Aussi loin que je pouvais me souvenir, j'avais toujours vu et eu l'albinos à mes côtés. SI certain n'aimait pas avoir se regarde rubis et moqueur sur eux, moi, je l'adorais, c'était une source de réconfort. L'albinos avait toujours été là dans les meilleurs comme dans les pires moments. M'aidant à avancer et à me redresser à chacune de mes chutes et il en a eu...
Vous devez vous demander à où remonte ma mémoire ? Je me rappel du premier jour où j'ai rencontré mein bruder pour cela laissez-moi vous raconter mon histoire...
Versailles 18 janvier 1871
Après la victoire de l'armée Prussienne sur l'armée française Gilbert fut convoqué à Versailles pour le couronnement de Guillaume 1Er qui deviendra son futur roi. Ou du moins le pensait parce que derrière ce grand homme se tenant timidement et en grande partie cacher un petit garçon blond aux yeux bleu. Encore impressionner par tout ce monde qui se réunissait, pour lui ? Bien sûre, ils étaient là pour le roi, mais qui dis roi dis aussi pays et le petit blond était la représentation d'une nation naissante. Il était et sera l'Allemagne unifiée moderne, dite également Deuxième Reich ou Reich Wilhelminie.
L'albinos avançait au côté des princes qui allait couronner l'homme. Qui pouvait bien être ce petit garçon qui finit par sortir des jambes pour se tenir fièrement au côté de Guillaume 1er ?
Le regard azur du jeune inconnu croisa les deux rubis de l'albinos avant de déviez vers l'homme qui était mis à l'honneur en ce jour. Le roi baissa les yeux vers le petit garçon qui l'interrogeait du regard et posa une main sur sa tête le pousse doucement devant lui pour qu'il fasse face au Prussien.
Pas le temps de dire un mot que les princes allemands s'approchèrent pour l'avènement. Transmettant la couronne à l'homme qui allait désormais les diriger. Ludwig passa une main sur son uniforme noir avant de se remettre au garde-à-vous, ne lâchent pas l'albinos du regard. L'homme l'intriguait au plus haut point et il attentait vivement les présentations.
. Inclinez-vous devant son altesse le roi Guillaume 1er souverain incontesté du second Reich.
Suite à ces mots toute l'assemblée s'inclina devant le nouveau souverain. L'allemand lui se tient droit couvent de sa petite taille tout ce monde qui juraient ainsi fidélité à sa couronne, cela n'était pas si désagréable de voir les gens se montrer soumit de la sorte. Quelque chose en lui disait que tout cela n'allait que commencer et que l'armée prussienne ne sera pas la seule à s'incliner de la sorte face à lui.
Une fois de plus son regard s'attardait sur les deux rubis qui c'étaient relever vers lui, s'il avait eu envie de fuir, il ne pouvait pas se le permettre pas maintenant dans de telles circonstances. L'assemblé se redressa enfin laissant le souverain seul. Guillaume 1er avait enfin l'occasion de faire les présentations et invita Gilbert à s'approcher. Le grand blanc qui partait déjà suivant ses boss dûs faire demi-tour pour s'approcher et le petit travaillaient sur lui pour ne pas reculer, son regard peut rassurer allait de l'inconnu à son boss qui finit par prendre la parole.
-Je te présente Gilbert Beilschmidt dit aussi l'Empire Prusse, il est comme toi.
Puis se tournant vers l'autre nation posant une main sur la tête de l'enfant
-Il s'agit de Ludwig Beilschmidt, c'est l'Allemagne, le second Reich. Je pense que tu peux le voir comme un frère. Tâche de lui apprendre tout ce que tu sais. J'ai de grandes ambitions pour l'Allemagne. À toi de l'y préparer et de m'aider. Le prussien prit soudainement un air sérieux avant de poser le genou au sol placent un bras sur son torse et s'inclina devant le blond pour la seconde fois de la journée. Avant de relever la tête et regarder le petit allemand. Il eut un sourire qui s'élargit de façon étrange pour la jeune nation qui se demandait encore où il était tombé. Puis sans un mot de plus Guillaume 1er partit laissant les deux germaniques ensembles. L'albinos eu, un grand sourire se redressant enfin posant une main sur la tête du plus jeune.
-Ore-sama va bien s'occuper de toi et il est tellement Awesome qu'il t'apprendra tout ce que tu dois savoir, tu peux me faire confiance.
Allemagne regarda l'albinos se redresser et ferma un œil en voyant la main s'approcher de son visage, ce n'était pas un signe de faiblesse, il ne s'attendait pas à ce que cette grande nation l'accepte ainsi et aussi facilement avec un grand sourire. Il s'attendait plus à ce qu'il le voie comme un adversaire, mais que du contraire... Allait-il vraiment le prendre pour un frère comme l'avait conseillé Guillaume 1er ? Seul le temps pourra le confirmer.
