Coucou ! Et oui, c'est encore moi ! Cette fois, je reviens avec une idée toute fraîche qui m'ait sortit de la tête en lisant une fic géniale intitulée "Le Dico des nations" de Loupiote54, que je vous conseille fortement de lire, c'est à mourir de rire et c'est super bien écrit en plus. J'ai eu, moi aussi, envie de faire quelque chose avec chacune des nations. C'est alors que l'idée m'est venue : "Mais quels seraient les fantasmes de chacune de nos très chères Nations ?"

Il y aura bien évidemment plusieurs couples, du FrUK, du Spamano, du RoChu, du Ameripan, du Gerita, du PruCan et encore plein d'autres. Bien sûr, que des couples que j'adore. Cependant, je dois vous prévenir qu'il n'y aura aucun personnages féminins dans ma fic. Ce ne sera que du 100% pur yaoi. (Vive le yaoi !)

Bien évidemment, si j'ai mis un M au rating, c'est pour une bonne raison. Bon, le titre de la fic parle pour lui tout seul aussi. Il s'agit vraiment d'un délire où l'imagination et la... perversité joue un grand rôle. De plus, pour l'instant, ce n'est qu'une idée. Si je vois que ça me plait d'écrire et que ça plait à ceux qui la lisent, je continuerais, sinon... on verra bien, de toute façon.

Aussi, si vous avez des idées à me donner, des personnages que vous voudriez voir apparaître, vos propres fantasmes sur un personnages en particulier, surtout, n'hésitez pas à me le dire, je me ferais un plaisir de les écrire. Autre précision, tout les fantasmes seront écrit du POV du perso concerné, j'ai trouvé ça mieux de la faire un point de vue interne.

Je voudrais aussi remercier celle qui veut bien me corriger, LilianaRosana. Elle sera ma correctrice pour cette fic, bien qu'elle ne lise pas le manga.

Bon, alors, le premier personnages à passer à la casserole, c'est notre très cher Francis.

Rating : M, vraiment, carrément, complètement et entièrement M.

Disclaimer : Bon ça va, à force, on aura compris, ni Hetalia ni ses personnages ne m'appartiennent et je ne gagne strictement rien, bref...

Bonne lecture à tous !


1. Le fantasme de Francis (France)

Le fantasme de Francis (France)

Voici ce que serait le fantasme de Francis :

Cela se passerait à l'époque de la piraterie, lorsqu'Arthur et moi étions encore des pirates redoutés – enfin, davantage Arthur. Après une bataille épique sur nos navires au cours d'une tempête sans merci où la mer tenterait à plusieurs reprises de nous emportés dans ses flots déchaînés, je me ferais capturer par le très craint capitaine Kirkland après l'abandon de mon équipage suite à un combat sanglant qui se solderait par un échec cuisant.

Mon bourreau, aidé de ses hommes, m'aurait bâillonné et ligoté, puis le capitaine m'aurait emmené dans sa cabine personnelle. Il m'aurait poussé sur son lit et m'aurait ordonné de ne pas bouger, ce que j'aurais fait sans réfléchir si j'avais été quelqu'un qui tenait à sa vie, mais étant une personne insolente de nature, je me mettrais à me tortiller et à pousser des cris, étouffés par mon bâillon.

Le corsaire, qui se serait installé à son bureau pour observer ce que je supposerais être une carte, se précipiterait sur moi, passablement irité d'avoir ainsi été interrompu dans sa tâche. Il m'arracherait le tissu qui recouvrirait ma bouche et me crierait de me taire, autrement, il me torturait

Cependant, n'écoutant pas un mot de ce qu'il raconterait, je lui lancerais un regard provocateur :

- De toute façon, mon cher « Arthur » ; j'appuierais bien sur son nom pour lui montrer qu'il ne me faisait pas peur ; nous savons tous les deux la raison pour laquelle tu m'as fait venir dans ta cabine, plutôt que de m'enfermer dans la soute avec les autres prisonniers, n'est-ce pas ?!

Je croirais le voir rougir mais il se reprendrait bien vite et me giflerait pour mon effronterie. Mais loin d'être froissé, je continuerais de le provoquer :

- Allons, ne joue pas les vierges effarouchée, mon cher Arthur. Je sais depuis longtemps que tu es tombé sous mon charme.

Je verrais alors distinctement ses joues s'empourprer, de colère ou de honte, peu importe, car l'instant d'après, il me crierait :

- Tu vas voir si je suis tombé sous ton charme, bloody frog !

Et la seconde qui suivrait, il se jetterait sur mes lèvres et les ravagerait avec rudesse et empressement, de sorte qu'il les ferait saigner et que le goût âcre et métallique du liquide envahirait ma bouche. Mais cela ne me dérangerait pas, le sang donnerait un côté excitant au baiser. Et les lèvres de mon Arthur qui raviraient les miennes avec violence, les mordants, leur arrachant presque la peau délicate et soyeuse qui les recouvrait, m'arracha un soupir de contentement.

Mais le manque d'air nous ferait nous séparer. Nous nous retrouverions haletant l'un face à l'autre, une chaleur bien connu grandissant dans nos bas-ventre.

- C'est toi qui vas tomber sous le mien, froggy ! Susurrerait le corsaire à mon oreille, me faisant frissonner.

Il me détacherait de mes liens, gardant seulement mes mains attachées au dessus de ma tête. Puis, il me déshabillerait, arrachant presque mes vêtements. Le pirate se relèverait pour m'observer nu et essoufflé, à sa merci. Lui serait encore tout habillé. Je me languirais de le voir nu devant moi, et il s'amuserait de me voir si impatient.

Mon érection libérée serait tendue sur mon ventre et douloureuse de l'attente. Arthur se mettrait alors à se déshabiller lentement, très lentement, attisant mon désir. Il ferait glisser ses vêtements le long de son corps dans une caresse sensuelle, me regardant avec un œil moqueur. Une fois ce spectacle terriblement érotique terminé, je pourrais admirer la magnifique hampe tendue du pirate, mais avant que je puisse m'y attarder de trop, il se jetterait sur moi et me mordrait mes tétons durcis avec férocité, me faisant hurler de douleur et de plaisir mêlé.

Ignorant mon érection douloureuse, il me retournerait dos à lui et m'ordonnerait de me mettre sur les genoux et les coudes, le cul face à lui, ce que je m'empresserai de faire, pour une fois qu'il me donnerait un ordre et que j'obéirais. Et sans plus de préambule, il écarterait mes fesses, lui donnant une superbe vue plongeante sur mon anus et il passerait sa langue sur se lèvres devant la vision alléchante, puis, il s'enfoncerait en moi. Je crierais de douleur, cri que sans aucun doute, tout le bateau aurait entendu.

Il commencerait alors ses va-et-vient sans attendre que je m'habitue à son intrusion et mes cris se répercuteraient entre les murs de la cabine. Le sang qui s'écoulerait de mes fesses dû à la pénétration trop brutale faciliterait les coups de rein. Je crierais et lui gémirait, à genoux derrière moi, entre mes jambes, sa queue au plus profond de moi. Chaque coup toucherait ma prostate durement, m'envoyant des frissons dans tout le corps et me couperait la respiration efficacement.

Mais mon érection insatisfaite me ferait mal et, désireux de me soulager, je le frotterais sur le matelas. Le tissu doux serait un véritable délice, mais le capitaine, persevant mes propres mouvements, me m'attiendrait les hanches encore plus fortement, m'empêchant tous mouvements.

- C'est moi qui prends du plaisir ici ! Me susurrerait-il, avec, sans aucun doute, un sourire narquois et moqueur.

Il continuerait ses coups de rein avec encore plus d'intensité, imposant un rythme frénétique, presque chaotique. Je me sentirais alors venir, et de violents frissons me prendraient alors que je jouirais sur les draps et mon ventre, Arthur ferait de même dans mon corps quelques instants plus tard. Je tenterais de reprendre ma respiration perdue tandis qu'il se retirerait de mon corps avec un gémissement de mécontentement. Mais je n'y prêterais pas vraiment attention, encore perdu dans le plaisir inouïe que venait de m'offrir le corsaire de la meilleur façon qui soit.

- Attends ici ! Et je t'interdis de bouger !

Tout en me susurrant cela, il se lèverait et partirait chercher quelque chose. Ma position ne me permettrait pas de le voir, je me laisserais tomber sur le flanc, dos au bureau et donc au pirate, épuisé. Je fermerais les yeux de fatigue ; la douleur et la plaisir se mélangeant encore dans mon esprit. Mais bien vite, une atroce brûlure se ferait sentir au niveau de mon anus déchiré. Je sentirais du sang chaud et ce que je penserais sans doute être du sperme, couler le long de mes cuisses martyrisées par le brutalité du pirate.

Je ne saurais même pas où se trouverait Arthur, la douleur lancinante m'empêchant d'ouvrir les yeux, quand soudain, je sentirais le lit s'affaisser sous un poids. Puis, un doux tissu viendrait doucement se poser entre mes fesses. Je rouvrirais les yeux brusquement et tournerais légèrement la tête par-dessus mon épaule. Je verrais Arthur, un genou sur le lit, une main sur mon flanc et l'autre entre mes fesses, tenant ce que j'identifierais comme étant un mouchoir, vu la douceur du tissu.

- Chut ! Laisse-moi faire ! Je ne fais que te nettoyer un peu. Me dit-il avec une certaine rudesse, cependant démenti par son regard presque tendre posé sur moi.

Il ferait quelques mouvements avec le mouchoir, essuyant le sang et le sperme sortant de mon intimité violée. Apaisé par la finesse du tissu sur mes cuisses et la délicatesse dont ferait preuve le corsaire, je me laisserais faire et reposerais la tête sur l'oreiller, prêt à m'endormir. Mais le tissu disparaîtrait d'un coup, pourtant, la main sur mon flanc ne partirait pas et elle entamerait quelques mouvements circulaires. Cela aurait le don de m'apaiser davantage et je sentirais le sommeil m'emporter.

Un bras entourerait ma taille, un corps chaud se presserait contre le mien et de douces lèvres viendraient ensuite se poser sur mon épaule, remonterait dans mon cou et arriverait jusqu'à mon oreille pour me souffler :

- Bonne nuit, Francis !

Et je m'endormirais, serein, mon amour de pirate à mes côtés.

...

- Francis, puis-je savoir la raison pour laquelle tu ne cesses de me regarde avec cette lueur inquiétante dans le regard ?

Ce fut cette voix qui sortit le français de ses pensées érotiques. Il secoua légèrement la tête pour se réveiller et planta son regard bleu dans celui émeraude de son vis-à-vis.

- Dis-moi, Arthur ! Ca ne te dirait pas de remettre ton costume de pirate de temps en temps ?

Et le redouté corsaire qu'avait été Arthur à une époque de sa vie se sentit rougir et écarquiller les yeux sous la question d'un certain français qui le regardait avec lubricité.


Je sais, c'est court ! Mais ce n'est qu'un essai. Donc voici pour le premier fantasme qui est celui de notre français préféré. J'ai toujours pensé qu'il avait un truc avec Arthur en pirate.

Bon alors, dites-moi ce que vous en avez pensé. Si je continue ou si il faut que je mette fin à ma carrière non-débutée. En tout cas, je compte tout de même poster un deuxième chapitre avec un autre personnage la semaine prochaine pour voir. Lequel ? Je ne sais pas encore mais en verra bien. (Pour info, j'ai débuté celui d'Amérique)

Allez, Bye !