Le Journal de Tôshirô Hitsugaya [Alias le nain gelé]
Hello hello !
Que vous me connaissiez ou pas, je vous souhaite la bienvenue ici !
C'est ma 2ème fanfiction, sous la forme d'un journal, celui de Tôshirô ^^
Déjà, je tiens à précisé une chose : La mise en page et bizarre, surtout au niveau de "sautage de ligne" et tout... Parce que quand j'ai transféré mon doc' ici, ben, tout est parti :c
Bref, merci de commenter et tout et tout... Place maintenant à l'histoire !
(Je pense que ça serait plus agréable à lire si vous mettiez le format en 3/4, il suffit de cliquer sur les 3 petites lignes horizontales et de cliquer sur "3/4")
EDIT (15/08/2015) : J'ai réécris quelques chapitres, parce que, quand même, j'ai failli pleurer en voyant le nombre de fautes que j'avais fait... *pleure*
EDIT (11/02/22017) : Bon dieu c'est vieux ce truc. J'en ai presque honte maintenant x)
*Chapitre 1, Comme un gros nul*
•Mardi 20 Décembre•
Je m'appelle Tôshirô Hitsugaya, et je suis le capitaine de la 10ème division. La vice-capitaine de ma division est Rangiku Matsumoto, une grosse flemmarde qui ne fait pas grand chose si ce n'est boire du saké ou encore se cacher pour éviter de remplir les rapports, que je dois donc remplir à sa place pour ne pas me faire engueuler de plus haut. J'avoue que ça m'embête surtout pour deux choses :
-Déjà, faire deux fois plus de travail, bof, je suis pas maso' donc c'est pas tellement mon truc.
-Je ne peux pas dormir pendant ce temps. Ma grand mère m'a toujours dit "L'enfant qui dort grandit bien." Étant (malheureusement) assez petit, j'essaie d'appliquer ce conseil.
Si je finis nain à vie, je sais qui étriper donc. Vous êtes prévenus.
Mais ma vice-capitaine fait de bonnes actions parfois : aujourd'hui, c'est mon anniversaire.
Elle m'a offert ce journal. En me tenant ce discours :
« Tenez. Mon capitaine ! Vous ne vous y attendiez pas hein ? »
Ah oui, elle m'a "subtilement" donné un mot, le jour de mon anniversaire, me disant de me rendre à une "réunion importante". Trèèèèès subtil, en effet. C'est l'intention qui compte.
« Tenez mon capitaine ! »
Elle me tendait ce journal, comme je le disais donc, un assez sobre, bleu marine, avec une reliure vert sapin, très à mon goût.
« Les enfants ont besoin de s'exprimer, j'ai pensé que ça vous conviendrait parfaitement ! »
Me dit-elle avec un souriiiire... C'est gentil, mais j'avais envie de lui balancer ses rapports en retard tient, pour qu'elle "s'exprime" elle aussi ! Mais, étant mon anniversaire, je me suis abstenu. Hinamori était là aussi, toute contente, elle m'a offert une tirelire en forme de pastèque, en souvenir de toutes-celles que nous avions mangées ensemble et de jolis stylos, arborant le même fruit sur le capuchon.
J'écris donc dans un journal pour m'exprimer, et j'écris avec un stylo-pastèque. Donnez moi une bonne raison pour que je continue à écrire dans ce journal.
•Jeudi 22 décembre•
J'me fais chier...
J'ai fini mes rapports, et il est trop tard pour que je dorme maintenant, il est 18h30, ça servirait à rien ! Matsumoto a même fait des rapports.
J'avoue, je l'ai forcée. Les miracles avec elles sont d'une rareté affligeante. Que dire de plus ? Ah, Ben pas grand chose, je peux toujours dire des trucs que j'adore... J'aime les haricots rouges sucrés, ceux de ma grand mère du rukongai. J'aime aussi dormir, parce que ça ferait grandir, et qu'en plus, c'est cool de dormir.
•Vendredi 23 décembre•
14h25
Matsumoto entre en trombe dans mon bureau, pas pour me rendre des rapports, rassurez vous. Elle est (trop) souriante, et semble avoir une idée que je ne vais pas apprécier.
« Bonjour mon capitaiiiine !
– T'as fait des rapports ?
– J'ai pris des congés pour nous pour que nous puissions passer Noël dans le monde des humains ! »
Répond-t-elle avec un grand souriiiire...
« Venez ! On part tout de suite ! Le capitaine-commandant est prévenu ! »
Naaaan... Mais j'y crois pas, comment elle se permet ça !? J'ai galéré à être capitaine, mais si elle commence à me mettre des congés comme ça, je vais pas tenir longtemps à ce rythme !
Je. Ne. Pars. Pas !
15 heures
« Bonjour Nanao-chaaaan ! »
J'avais pas le choix.
Je vous emmerde, au cas où.
Nanao nous laisse entrer, et coche nos deux prénoms sur sa feuille de présence.
« C'est l'appartement loué pour vous deux, je me suis dit que le capitaine avait emmené quelques rapports en retard, et la présence de son vice-capitaine sera nécessaire pour remplir le reste non ?
– Mais Nanao-chaaan !
– Merci, je réponds seulement. »
Tellement efficace. Ô, que j'aime ce sadisme.
19h30
Mangeons.
Je me force, je crois que je vais partir m'acheter un sandwich.
Vite. Très vite.
Disons que la cuisine de Rangiku est... Spéciale. Je ne vais pas attendre les gaufres ketchup-mayonnaise pour aller à l'hosto'.
Pourquoi a-t-elle absolument voulu cuisiner ? Je suis sûr qu'elle se venge.
19h48
J'ai prétexté une envie pressante, et je suis dehors, en train de manger un sandwich thon-mayonnaise. Dieu que c'est bon. C'est joli les étoiles, y'en a plein au dessus de ma tête, et malgré la saison, il n'y a pas de nuages, mais on se la pèle quand même. J'ai jamais froid pour ma part, alors, tout va bien.
19h50
"AAAAAHHHH !"
Je baisse la tête, c'est un hollow et un humain. Une humaine, si j'en juge sa tenue et ses cris. Je reste d'abord statique, jusqu'à ce que le monstre donne un violent coup de patte (était-ce une patte ?), à la gamine. Là, je me "réveille" et me transforme en shinigami, avant que j'arrive, même à l'aide du shunpo, le corps de la gamine est bouffé par la créature. Je donne un violent coup d'épée au Hollow, et il disparaît.
Fait chier quoi ! Si j'avais été plus rapide, la gamine serait encore en vie ! C'est de MA faute ! Je suis nul ! Je regarde Gamine -ne connaissant pas son nom, je l'appelle comme ça-, elle est évanouie.
19h50 (et quelques minutes plus tard)
Je suis devant l'âme de Gamine, maintenant dépourvue de corps. Qu'est-ce-que je dois faire ? Faire le rituel pour l'amener à la S.S ? Non, elle ne sait même pas qu'elle est morte. Comment réagirait-elle si elle arrivait là-bas comme ça ? Elle pourrait potentiellement mettre le chantier... Ou je sais pas. En même temps, je me sens coupable.
« Un problème ? Oh, j'en connais un qui a un problème monsieur le capitaine... »
Qui c'est lui ?
« Qui êtes-vous ?
– Oh, personne. Mais quelqu'un qui pourrait vous aider.
– En quoi ?
– La gamine, là. »
Je ne suis pas le seul à l'appeler comme ça.
« N'aurait-elle pas besoin d'un gigai ? »
Je n'y avais pas pensé.
20h20
Magasin Urahara. C'est le nom de l'autre abruti.
Je n'ai rien trouvé de mieux, et Gamine est avec moi, toujours dans les vapes.
« Tu ne me diras rien sur ce qui s'est passé j'imagine. »
Urahara me regarde, puis tourne le regard vers Gamine, je la regarde aussi les sourcils froncés (j'imagine).
« Tu connais mon nom, n'est-ce-pas ? Je peux t'aider à lui faire un gigai, mais ne parle pas de moi à la Soul Society. C'est un échange de bon procédé non ? »
Je ne sais pas, à la S.S. y'a des gigai aussi non ? Mais ça m'étonnerais qu'on m'en donne pour une humaine... Même avec mon rang de capitaine, je ne pense pas que ce soit possible. Le truc, c'est que sa proposition est louche.
« Marché conclu, je réponds à contre cœur.
– Bien, mais dès qu'elle se réveillera, je veux que tu lui expliques, il faudra aussi que tu restes avec elle, un gigai est un gigai, il ne la protégera pas contre les hollow.
– Et si il enferme la pression spirituelle ?
– Non, lorsqu'elle s'est faite attaquée, elle n'avait pas vraiment de pression spirituelle, donc je ne sais pas ce qui aurait pu attirer ce hollow. »
Je pars vers la chambre d'amis proposé par Urahara, en y emmenant Gamine.
« C'est assez urgent comme commande, j'aurais fini demain matin, dit-il avec un sourire assez énigmatique »
Je veille sur Gamine, en attendant qu'elle se réveille.
À : Matsumoto Rangiku
De : Tôshirô Hitsugaya
Ai eu des problèmes, je rentre demain matin vers 10h.
-End-
Message envoyé.
À : Tôshirô Hitsugaya
De : Rangiku Matsumoto
Aaaaah ? Des problèmes ? :( J'espère que ce n'est pas grave ! é.è Demain on sera chez l'A.D.F.S pour Noël ! :) *\(^o^)/* Bisouuus mon capitaiiiine ! :* :3
-End-
A.D.F.S ? Ah oui, l'association des femmes shinigami.
Je suis plus en forme moi.
•Samedi 24 décembre•
8h34 (heure de mon portable)
Gamine ouvre, un œil, puis deux. Les referme, les rouvre en voyant qu'elle n'est pas chez elle.
Elle hurle, littéralement, dieu mes oreilles ont mal.
« Q-qui êtes-vous !? Qu'est ce que vous me voulez, qu-
– Je m'appelle Tôshirô Hitsugaya et tu es morte.
– ... H-he... J-je suis morte ?
– Oui, la chaîne que tu as là en est la preuve », lui dis-je en désignant la chaîne près de sa poitrine.
Elle essaie de tirer sur la chaîne, je l'arrête.
« Si tu enlève ta chaîne, tu vas te transformer en monstre. J'dis ça pour toi.
– Mais bien sûr ! Je suis même pas morte ! Laissez moi sortir, ou j'appelle la police ! Et qu'est ce que vous m'avez fait ?! »
Elle. Me. Tape. Sur. Le. Système.
Transformation en shinigami. Je l'emmène dehors avec un shunpo, elle est sur mon épaule. De ma main libre, je regarde mon Soulpager. Tient, tient un hollow à 5 min à pied.
Arrivé devant le hollow, je lâche Gamine sur le sol. Elle le fixe en flippant.
« Alors, tu me crois maintenant ? C'est ÇA un hollow, le monstre que tu pourrais devenir. Alors, si tu veux devenir comme ça, tire la chaîne. Si tu veux continuer de vivre, tu restes derrière moi et tu la boucles. »
Vraisemblablement, elle a choisi l'option 2.
Je sors mon Zanpakutô et tranche la tête du hollow sans difficultés. Je récupère Gamine au sol, elle a froid et peur. La pauvre, en effet, il doit facilement faire -2 degrès, et elle est en manches courtes. Je lui met mon Haori de capitaine sur le dos, et la porte contre moi jusqu'au magasin Urahara en shunpo, pour pas qu'elle aie froid trop longtemps. Elle se blottie contre moi, et c'est limite si elle s'endort pas.
Je ne suis pas gentil.
J'ai pitié.
Pas pareil.
9h30
Magasin Urahara. Urahara arrive sérieusement, toujours avec son aura mystérieuse.
« J'ai terminé ta commande.
–Bien. Merci »
Je vais voir Gamine.
Note : Penser à lui demander son nom.
« Alors... Je suis morte ? me demande-t-elle les yeux larmoyants
–... Oui.
– Pourtant, je ne me souviens de rien. C'est toi qui m'a sauvée ? »
Je l'ai laissée crever plutôt !
« Si on veut... »
Elle baisse la tête, prête à pleurer. Des mèches brunes recouvrent son visage, et cachent ses yeux vert sapin de Noël.
« Comment tu t'appelles ? »
Non dit : Pour que j'arrête de t'appeler Gamine.
« Fuyuko. Fuyuko Makka. »
Son prénom était normal, mais étrangement froid pour quelqu'un qui a l'air aussi chaleureux.
10 heures (pile !)
Suis devant le bâtiment loué par l'ADFS.
Avec Gamine. Euh, Makka. Je l'appelle par son nom, parce que son prénom est trop froid* à mon goût. Je lui ai donné le gigai, et lui expliqué que j'étais un shinigami, ce qu'étaient les shinigami, et les gigai. Un peu tout quoi.
« Bonjour, capitaine Hitsugaya.
– Bonjour, Nanao. »
Elle coche mon nom, et regarde derrière mon épaule.
« Qui est-cette personne ?
– Personne, elle est avec moi. »
Elle à l'air étonnée, mais écrit quelque chose sur son calepin.
« Bien, je dirais d'ajouter une assiette pour mademoiselle alors. »
On entre, et je vois quelque chose qui me glace instantanément.
*Fuyuko : 冬子 enfant de l'hiver d'ou le fait que Tôshirô (pour une raison obscure) trouve que son prénom est trop froid...
J'espère que ça vous plaît !
Je posterais environ une fois par semaine :)
Review, follow itout ! :3
