Bonjour! Je viens pour une petite traduction espagnole de DerekStilinski qui m'a gentiment permis de la traduire.
C'est un one shot de base, qu'elle avait découpée en 10 parties, mais il était quand même un peu long, donc j'ai fais 10 chapitres avec ses parties. Les chapitres sont du coup relativement court, alors je vais essayer de publier une fois par jour, voir tous les deux jours (si je peux). J'ai une avance dans les chapitres, il ne me reste que trois parties à traduire, donc ça devrait le faire au niveau du rythme de publication. ^^
J'espère que la fic vous plaira! xoxo
humour/romance
warnings: sentiments amoureux vers un animal (?) XD Rien de grave, je le jure! Stiles est peut être à un moment un peu OOC, mais c'est justifié.
T+
"la liberté des loups,
est la mort des moutons"
Isaiah Berlin
Chapitre 1
Une nouvelle journée de chaleur en Californie. Il se sentait fondre. C'était horrible. La sueur coulait le long de ses omoplates alors qu'il patientait assit sur ce banc son meilleur ami, Scott McCall. Qui, comme toujours, était en retard. Et lui, comme le bon ami qu'il était, il l'attendait depuis déjà deux heures sous l'intense chaleur que dégageait le soleil, sans autre défense contre celui-ci qu'une misérable part d'ombre d'un arbre mort derrière lui. Il claqua sa langue, séchant la sueur de son front avec la manche de sa chemise.
Il allait l'attendre seulement un petit plus. C'est tout.
Si Scott voulait qu'il l'aide avec son devoir de chimie, il valait mieux pour lui qu'il arrive dans les dix prochaines minutes, et avec une grande bouteille d'eau gelée. Préférablement avec de la glace dans les mains, seulement pour lui… Même si quelques pommes de terre sautées ne le dérangeraient pas non plus.
Son estomac gronda.
Putain. Il avait faim. Il n'avait pris aucun petit déjeuner. Scott lui avait dit qu'ils iraient prendre leur petit dej' en premier, et il était déjà dix heures du matin.
Il claqua sa langue à nouveau quand une rafale de vent lui fouetta le visage et il aurait été en train de sauter de joie si le vent n'était pas aussi brûlant qu'il avait l'impression d'être devant un four. Chaud, très chaud.
Oui, il était sûr de deux choses.
Numéro un, il allait mourir calciné comme une dinde en période de fête, et numéro deux, quand cela arrivera son meilleur ami serait le prochain personnage principal de Paranormal activity… Il n'allait pas le laisser en paix de toute sa vie. Son fantôme se vengerait durant toute son existence. Oui oui.
Ok. La chaleur était en train de le rendre encore plus dément qu'il l'était d'ordinaire – s'il l'était.
Un nouveau message fut annoncé sur son téléphone. L'écran disait qu'il venait de Scott. Bien, il valait mieux pour lui qu'il ait une excuse, très bonne – il convenait de noter – pour que quand il le verrait il n'aille pas chercher la batte de baseball dans sa voiture pour l'utiliser lui comme balle. Il ouvrit le message.
Hi bro ! J'espère que tu es encore chez toi.
Allison et Malia m'ont aidé avec le devoir hier… J'avais complètement oublié de te le dire ! Je suis désolé Stiles. On se voit plus tard, j'ai des choses à faire.
Chao
-Scotty
Il lâcha un gémissement indigné. Scott était un véritable fils de pute, avec tout le respect que méritait sa mère bien sûr. Son visage rouge de colère bouilli, hormis la chaleur suffocante et les rayons ultraviolets qui irradiaient sa peau blanche.
_ …Je te hais McCall.
Dans le fond il savait que c'était faux, mais il se sentait bien en le disant.
_ Alors que je me réveille tôt un samedi matin…
Il se leva du banc en s'étirant.
_ Bon, au moins je peux aller manger quelque chose…
Mais un faible couinement plaintif venant du bois à côté du parc le sortit de ses rêves empli de nourriture. Ses yeux se dirigèrent en direction du bruit, et ce qu'il vit le laissa presque muet.
Un grand loup noir avec des yeux d'un bleu incroyable le regardait avec des yeux douloureux alors qu'il se laissait soutenir presque sans force contre le tronc épais d'un vieil arbre. L'animal respirait avec difficulté, sa poitrine montait et descendait avec rapidité, qui lui fit comprendre que ses poumons et son cœur semblaient à bout de force, et très accélérés. On pouvait distinguer son pelage duveteux humide, collé au corps de l'animal. Il fut atterré en comprenant que le liquide qui coulait des pattes blessées du loup – en plus du pelage – n'était pas de l'eau mais plutôt du sang. Sang rouge et chaud.
_ Auhrr… gémit douloureusement à nouveau le pauvre animal, et Stiles finit par réagir.
voilà voilà, j'espère que la première partie vous aura au moins intrigué. ;)
à demain !
xoxo
(prenez la voix des voix off dans les pubs : tout commentaire sera bien entendu traduit à l'auteure, contactez moi au ...) XD
