commencèrent à se promener sur sa peau.

-Que… Que faites-vous ?

-Je te l'ais déjà dis, lui sussura son geôlier à l'oreille, la drague est finie. Il est temps de passer à l'étape suivante.

Le prisonnier étouffa un gémissement quand les mains de Moriarty se saisirent de son sexe qui malgré sa gêne se dressait déjà sous les caresses du criminel. Son malaise augmenta encore quand il sentit les lèvres de son agresseur se poser sur les siennes et sa langue se frayer un chemin dans sa bouche. Dans un sursaut de volonté, le logicien pinça les lèvres, bloquant ainsi l'accès à sa bouche. Mal lui en pris, les dents de Moriarty (Ou de Jim vu la situation. C) s'enfoncèrent dans la chair tendre des lèvres de Sherlock et, forçant le passage, sa langue put enfin goûter celle du détective. Son goût piquant, viril mais aussi étonnement sucré, mélangé à celui plus métallique du sang l'excitait au plus haut point. Le criminel se saisit de sa victime et la déposa à genou sur la table. Il eut alors un sourire moqueur, le Grand Sherlock Holmes était entièrement à sa merci, sa position et le mince filet de sang qui lui coulait sur le torse le rendait irrésistible. Moriarty se rapprocha de l'objet de ses désirs et suivit la ligne pourpre avec sa langue jusqu'à atteindre une bouche qu'il s'appropria violemment. Son sexe entra un contact avec celui du logicien et commença un léger mouvement de va-et-vient qui tira un gémissement plaintif a un détective paniqué. Son corps le trahissait, frissonnant sous des caresses qui le répugnaient et se dressant, durcissant contre le corps de celui qui abusait de lui. Celui-ci se sentait de plus en plus excité, sentir le corps de son compagnon contre lui, le sentir réagir au moindre frôlement, le voir tenter de le repousser de plus en plus faiblement pour finalement cessé, résigné. C'était si bon. Moriarty, de sa langue, dessinait les lignes du corps pâle collé à lui. Il descendait lentement, s'approchant peu à peu de la verge. Il lécha avec volupté l'intérieur des cuisses avant de s'emparer de cette verge dressée. La langue du criminel, brûlante, parcourait la peau sensible du membre durci avec une lenteur exagérée, tirant des gémissements étouffés au sociopathe. Celui-ci était terrifié, il n'avait plus le contrôle de son corps et son esprit habituellement si froid, si implacable commençait à se noyer sous l'effet mélanger de la peur, de la haine et de l'endorphine. Jamais il n'avait haï quelqu'un comme il haïssait Jim à cet instant. Son esprit sombra définitivement quand il sentit une langue ardente caresser son gland. Son corps se cambra et se déversa dans la bouche avide du criminel. Moriarty sentit le sperme chaud couler jusqu'au fond de sa gorge et se délecta de son goût légèrement salé. Il donna un dernier coup de langue avant de s'éloigner comme à regret. Il avait besoin de Le posséder, de le posséder corps et âmes. Il se saisit de Sherlock et le poussa violemment contre la table et lui écarta les cuisses. Sans même se donner la peine d'utiliser du lubrifiant, le criminel pénétra en son rival, l'empalant sur sa hampe dressée. Sa victime se cambra et laissa échapper un gémissement. Sherlock se retenait de hurler rendu fou par la douleur, la terreur et sa haine. Il avait mal, ce corps étranger qui se mouvait en lui au rythme des coups de reins de Jim lui causait une douleur vive qui semblait le déchirer de l'intérieur. Bientôt il ne resta dans son esprit qu'une question au milieu de la brume : « Alors c'est ça le sexe ? ». (L'une des meilleurs soirée de ma vie. JM/ Pas pour moi j'ai encore mal rien que d'y penser. SH/ HA haha (rire sadique). JM).