Alcuni dicono che la pioggia è brutta, ma non sanno che permette di girare la testa alta con il viso coperto dalle lacrime. Certaines personnes disent que la pluie est laide mais ils ne savent pas qu'elle permet de tourner la tête avec le visae couvert de larmes.

Questa non è una favola !

Capitulo 1: Quando il cielo piange !

Beaucoup d'histoires et de contes de fées commencent souvent par un « il était une fois » et finissent par « ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants » cependant celle-ci est bien différente.

Cela faisait à présent plus de trois mois que la guerre contre Aizen était finie et les gentils avaient fini par gagner. Il y'avait eu de nombreuses pertes dans les deux camps, et la plupart de ceux qui avait participé à ce massacre savaient que certaines cicatrices ne pourraient jamais se refermer.

La Soul Society, qui avait subi de nombreux dommages, fut vite remise en état. Ichigo, Orihime, Uryû et Yasutora étaient rentrés à Karakura, accompagnés de Rukia et Renji, dès que tous les dégâts furent réparés. Ils avaient tous été prévenus, par Urahara, que leurs amis, qui avaient assisté à la bataille, avaient eu leur mémoire effacée. Ichigo avait d'abord mal réagit face à cette nouvelle, mais Rukia lui expliqua que c'était nécessaire, surtout pour éviter un traumatisme chez les humains et il avait donc laissé tomber. Bien vite, tout était redevenu normal à Karakura. Les six amis, se rendaient comme avant au lycée comme si rien ne s'était produit. Comme si rien n'avait changé. Et puis les six, c'était vite dit.

Ce jour-là, la pluie avait plongé Karakura dans une atmosphère grise et assez oppressante, cependant, c'était cette atmosphère qui avait le plus manqué à une certaine jeune fille. Sentir les gouttes de pluie, le vent frais sur son visage, sentir l'odeur de l'humidité et voir les nuages gris au-dessus d'elle lui procurait un étrange réconfort. Et puis, ce temps exprimait bien ce que ressentait Orihime à l'intérieur, alors qu'elle mettait encore son masque de fille souriante et joyeuse.

Il commençait à faire nuit et elle rentrait de sa journée, sous un ciel gris. Lorsqu'elle arriva dans une rue déserte, elle ne put pas s'empêcher de resonger aux évènements de ces derniers jours. Elle pouvait remercier le ciel qu'on soit vendredi car elle aurait sans doute été incapable de supporter une autre journée comme celle-ci. Ces dernières semaines étaient de loin de celles qu'elle pouvait qualifier de pires qu'elle avait jamais vécues (en oubliant l'épisode Heuco Mundo). Et tout cela était arrivé à cause d'une stupide erreur. La plus grosse erreur de sa vie.

Orihime: Qu'est ce qui m'a pris? Bon sang... Je n'aurais jamais dû...

Elle ne finit pas sa phrase et baissa un peu la tête en fermant les yeux. Quelques secondes s'écoulèrent lorsqu'elle sentit une goutte tomber sur sa joue, ce qui lui fit rouvrir ses paupières. Elle regarda le ciel et sentit bientôt une seconde goutte, puis une autre et la princesse se retrouva bien vite sous une énorme averse. Heureusement pour elle, son appartement n'était plus très loin, alors elle se mit à courir jusqu'à son domicile. Une fois arrivée à destination, elle entreprit de chercher ses clefs qui se trouvaient au fond de son sac. Après quelques secondes de recherches, elle trouva enfin son trousseau, ouvrit rapidement la porte et entra dans son appartement, trempée jusqu'aux os. Inoue se sécha très vite et encore une fois ses pensées se dirigèrent vers un certain shinigami et ce qui s'était produit, il y a maintenant un peu moins de 2 semaines.

Deux semaines auparavant:

Les six jeunes humains, shinigamis et Quincy essayaient de s'habituer à revivre une existence normale sans que la menace Aizen ne plane au-dessus de leurs têtes. Après la fin des travaux de Soul Society et du monde réel, Rukia et Renji avaient été autorisés à rester avec leurs amis.

Rien ne semblait avoir changé, ils venaient juste d'apprendre que les mémoires de leurs amis avaient été effacées et s'efforçaient donc d'agir normalement. Urahara avait en plus trouvé une excuse pour justifier l'absence des jeunes, cependant personne ne s'était risqué à demander quelle excuse bidon ce vieux vendeur pervers avait encore inventé.

Une seule chose sortait de l'ordinaire: la relation entre Kurosaki Ichigo et Inoue Orihime.

Tout le monde avait remarqué que ces deux-là s'étaient considérablement rapprochés depuis leur retour. En effet, Ichigo insistait toujours pour aller chercher la rousse avant le début des cours, ce qui faisait qu'ils arrivaient ensemble le matin. De plus, le shinigami gardait toujours un œil sur la princesse. Par exemple, lorsque l'heure du déjeuner arrivait et qu'Orihime partait manger avec les filles de sa classe, Ichigo allait sur le toit et choisissait une place d'où il pouvait voir la jeune femme. Et enfin il la raccompagnait tous les soirs après les cours.

L'attitude du jeune homme ne passait franchement pas inaperçu, surtout aux yeux de leurs amis et Ichigo savait que son comportement pouvait paraître excessif. Seulement depuis l'incident avec Ulquiorra, il devait être certain que rien n'arriverait à son amie. Ce qu'il ignorait c'est que celle-ci était tout à fait d'accord avec le fait qu'il lui porte autant d'attention, même si ce n'était pas pour les raisons qu'elle espérait. Et plus le temps passait, plus leur relation devenait forte. Mais un jour, tout s'arrêta soudainement.

On était vendredi, et Ichigo était encore aller chercher la jeune fille à son appartement et ils se rendirent au lycée. Comme d'habitude, ils arrivèrent ensemble dans le lycée sous les yeux de tous leurs camarades. Ils furent à peine rentrés dans la cour, que certains élèves commencèrent à chuchoter à leur passage.

De tous les côtés, on pouvait entendre des phrases du genre: « Kurosaki et Orihime-chan sont encore ensemble ? », « Je me demande ce qu'elle lui trouve ? », « Kurosaki a dû forcer Inoue-san à traîner avec lui » ou encore « Quelle chance il a, j'aimerais bien être à sa place pour profiter d'elle moi aussi... » En entendant cette dernière phrase, Ichigo s'était retourné brutalement. Devant lui se trouvait, un groupe de quatre garçons à qui il lança un regard si menaçant, qu'il le fit reculer de plusieurs mètres. Orihime qui n'avait rien perdu de l'échange s'avança alors doucement vers le roux et posa sa petite main sur le bras du jeune homme. Celui-ci se retourna vers elle et se calma tout de suite en voyant son petit sourire.

Ichigo: Désolé pour ça Inoue.

Orihime: Ce n'est rien. Tu ne devrais pas faire attention à ça… (regardant sa montre) Je crois qu'on devrait y aller avant d'arriver en retard en cours.

Ichigo: Ouais, allons-y !

Inconsciemment, il lui attrapa la main et se mit à courir en direction de leur classe. Orihime, qui était un peu en retrait et courrait derrière lui, avait viré au rouge pivoine en sentant la main d'Ichigo serrer la sienne. Seulement elle ne lâcha pas prise pour autant. Ils arrivèrent en classe, où tous leurs amis étaient déjà présents, seulement les regards qu'ils lançaient aux deux jeunes indiquaient que quelque chose n'allait pas.

C'est là qu'Ichigo se rendit enfin compte qu'il tenait toujours la main d'Inoue. Il la lâcha tellement vite qu'on aurait pu croire qu'il s'était brûlé. Les joues roses, il s'excusa auprès de son amie qui lui fit un sourire et se dirigea ensuite vers son bureau.

Orihime n'avait rien dit mais le fait de ne plus sentir la main du shinigami dans la sienne, lui procurait un sentiment de vulnérabilité et de vide. Sa main était si chaude et réconfortante, qu'elle aurait voulu pouvoir ne jamais la lâcher. Ses pensées furent interrompues par l'entrée du professeur. Celui-ci commença son cours comme d'habitude mais Inoue n'avait pas du tout l'esprit dans ses maths. Elle se contentait de regarder sa main à présent froide.

La journée se passa assez vite. Les six amis avaient déjeuné sur le toit, accompagnés de Tatsuki, Keigo et Mizuiro, puisque pour la première fois de la semaine le soleil était au rendez-vous. Les cours de l'après-midi passèrent aussi vite que ceux de la matinée. Bientôt les élèves pouvaient entendre la sonnerie qui leur indiquait la fin des cours, et peu à peu les classes se vidaient, tandis qu'Orihime qui rêvassait encore n'avait rien entendu et était encore assise à sa place.

De son côté, Ichigo avait fini de ranger ses affaires et allait sortir de la classe quand il vit que la jeune fille n'avait pas bougé. Il se dirigea donc vers la sœur de Sora, qui avait les yeux fermés, et une fois arrivée devant elle, il se baissa à sa hauteur pour être à sa hauteur. Seulement, Inoue, ne s'attendant vraiment pas à trouver le visage du shinigami si près d'elle, ouvrit les yeux et sursauta tellement fort qu'elle termina, avec sa chaise, allongée sur le sol.

Ichigo: (se précipitant à ses côtés) Merde, Inoue ça va? Tu ne t'es pas fait mal?

Orihime:(se frottant l'arrière de la tête) Non, ne t'inquiète pas... Tout va bien. (riant nerveusement) Et de toute façon j'ai la tête dure tu sais.

Ichigo: Désolé, je ne voulais pas te faire peur.

Orihime: Ça va ne t'en fais pas, et puis tu m'as juste surprise c'est tout.

Ichigo: Désolé... Mais tu étais perdue dans tes pensées, et tu n'as pas entendu la sonnerie, alors je voulais juste...

C'est là qu'Orihime se rendit compte qu'en effet, ils étaient seuls dans la classe. Tous les autres élèves étaient déjà partis et elle remercia le ciel qu'aucun d'entre eux n'aient vu sa chute. Entre temps, le shinigami avait offert sa main à Orihime pour l'aider à se relever. La jeune fille hésita quelques secondes, mais lorsqu'il avança un peu sa main, elle s'en saisit, retrouvant ainsi le sentiment de sureté et de protection qu'elle avait eu le matin même. Ichigo tira la jeune fille vers lui un peu trop fort, ce qui fit qu'Orihime dut poser ses mains sur son torse pour ne pas lui rentrer dedans.

Ichigo: Bon on devrait y aller non?

Orihime:(rouge et s'éloignant un peu) Oui, je dois juste ranger mon sac.

Orihime lâcha une nouvelle fois la main de son protecteur et s'empressa de remettre ses livres dans son sac. Une fois qu'elle eut tout ranger, elle se précipita vers Ichigo qui l'attendait à la porte de la salle. Les deux amis se mirent en route vers l'appartement de l'adolescente. Un silence pesant s'était installé entre eux. Ichigo se demandait d'ailleurs pourquoi, d'habitude, Inoue se débrouillait toujours pour trouver des sujets de conversations qui leurs plaisaient à tous les deux, ou alors elle parlait de ses recettes loufoques en disant qu'elle voulait en essayer de nouvelles. Un jour elle avait même parlé de faire des sushis au beurre de cacahuètes, poisson cru, wazabi et pâte de haricots rouges sucrée. Ichigo, rien qu'à l'idée de l'aspect de ces choses, sentit son estomac se retourner. Pourtant cette fois, Inoue était étrangement calme.

Ichigo: Inoue, tu es sûre que tu vas bien?

Orihime:(sortant de sa rêverie) Hum? Tu as dit quelque chose Kurosaki-kun?

Ichigo: Je voulais juste savoir si tu étais sûre que tout va bien?

Orihime:(souriante) Mais oui, tu ne devrais pas autant t'en faire pour moi. J'étais juste perdue dans mes pensées, c'est tout.

Ichigo: Hum... ça t'arrives souvent en ce moment.

Orihime : Tu trouves ?

Ichigo : Ouais.

Orihime: Bon on est arrivés, merci de m'avoir encore raccompagnée Kurosaki-kun. On se voit lundi?

Elle allait ouvrir la porte de son domicile quand elle sentit la main d'Ichigo entourer son poignet cette fois. Décidément cette journée allait de surprises en surprises pour elle.

Ichigo: Attends Inoue... Hum je voulais savoir si... Enfin je me demandais si … Enfin si tu n'as rien de prévu demain, si tu pouvais m'aider pour un truc.

Orihime:(un peu surprise) Heu, oui mais je peux te demander quoi?

Ichigo: Ben en fait avec toute cette histoire avec Ai... (il la sentit frissonner) Enfin tu sais. On a été absents assez longtemps, et j'ai quelques problèmes en maths, alors je me demandais si tu pouvais m'aider ?

Orihime:(encore plus surprise) Moi ?

Ichigo: Ouais, je ne me vois pas trop aller demander l'aide d'Ishida, il en profiterais encore. Mais si tu ne veux pas...

Orihime:(souriante) Non ça ne me dérange pas.

Ichigo:(soulagé) Merci beaucoup Inoue. Ça te va si on commence demain?

Orihime: Heu oui... Mais ou est-ce que tu veux...

Ichigo:(l'interrompant) Je crois que chez toi c'est mieux. Avec mon père, Kon et mes sœurs je ne pourrais même pas me concentrer dix minutes.

Le shinigami-remplaçant grimaça un peu à l'idée que son père et Kon pourraient voir Inoue si elle venait chez lui. Il aurait eu droit aux remarques de son vieux fou de paternel, et aux plaintes de la peluche perverse qui aurait surement essayé de « se faire consoler » par sa Inoue-san.

Orihime: (amusée) C'est vrai que Rukia-chan m'as dit que ta famille est un peu spéciale.

Ichigo: Complètement dingue serrait plus juste... Alors?

Orihime: D'accord, on se voit demain alors. Passe une bonne soirée.

Ichigo: Ouais merci Inoue, toi aussi.

C'est sur ces quelques mots qu'ils se quittèrent. Orihime rentra dans son appartement vide et s'appuya contre la porte d'entrée. Après un moment, elle se laissa glisser le long le celle-ci et se retrouva assise par terre, un sourire aux lèvres. Ichigo, lui, quittait la rue où se trouvait l'appartement de son amie, un peu songeur. Il n'avait pas pu s'empêcher de remarquer qu'Orihime avait laissé tomber les formalités avec certains de ses amis. Non pour être précis... Avec tous ses amis, sauf lui.

Kuchiki-san, était devenue Rukia-chan, tout comme Ishida-kun était maintenant Uryû et Renji et Sado n'avaient plus le petit kun derrière leurs noms. Lui, il était toujours Kurosaki-kun. Il décida de ne pas trop s'attarder sur ce détail, se disant que s'il y pensait trop cela finirait très vite en mal de crâne. Et puis c'était peut-être, qu'Orihime n'était pas assez à l'aise avec lui... La vraie raison (que le shinigami ignorait bien sûr), pour laquelle la jeune fille ne voulait pas appeler Ichigo par son prénom, était qu'elle voulait garder ceci comme une marque d'affection. Alors elle avait décidé de l'appeler par son prénom seulement lorsqu'elle lui avouerait ses sentiments.

Il arriva enfin devant la clinique qui portait le même nom que lui. Comme à l'accoutumée, il fut accueilli par un des légendaires coups de pieds du patriarche de la famille, qu'il arrêta sans difficulté. Il renvoya ensuite son père dans le mur d'en face et se contenta de monter dans sa chambre sans un mot. Il pouvait cependant encore entendre les voix d'en bas.

Isshin: Je suis si fier de toi Ichigo. Tu es devenu si... (il remarqua que son fils n'était plus là) Hum ? Ichigo?

Yuzu: Papa? Qu'est-ce que tu as encore fait?

Isshin: Mais rien Yuzu… Oh je sais, à son âge, je sais ce qui perturbe l'esprit des jeunes: LES FEMMES... Mon Ichigo serrait-il amoureux? Oh Masaki, chérie, tu as vu comme notre fils grandit vite? Il est si...

Le dit fils était à présent arrivé dans sa chambre et se contenta de claquer la porte derrière lui pour étouffer les jérémiades de son immature de père. Allongé sur son lit, il n'arrêtait pas de penser à ce qui s'était passé avec la jeune fille lorsqu'ils étaient arrivés à l'école. Entendre ces rumeurs sur lui et Inoue, lui restait en travers de la gorge. Non pas qu'il ne trouvait pas son amie attirante, mais justement car c'était son amie. Il n'avait pas le droit d'imaginer de telles choses entre eux, et puis Inoue devait sûrement être mal à l'aise en entendant tous les élèves parler de ça. En plus, la jeune fille ne ressentait certainement rien pour lui de toute façon.

Ajoutées à cela, les questions incessantes de tous les mecs de sa classe ne l'aidaient pas. Il avait beau répéter milles fois que lui et Inoue n'étaient que des amis. Aucuns des garçons, ne semblaient disposés à le croire.

Il était si absorbé par ses pensées, qu'il n'entendit pas le tiroir de sa commode s'ouvrir. Kon, qui était resté caché là toute la journée en espérant échapper à Yuzu, sortit comme une flèche et se jeta sur le shinigami en pleurant.

Kon: Ichigo, si tu savais comme je suis heureux de te voir. Tu n'imagines pas le calvaire que ta sœur m'a fait vivre. Elle m'a forcé à prendre un bain avec ses autres peluches en faisant comme si on était à la piscine, puis elle m'a fringué comme une nana et forcé à jouer à la dinette avec elle et ses abrutis d'animaux.

Ichigo : …

Kon : Hé, Ichigo ! Tu m'écoutes ?

Ichigo:(remarquant enfin la peluche) Kon ? Pourquoi t'es habillé comme ça ?

Kon: Je viens de te le dire, (offusqué) alors en fait tu n'écoutais pas Ma Majesté parler ?! Espèce d'ingrat, moi qui voulais te présenter des tas de nanas à forte... Argh...

Ichigo: (le tenant par la gorge) Ferme-la un peu ! Je n'ai pas besoin des conseils d'un pervers comme toi.

Kon: Ichi... Ichigo... Attends... qu'est-ce que tu comptes... faire ? S'il te plaît Ichigo... Ne... Pas elle !

Ichigo: Yuzu ! J'ai trouvé ta peluche !

Yuzu: (arrivant) Oh mon Bostaf... Où étais-tu passé ? Tu es tout sale et ta robe est toute froissée ! Il va falloir que je te refasse prendre un bain… (regardant Ichigo) Merci Onii-chan.

Ichigo ne répliqua rien et se contenta de retourner dans sa chambre. Il se rallongea sur son lit, jusqu'à ce qu'il entende sa petite sœur l'appeler pour le dîner. Il descendit dans la cuisine et mangea sans trop d'enthousiasme. Et il ne répliqua même pas quand son père lui parlait de filles, du comportement qu'il devait avoir envers elles, mais finit par lui fourrer la tête dans son assiette lorsqu'il lui avait parlé de se protéger. Une fois son assiette terminée, il se leva et remonta dans sa chambre. Il se rallongea une fois de plus en fixant le plafond et lorsque le jeune homme regarda son réveil quelques temps plus tard, il vit qu'il était déjà 00h36. Sans se douter de ce qu'il attendait le lendemain, il se mit enfin au lit.

Yay ! Une fic cette fois. Alors que dire ? Elle sera assez courte et plutôt du genre sentimentale donc ne vous attendez pas à des scènes de combats hein ^^ Bref, j'espère qu'elle vous plaira et à bientôt ^^