Hello everyone ! Ceci est ma première fic, je pense qu'elle fera une dizaine de chapitres, mais rien n'est sûr ! Je ne prends pas en compte Voldy, je me sens pas encore prête à faire une aussi grosse intrigue, donc voilà ! A priori, je publierai tous les lundis, je vous tiendrai au courant si des modifications ont lieu !

Bien entendu, vous savez que j'attends des reviews, s'il vous plait, ayez pitié ! J'ai besoin de m'améliorer, ou d'être conforter dans le fait de devoir continuer ! Allez, j'arrête de papoter, bonne lecture a toi Ô lecteur lectrice derrière ton écran !

as asual : tout les persos et l'univers appartienne à JKR, sauf l'intrigue (hé hé)

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Le syndrome de la page blanche

Assise devant mon ordi à regarder ce foutu curseur clignoter. Il a l'air de se foutre de moi, de bien rigoler. Il sait qu'il ne vas pas se déplacer, que je n'ai rien à dire.

Moi , Hermione Granger, ne trouve rien à dire. Les années précédentes , ils suffisaient pourtant de mettre un peu de musique, de s'installer confortablement dans ma chaise de bureau et de trouver la première phrase, l'accroche et après… Et après tout était simple, je laissais les doigts glisser sur le clavier, mettant sur écran ce qui défilait dans ma tête, l'histoire se construisant au fur et à mesure, les mots glissant simplement.

Simple, c'est le mot. Tout était plus simple à l'époque. Pourtant rien n'a vraiment changé. J'ai juste… vieilli. Ça ne m'avait jamais dérangé auparavant mais là… peut-être que demain ça ira mieux ?

Bien, une journée à passer et cette fois mon curseur a l'air de m'appeler , il veut se déplacer, il veut faire apparaître des lettres qui formeraient des mots qui donneraient des phrases et qui raconteraient une histoire , peut-être la mienne, qui sait. Est-ce que c'est possible de perdre son âme ? Est-ce qu'on a une âme en même temps ? Alors disons plutôt , est-ce possible de perdre son potentiel, son talent ? Suis-je devenue encore plus sérieuse ?

Je veux dire , j'ai toujours eu un esprit rationnel et un comportement égal à lui-même , je suis quelqu'un de réfléchi, qui obéit tant que l'ordre est sensé, évidemment. J'ai toujours fait mes devoirs, était sérieuse mais j'avais toujours eu ce truc en plus.

Vous savez, ce petit truc qui nous différencie des autres, qui nous rend spécial et unique, mais surtout qui nous le fait comprendre, parce qu'on l'a, on est vraiment spécial, on intègre cette réalité. Mon truc à moi, c'est écrire. Tout, mes pensées, mes histoires, je m'amuse même parfois à reprendre des personnages de mes livres préférés et je les mets dans une intrigue tout autre, ou du moins leurs réserve un destin différent. La rentrée à Poudlard approche et pour la première fois depuis que je vais au château, j'ai des regrets. Des regrets de quitter la technologie. Surtout mon ordinateur. Bien sur je peux écrire sur un parchemin mais Harry et Ron qui me trouve déjà bien assez occupé à étudier ne me laisserait pas la paix. Mais quand même, premier été où je n'arrive à rien.

Rien. Ce mot résonne dans ma tête. Plus de deux mois pour laisser mon imagination éclater, débordée et créer un univers merveilleux. J'ai pourtant relu tout ce que j'avais déjà écrit. Mais pas d'inspiration. Le syndrome de la page blanche, je crois que ça s'appelle comme ça. Syndrome … c'est un mot qui n'est pas très encourageant. Tout comme « rien ». Si je n'arrive plus à écrire , ça veut dire que j'ai perdu mon truc, ce qui me rendait spécial. Ce qui me permettait de me rassurer, de me dire que je n'étais pas qu'un esprit rationnel, intelligent, terre à terre. L'imagination m'a toujours parut comme la plus belle des choses, même plus que la magie. L'exercice de la magie demande de l'entraînement, des connaissances, mais il y a aussi des règles à suivre. Alors que l'imagination est … magique , mais dans la totalité du terme. Aucune limite, aucune contrainte, jamais il n'y a de fin à l'imagination, et chacun à la sienne , elle est unique et à la fois universelle. L'imagination, souvent attribué aux enfants, parfois même comme un défaut, un reproche « tu as trop d'imagination, ton imagination t'a joué un tour, tu t'imagines quoi … » On n'a que des expressions négatives sur l'imagination. Mais je me répète ma citation, celle que jamais je ne prononcerai devant les gens, elle est à moi, elle m'appartient. Je ne veux pas qu'on la commente qu'on en rigole ou qu'on l'aime. C'est ma phrase qui me conforte dans mon truc. Mais j'ai perdu mon truc. Vite , ma citation

« La raison, c'est l'intelligence en exercice. L'imagination c'est l'intelligence en érection. »

Victor Hugo cesseras tu un jour de ravir mes sens ? Raison et imagination ne sont pas incompatibles, l'un est logique, l'autre chaos, l'un est doux ordre, l'autre délicieux désordre. Ils sont bien entendu compatibles, ils sont coexistants en fait.

Non à vrai dire, c'est ce que je croyais, que j'avais ces deux choses en moi: raison et imagination. Mais il est possible que l'un est pris le pas sur l'autre. J'aurai pourtant cru qu'en vivant avec la magie, si un jour l'une de mes qualités devaient s'effacer , ce serait la raison. L'imagination est sans frontières, pourtant elle est prisonnière de mon esprit, véritable barrière car je n'écrit pas.

Rien. Rien à dire, rien à écrire, rien à raconter, rien à imaginer. Rien.

Qu'il est étrange ce mot de quatre lettres. Tiens mais peut-être est-ce mon intelligence qui s'est émoussé, après tout, ma citation est explicite. Il me faut des réponses , et ceci avant une semaine. Le compte à rebours à commencer. Un challenge va peut-être me débloquer.

Deux jours, deux jours seulement avant le retour à Poudlard. Je crois qu'il faut que je me fasse une raison. Je n'aurai pas écrit cette année, je n'ai pas obtenu de réponses à mes nombreuses questions sur ce mystérieux blocage. Je n'ai pas non plus eu de déclic. Je n'ai pas eu l'illumination qui m'aurait fait soudain cesser toute activité et le plus rapidement possible, je me serai précipitée sur mon ordi, aurait fixé ce curseur qui à l'époque semblait poliment me saluer, presque content de me voir. Et alors , la danse de mes doigts débutait. Parfois rapide, parfois hachée et parfois même hésitante. Mais c'était un spectacle que j'adorais. Voir mes doigts s'activer, en voir le résultat sur l'écran, entendre le son des touches qui s'écrasent sous leurs pressions, presque parfois la douleur ressenti à force d'avoir les poignets immobiles tandis que mes doigts eux se croisent et s'entrecroisent à une allure folle.

Mais je suppose que je suis sensée l'accepter. Vivre avec. Je ne suis pas une autre personne sans l'écriture, du moins j'essaye de m'en convaincre, en le répétant suffisamment de fois, cela rentrera telle une litanie. Et ce n'est pas un adieu, je ne dirai jamais adieu à ce curseur impatient. Disons que je prends une année de plus pour me ressourcer, pour nourrir et ériger mon imagination. Déborder d'idées pour l'été prochain, et peut être , tellement submergée par l'excitation, par l'idée qui fera battre mon cœur, peut-être alors écrirais je sur un parchemin car je ne pourrais tout simplement pas attendre d'avoir un ordinateur et d'être seule. Tant pis si je subis quelques moqueries de Ron, d'Harry ou même de Drago.

Drago…

Drago.

Drago !

Comment ais-je pu être aussi bête ? Oui , moi Hermione Granger me suis conduite comme une parfaite idiote, comme un parfait Botruc. Je n'ai pas perdu mon truc , je l'ai , je le sens. Je n'arrive pas à écrire simplement parce que j'esquive ce qui en ce moment mon esprit. Tenir compte de ce qui me rend heureuse et qui remplit mon esprit, et qui ainsi nourrit mon imagination. C'est évident. Simple. Je sens mes doigts avancer doucement sur le clavier. Presque avec émotion, je caresse les touches polies par mes nombreux passages. Je trace le contour de plusieurs touches. Je me lève sans écrire, rien ne presse maintenant. Je me dirige dans un coin de ma chambre et je récupère ma plume favorite et lui écrit une lettre. Une fois la lettre envoyée, je décide d'aller prendre une douche chaude. En sortant je m'emmitoufle dans mon peignoir et me glisse avec délectation dans ma chaise. Je fais doucement démarrer la musique et j'écoute le silence presque religieux se briser. Cette sérénité, cette plénitude, je n'aurai pas pu m'en passer. J'aurai pu me mentir en affirmant pouvoir me passer de l'écriture. Mensonge. Une fois qu'on a compris ce qui nous rendait heureux, pourquoi s'en passait sciemment ?

Je regarde mon écran, et pour la première fois des vacances , sans défit, sans rancœur. Le curseur est là, il suit le rythme de la musique, de mon esprit qui commence doucement à bouillonner, à foisonner d'idées. Je me mords la lèvres inconsciemment quand j'ai trouvé. La danse de mes doigts commencent.


Alors que tête baissée, elle fonce dans le couloir, courant presque, elle bouscule quelqu'un, marmonne une excuse, et continue sa route. Il faut qu'elle parle à son meilleur ami. Correction : à ses meilleurs amis. Vraiment troublante cette journée. Troublante est un mot trop gentil, vraiment inutile et déprimante cette journée. Ce professeur horrible qui la victimisait et maintenant voilà qu'il passait à .. grrrr. Elle serra les dents et ses sourcils se froncèrent encore plus. Elle eut un frisson de dégoût qui succéda à celui de rage. Et elle sentit ce dégoût se transformer en quelque chose de pire : la peur. Elle n'était pas censé avoir peur, c'était une de ses valeurs. Mais il restait un professeur, que pouvait elle faire. Déjà qu'elle n'aimait pas être en colère contre des gens, encore plus contre des professeurs alors là , que l'un d'eux la force à le détester … c'était un cauchemar. Et si elle n'agissait pas, ce n'était pas prêt de se finir. Et elle n'était définitivement pas prête à vivre tous les jours un cauchemar éveillé. Alors qu'elle ruminait en laissant ses pas la guider, elle s'arrêta soudainement.

En parler à ses meilleurs amis. C'était ce qui lui avait parut comme évident. Pourtant son instinct venait de se réveiller. Mauvaise idée lui souffla t'il. Ils réagiraient au quart de tour, ne lui seraient d'aucune aide et arriveraient peut-être même à aggraver la situation si c'était possible. Alors qu'elle intégrait cette nouvelle donnée, elle souffla bruyamment et s'appuya complètement sur le mur dans le couloir. Elle savait prendre la bonne décision mais elle sentait son cœur se serrer. Elle avait souvent trouver stupide cette expression. Scientifiquement, un cœur ne peut se serrer , à moins que la personne fasse une attaque, ce qui n'était clairement pas son cas. Et pourtant, elle sentait réellement une pression à l'emplacement de son cœur, tout comme son estomac se faisait lourd et sa respiration difficile. Elle allait devoir garder ça pour elle seule.

La force de l'esprit sur le corps. Elle allait mal , son corps aussi. Logique implacable. La réciproque était parfois vrai. Elle respira profondément s'obligeant à faire le vide dans sa tête, récitant de vieux vers pour occuper son esprit sur une seule tâche. Bien, elle avait récupéré la maîtrise de son corps. Expérience fascinante pensa t'elle futilement avant de se laisser lourdement tomber sur le sol. Elle grimaça légèrement quand ses jambes nues rencontrèrent la pierre froide. Foutu uniforme va. Elle haussa finalement les épaules et ferma les yeux.

Bon si elle ne pouvait le dire à ses meilleurs amis, peut être qu'à sa meilleure amie… ? Non, définitivement non, son caractère était mille fois pire que celui des deux garçons réunis. Ou pire elle lui conseillerait d'accepter ! Elle ne put s'empêcher d'exploser de rire à cette idée. Elle n'était pas plus avancée mais au moins avait elle retrouvée le sourire. Toujours bon à prendre après tout. Elle se reconcentra. En parler à d'autres professeurs ? Il avait pourtant été très clair et prévu son coup, et elle était désormais trop impliquée d'une certaine manière. Le directeur ne lui serait pas d'une plus grande aide. Non, elle était la seule a être au courant , et cela devait rester ainsi. Elle soupira. Encore. Et une dernière fois.

- "Cœur qui soupire n'a pas ce qu'il désire ».

Elle releva si vite la tête qu'elle se cogna contre le mur et laissa échapper un petit cri. Mais qu'est ce qu'il faisait là ? Et depuis combien de temps ? Et par Merlin, pourquoi avait-elle crié comme une fillette ? Et surtout, pourquoi c'était lui ?!

"Qu'est ce que tu as dit ?" fut la seule réponse qu'elle trouva.

Super pensa t'elle, je suis tellement surprise que je n'ai aucune répartie. Pitoyable.

"C'est une vieille expression" répondit il en haussant les épaules. "Tu comptes rester là longtemps ?"

Elle l'observa tranquillement, elle avait encore le crâne douloureux et chercha à interpréter ses paroles. Rester là , bah oui…

"Je ne savais pas que ce couloir t'appartenait , et oui, je compte rester là autant de temps que l'envie m'y prend !"

"Ok … tu pourrais au moins te lever, tu empêches les gens de passer"

"Et une blague de plus sur mon poids ! Je ne suis pas d'humeur, je n'ai ni le courage, ni l'envie de me chamailler avec toi donc si tu pouvais passer ton chemin"

"A vrai dire, ce serait avec plaisir,si tu acceptais de libérer mon chemin …"

Il la fixa dans les yeux, attendant apparemment une réaction de sa part. La jeune fille se rendit alors compte sur quelle tapisserie elle était adossée. La Salle-sur-Demande se trouvait dans son dos. Mais quelle crétine profonde ! Pourquoi n'avait-elle pas de suite réalisée ? Et elle qui restait encore là, assisse comme une bécasse. Elle se leva enfin, ne disant mot.

"Merci" souffla t'il, lui-même surpris de ce qu'il venait de dire

"Euh bah, de rien" bafouilla t'elle

Mais qu'est ce qu'il m'arrive ? pensa t'elle. Certes elle était perturbé vu ce qui venait de se passer dans les cachots, mais de la à perdre ses moyens devant ce crétin condescendant ! Ils restèrent face à face à se fixer tous deux, sans rien trouver à ajouter à cet échange des plus banale. Oui mais voilà, c'était peut-être la première fois en 6 ans qu'ils avaient ce genre de conversation, c'est-à-dire sans animosité. Evidemment, ils ne savaient pas comment y remédier … La jeune fille se rendit alors compte qu'elle n'avait pas envie de se lancer dans un échange hargneux. Elle le détailla. Ses chaussures vernies noires brillaient, impeccable. Son pantalon tombait parfaitement et mettait ses jambes fines et pourtant musclées par le Quidditch en valeur. Et son blaser n'arrivait pas à dissimuler son torse délicieusement dessiné. Elle se gifla intérieurement et elle l'aurait surement fait physiquement si elle avait été , elle ne put empêcher son esprit de jeune fille s'interroger sur l'effet que lui produirait son corps contre le sien.. Foutu hormones ! Mais elle devait le reconnaître, il était séduisant et en avait conscience, il en jouait. Encore heureux , il n'avait encore jamais osé user de son charme sur elle. Elle savait très bien pourquoi, ils se détestaient depuis la première année ! Elle se plongea dans ses yeux, d'un gris métallique et pourtant laissant transparaître une certaine douceur et malice. Que pouvait-on refuser à un regard pareil ? Elle ne s'attarda pas sur ses cheveux, qu'elle trouvait trop parfait, trop rigide mais qui lui donnait pourtant un air d'homme mûr.

Oui, elle devait se l'avouer. Elle, Hermione Jean Granger venait de baver sur Drago Malefoy.

"Bon, tu ne rentres pas ?" finit-elle par demander

"Si ! Mais .."

"… ?"

" Rien, je pensais pas que tu serais si déprimé après avoir parlé à Rogue, une Mlle je sais tout comme toi ne devrait-elle pas sauter de joie à l'idée de devoirs supplémentaires ou de cours en plus ?"

"Ça n'a absolument rien à voir avec des devoirs supplémentaires"

"Ah bon ?!" fit Drago vraiment étonné. "Mais quoi alors ?" l'interrogea t'il

"En fait .." Hermione s'arrêta quelques instants. "Ça ne te regarde absolument pas"

"Ok."

"Ok"

"Ok !"

"Bon, eh bien tu devrais aller t'occuper de tes affaires dans cette salle, et moi aux miennes dans ce couloir."

"Tu sais, je me demande vraiment ce que Rogues t'as dit"

"Je ne savais pas que ma vie privée t'intéressait à ce point Malefoy"

" Ah donc c'est en rapport avec ta vie privée et pas le scolaire ?"

"Ce n'est pas ce que j'ai dit"

"Non, c'est vrai , mais tu m'as l'air plutôt perturbé, enfin je veux dire, plus que d'habitude. Et que Potty et la belette ne sont pas a tes côtés et que tu sembles déterminé à garder pou toi ta petite conversation avec notre cher maître des potions."

"Brillante analyse, tu as devant toi un grand avenir de psychomage."

"L'humour en défense, qu'est ce que je disais"

"Rentre dans cette salle et laisse moi maintenant !" cria presque Hermione

"Doucement, sang de bourbe, pas la peine de friser encore plus ta tignasse."

Un silence s'installa à nouveau. Hermione se mit à marcher très vite, faisant des allers-retours l'air concentré. Ce ne fut que quand elle saisit une poignée dans le mur que Drago comprit ce qu'elle faisait. Elle claqua la porte et celle-ci disparut sous les yeux du jeune homme. Il frappa le mur et siffla rageusement.

"Laisse moi rentrer Granger !"

"Mais essayes donc de rentrer très cher !"

Hermione put observer Malfoy faisant tout son possible pour rentrer dans la salle. Elle était confortablement installé dans un pouf immense et la salle, sentant son envie de se divertir, avait rendu pour elle transparent le mur donnant sur le couloir où Malefoy s'escrimait en vain.

Elle soupira quand elle le baisser enfin les bras. Une victoire au moins dans cette journée, elle n'allait pas la refuser. Elle s'autorisa un sourire et décida de se détendre. Elle s'enfonça plus profondément dans le pouf qui épousait son corps. Malgré elle, son esprit revint à son problème. Bon, il était temps de mettre au point un plan d'action, un vrai, un de ceux qui portait sa signature et que son esprit en ébullition finirait par concocter. Elle ferma les yeux, et commença à réfléchir sérieusement.

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Et voilà ! Alors, pas trop déçu ou énervé par mon style ? Dites moi tout, c'est juste en bas de votre écran, et pas besoin davoir un compte pour ça ^^

A lundi prochain , ciao ;)