Chapitre 1

C'est a la suite du décès de Dumbledore que je fis mon apparition a Poudlard, Père m'y envoya, pour je ne sais quelles raisons. Grâce a l'enseignement qu'il m'avait donné je n'avais aucune lacune et l'on m'accepta en septième année. Cette inscription ne fut pas sans ennui certain, l'on m'attribua un nom d'emprunt. Lors de cette année donc, non seulement je perdais ma place auprès de Père mais de plus je perdais toute dignité, abandonnant ma véritable identité. Je prenais cette décision de Père comme un exil dont je ne cernais aucunement la raison. Pour moi il était indubitable que ma présence était requise non pas dans cette école de magie de seconde classe, si ce n'était que quatrième zone, mais bel et bien au coté de Père qui allait cette année là mener une des plus grandes bataille de ce siècle si ce n'était du millénaire. Cela dit mon arrivée a Poudlard n'avait pas que des inconvénients, j'allais observer de mes propres yeux l'ampleur des pouvoirs de Monsieur Potter et rien ne m'interdisait quoique cela soit, en ce qui le concernait, mis a part bien sûr, me lier d'amitié véritable envers lui Pour ma part, je ne savais pas encre exactement quelle attitude j'adopterais. Me lier d'une fausse amitié auprès de lui m'assurait la sécurité de ma position, de plus j'aurais tout loisirs de l'espionner lui e ses sujets, comment s'appelaient-ils déjà ? Une voix grave siffla :

-Granger et Weasley

-Oui exact

Hermione la vierge intellect et Ron le Rouge, ces êtres d'ailleurs attirait a leur manière mon attention. Que Potter survive cela pouvait se concevoir, Potter était né pour survivre, mais que ces deux sorciers survivent eux aussi cela me paraissait inconcevable, ou tout du moins inacceptable. En toute honnêteté je dois avouer, qu'il n'y avait pas que ces derniers qui attirait mon attention, le retour de Monsieur Malefoy attirait ma curiosité, bien qu'innocenté sur toutes les pages de la gazette des sorciers, son retour allait de toute évidence en outrer plus d'un. Le triste de mon histoire était sûrement le fait que même si je les connaissais tous pour les avoir observé, où leur avoir parler (dans le cas de Draco), aucun de ces derniers ne m'avait jamais vu, de nouveau le sentiment d'humiliation remplit mon âme. Londres dans son brouillard, sous sa pluie, ses ruelles crasseuses : Tout me répugnait, de même que la chambre d'hôtel que Père m'avait attribuée. Les billets de train posés sur la table de chevet, mes affaires scellées prêtent a quitter les lieux. La gare a quelque minute de là. J'observais de par le balcon minuscule, cette fichue ville. L'épais brouillard m'empêcha bientôt de voir jusqu'à ma porte vitrée. Je serrais les dents et m'interdisait toute utilisations de magie. Glacée, je rentais donc dans cette chambre où il me semblait étouffée. C'est donc de piètre humeur que je m'installai dans le fauteuil proche de la table basse, je sortie ma coc de ma poche et en fit plusieurs rails que je m'empressai de faire disparaître puis avant que mon esprit ne m'abandonna entièrement je m'avalai deux verres de bon whisky, cet alcool moldu me plaisait plus que tout autre, n'en déplaise a Père. Je m'assoupis après été prise de fièvre et de tremblements….