CHAPITRE 1 : Suis-je un péché ?

Voici mon histoire,
L'histoire d'une personne détestée par tout le monde.

L'histoire de deux enfants
n'étant pas un danger mais étant considérée comme.

Héritant de la réputation de leur mère,

Elles sont :

Traquées, blessées, haïes et insultées !

Depuis leurs deux ans, chaque jour, la même chose se répète.

C'est pour cela, qu'elles dissimulent leur nom, du moins leur nom maternel.

Notre maternité venait s'apprendre, la peine de mort les attendrait à coup sûre.

Heureusement,
quelqu'un leurs a tendu sa main, leurs offrant une possibilité de voir ce monde les détestant sous un nouveau jour, un nouvel angle :

'' Ne laisse jamais les ombres d'hier obscurcir la lumière de demain ''

Attention !

Je ne vais pas vous raconter une histoire tous beau, tout rose avec des licornes, des arc-en-ciel et des papillons partout, non !

Je suis ni un protagoniste extraordinaire changement le monde, ni héroïne de conte de fées combattants des dragons, ni une princesse.

Je suis moi,

Trois ans après la mort du seigneur des pirates, Gol D. Roger.

Un heureux événement arrivait sur île de Towika.
Tous le village étaient attroupés autour d'une bâtisse blanche avec en son centre une croix et un ''H'' rouge.

Dans la chambre 612 de ce bâtiment, les sages-femmes courraient dans tous les sens d'allant chercher du matériel.

Un grand homme brun aux yeux rouge faisant les cents pas au milieu de celles-ci tout affolé !
Un docteur en blouse blanche essayait tant bien que mal de le calmé mais rien n'y faisait.

L'homme ne se détendît pas.

Son stresse était du manque d'information sur sa petite sœur qui se trouvait dans la salle d'à côté.

La femme à la chevelure écarlate et aux prunelles rubis dans la chambre désigner par l'homme était en plein travail.

Cet accouchement des plus difficiles !
Car accouché de deux enfants en même temps n'est une chose facile à faire.

L'accouchement arrivait bientôt à terme et il ne restait plus que quelques minutes avant leurs
arrivés :

-Madame, encore un petit effort ! Fit une des trois infirmières
-Ça y est ! Elles sont enfin là ! T'es deux belles jumelles ! Dit le docteur en prenant les deux enfants et les tendant à leur mère biologique.

Des gouttes de sueur perlées le front de la brune. À la vue de ses deux bébés, elle fit un sourire tendre et versa une petite larme.

Elle fut assez vite ramenée dans sa chambre où son mari l'attendait impatient.
En entrant dans la chambre, l'homme dont le regard était rivé sur l'horizon se tourna au bruit de la porte :

-Hé, Silver, dit faiblement la femme

Le blond ne répondit pas à celle-ci et partis se jeter dans les bras de sa petite sœur la serrant dans ses bras :

-Attention, tu vas abîmer tes nièces !
-...Mes ... Nièces...

Ne réalisant pas tous de suite la phrase prononcée par la brune, il resta de marbre et changea du tout au tout quelques secondes plus tard.

Le visage de homme fut maintenant rempli de larme aussi grosses les unes que les autres.

La jeune femme rigole doucement à cette vue émouvante :

-Il faut à tous pris leurs trouvées des prénoms, Grâce !
-Mmmh... Tu as une idée ?
- Non et toi ?
-Oui, Elérinna et Eäris, tu en dis quoi ?

Il posa son front contre celui de sa sœur :

-Je les trouve magnifique !

Après ce moment, émotion, le dénommé Silver courut jusqu'à la fenêtre, l'ouvrit en grand, passa sa tête et son torse dehors et cria :

-Ça y est, on les a enfin !
Ce sont des jumelles, Eäris et Elérinna !

À l'entente de cette syntaxe, ce fut comme un boom chez les habitants en bas !
Tous sautèrent et crièrent de joie lançant tous ce qui leurs passés sous la main.
Seul quelques phrases parvinrent à passées à travers ce brouhaha :

-Félicitation, Silver ! J'espère qu'elles seront aussi belles que leur mère ! Cria le premier
- T'es bête ! Répliqua le deuxième donnant un coup de coude au premier qui lui rigolait bêtement

Mais un an après la joyeuse nouvelle, le malheur commença à s'abattre sur les deux jeunes enfants.

À ce moment, Silver et les autres habitant de la joyeuse ville de Towika avaient tous changeais
Eux ayant leurs visages pleins de gaîtés, toujours le sourire aux lèvres avant étaient maintenant remplis de haine par les personnes de notre enfance ...

La raison ? Elle nous est inconnues car personnes n'as jamais voulue nous la dire... enfin nous l'avouait !

Ils préféraient nous méprisaient de toutes leurs hauteurs.

Quand nous sortions faire les courses pour notre mère des phrases blessantes se faisaient entendre de toutes parts !

" Leurs naissances sont elles-mêmes des erreurs ..."

" Personne ne les aimeras ..."

" Leurs propre suivies est une punition ..."

" Elles sont le péché luxuria ..."

Cela ne se sera jamais produit, s'ils ne l'avaient pas appris. Tous ces regards de peur mélangés à une grande colère...

Qu'avions-nous faits pour qu'on nous déteste ainsi

Seulement, le destin, ne voulant leurs bonheurs, une maladie incurable toucha leur mère, deux ans après la naissance des deux petites.

La maladie remplie les poumons de sang ce qui provoque un étouffement chez la victime mais il y a aussi d'autres symptômes, celle-ci étant inconnue aux yeux des scientifiques.
Elle l'emporta six mois après son diagnostic.

Ne connaissant pas l'identité et leur père et étant considérées comme de la mauvaises herbes dans leur village natale.
Les deux petites filles étaient maintenant livraient au monde cruel qu'est la vie.

Manger ou être manger !

Pour elles, le bonheur ne leurs étaient pas permis du moins c'est ce qu'elles pensaient jusqu'à ce qu'elles le rencontre !

Lui !
Oui, celui qui leurs offrir une opportunité de le vivre, le bonheur dont tout le monde parlaient en ville.

Tout ça, fût grâce à cette homme qui leurs donna un peu de son temps et d'amour à elles qui n'en avez jamais eu...
Qu'elles ne se souvenaient pas.

Leurs vies changèrent avec cette rencontre sur cette île hivernale.

Ziyàdin se prénommait elle !

Je vais vous en parlez :

Les jumelles venaient d'accostées sur cette île en se cachant dans les cales du navire où se trouve les provisions.
Elles en profitèrent pour en prendre quelques peu.

Cachées dans une caverne en haut d'une montagne à l'abri des regards indiscrets, cela faisait maintenant deux semaines que le bateau les avait amenées ici.
Sans nourritures, ni vêtements pour ce mettre sur le dos juste de vieux habile, la plus vieille des deux enfants, Elérinna, était tombé malade et sa maladie s'aggravait chaque jour un peu plus à cause de ce vent glacial.

Sa petite sœur, ne savant quoi faire pour sa sœur et se sentant coupable de sa maladie, elle partit en ville cherchée un remède.

Non loin dans une petite ruelle à côté d'un l'étalage où différentes types de plantes médicinales étaient exposées, se planquée la petite fille :

-*se parlant à elle-même* Courage Eäris, c'est pour Ele' que tu fais ça !
Essaya-t-elle pour se motiver

Convaincue à y aller, elle sortit de la ruelle en un sprint se dirigeant vers un petit sac kaki marron qu'elle avait repéré.

-Oh, voleur, arrêtez moi ce gosse ! Cria la marchande hystérique

Ne s'arrêtant pas pour autant, elle continua sa course en direction des montagnes mais un inconvénient barra la rue pour y parvenir.
L'inconvénient, était très grand, carré avec un coup assez musculeux.
Il portait une casquette blanche avec un capuchon gris par-dessus ce qui lui couvrait le visage.

Il bloquait complètement la rue avec ses feux gros bras de chaque côté.

Il se pencha pour l'attraper mais celle-ci sauta s'aidant de son épaule comme appuie :

-Désolée..., dit-elle d'une voix basse à son interlocuteur

Et elle continua sa course dans autres interruption.

À la grotte :

-Ele', regarde ce que j'ai pour toi ! Elle tendit le sac à sa sœur allongée sur le sol
-Mais, pourquoi tu as fait ça ! C'est trop dangereux ! Râla la malade faiblement
-*elle lui tire la langue* Trop tard !

Un sourire tendre apparut sur le visage de l'aînée et elle se résigna face à la tête de mule qui lui sert de sœur.
Eäris posa le sac à côté de sa sœur et s'assit à côté d'elle :

-Alors, c'est là que vous vous cachiez !
Les sœurs sataniques !
-L-, vou-, com-, bafouilla Eäris

Le grand homme qui lui avait bloqué le passage précédemment, se tenait debout devant les deux petites.

Il les regardait avec un regard des plus froid et ferme qui en aurait fait fuir plus d'un !

-Ne touche pas à ma grande sœur !

La cadette venait de se levée et de se posté devant l'homme protégeant sa sœur de lui !

-C'est que tu as du cran, minus !

Elle lança un regard noir dans sa direction pour lui faire comprendre qu'elle ne faiblit pas face à lui !

Le grand brun aux traits ferme, se détendît mais toujours sans sourire !

Il partit à côté de la jeune malade, la regarda et se pencha vers elle :

-Ne l- !
-Ouvre ta bouche ! Dit-il fermement

Elle s'arrêta nette, voyant que l'homme administrait les médicaments à sa sœur.

Une fois tous les médicaments prient, il se leva et prit la parole :

-Depuis combien de temps êtes-vous là ?
-Deux semaines ...
-Et vous n'avez rien mangé depuis ?

Eäris lui fit un ''non'' de la tête :

-Juste depuis deux jours...

-Mmh... J'aimerais vous proposez un quelques choses mais attention je vous ne le proposerez qu'une fois !
-C'est quoi ? Demanda Elerinna
-De venir avec moi !
-Hein !? Pourquoi accepterions-nous votre offre alors que nous ne vous connaissons pas ! S'écria Elérinna
-Est-ce que je vous ai fait du mal ?
- On accepte ! Rétorqua Eäris

-Quoi !?
-Si on vient avec vous, vous la soignerez ? Demanda Eäris évitant sa sœur
-Bien sûr !

Elle trouva son regard vers sa grande sœur :

-T'as pas le choix !

Elle expira devant une personne aussi butée qu'elle mais quand elle avait décidé de quelques choses, elle le faisait à coup sûr !

Toutes deux d'accord, elles le firent savoir à l'homme qui s'empressa de prendre Elérinna dans ses bras la couvrant à l'aide de sa cape et prit de l'autre bras Eäris!

Voilà la fameuse rencontre qui changea tout dans la conception de la vie qu'elles avaient connue auparavant.

C'étaient comme si dans la plus profonde des crevasses un faisceau de lumière traversait celle-ci de tout part éclairant les parois laissant ainsi apparaître le plus beau des joyaux.

C'est alors que pour la première et dernière fois, cet homme aux traits si fermé fut attendri par des hors la loi.

Peu de temps après avoir étaient recueillies, elles apprirent que leurs ancien villages Towika, où elles avaient passé leurs plus jeunes enfances c'était fait attaqué par des pirates sans foi, ni loi.

L'article du Times, que le Martin Facteur (oiseaux nous livrant les journaux) nous avait délivrée ce matin expliqué comme celle-là c'était passé.

{Un jour de tempête, des fumées grises et noires s'envolaient dans le ciel de la même couleur !

Cela ne me disait rien qui vailles mais étant un journaliste je me devais de vous informer comment l'attaque de Towika, une petite ville sans problème et paisible s'est fait incendiait !

C'était un jour comme les autres, rien n'était inhabituel jusqu'au moment où des coups de feu se sont fait entendre. Malgré qu'ils aient l'air lointain, le bombardement, lui, ne l'était pas !

Après tous ce passa très vite, les pirates arrivèrent vers nous, armes brandis vers le ciel, criant leurs "rage" !

Certains avaient des torches allumées, et ils n'hésitaient pas à s'en servir que celle-là soit sur des objets inanimés ou sur des personnes vivantes !

Ce fut un vrai carnage !

Heureusement, pour moi je réussi à me cacher dans une grosse case en bois sur le côté d'une maison !

Je voyais tous, tous ses gens tuaient par derrière, tous ses cris de désespoirs hurlant de l'aide, priant pour sortir vivant de cette boucherie !

Le massacre s'arrêta après le départ des pirates !

Ce drame restera gravait dans ma mémoire

PRISCE ODILON, le 15ème du mois.}

Quand nous avons appris la nouvelle, celle-ci nous a fait ni chaud, ni froid ... Comment dire, depuis que nous étions avec notre nouvelle famille, celle de Towika n'était que du passé, un mauvais passé oublié.

Nous avions tournait la page depuis bien longtemps.

Voilà, le début notre nouvelle vie, à moi et à ma sœur depuis notre naissance.

Entre amour, joie, malheur, tristesse, colère et manque.

Les deux premières années de notre vie en ce monde fut des plus éprouvantes.

Mais tout ça, est maintenant révolu !
Certes, la plupart de ses membres sont masculins et très sont peu féminins, mais, ils ont su nous redonner notre joie et notre sourire auparavant perdus !