Bien, voici donc une toute nouvelle histoire.
Les personnages ne sont pas à moi, ils sont à Oda Eiishiro ! Que je remercie chaleureusement d'avoir créer l'univers de One piece et ses personnages.
Donc, ceci est un UA, avec comme couple, LuffyxNami ! Cela ne se voit pas tout de suite, mais c'est réellement ça, vous ne vous êtes pas trompés !
Bonne lecture !
Vous avez deux nouveaux messages.
Premier le samedi 2 à 19h34 : « Oye ! C'est Ussop, ou est-ce que tu es ? On t'attend nous, bouge toi le cul Zoro ! Luffy est déjà entrain de tout bouffer ! Si tu pouvais te manier, c'est quand même la fête d'anniversaire de Chopper ! »
- Bon, bah pas grave, je suis arrivé deux minutes après qu'il met laissé ce message.
Si vous souhaiter effacer ce message appuyer sur la touche effacer. Bip. Message effacer.
Deuxième le dimanche 3 à 02H02 : « Salut, c'est moi...Enfin, tu ne dois sûrement plus vouloir entendre parler de moi, hein ? Donc, si jamais tu as déjà effacer ma fantomatique existence de ta mémoire, c'est Sanji. Ouais, je sais, ça fait longtemps. J'aurais peut-être pas dû t'appeler... Mais voilà, il est deux heures du matin, je repense à notre amitié et, surtout à ce que je t'ai fait. J'ai été con. Trop. Je me suis comporté comme un bot salaud ! Je suis vraiment désolé. Je...,(il pleure légèrement) veux que tout s'arrête. J'ai pas demandé ça. Je suis vraiment con, j'suis un bâtard, un salopard, un enfoiré, un connard, un empaffé... J'aimerai vraiment te revoir. Je suis toujours là pour toi. Même si tu ne dois plus avoir confiance en moi maintenant. Mais comment j'pouvais savoir aussi ! Je... Non, je suis entrain de m'excuser là, merde ! Je sais plus ce que je voulais te dire. Ah ! Si ! En fait, je t'ai vu il y a pas longtemps dans la rue. Je t'ai appelé, mais tu n'as pas dû m'entendre, ou peut-être m'as-tu ignoré. Enfin, pour dire que j'ai vu, j'ai vu ta tristesse. Et tu sais que je ne supporte pas de voir une fille pleurer, hein ? Surtout toi ! Toi, il n'y a personne qui ait le droit de te faire verser la moindre larme. Putain, pourquoi j'suis allé lui raconter ça aussi ? J'suis vraiment un imbécile, le dernier des cons ! ... J'aimerais qu'on tire un trait sur tout cela, je veux me racheter. Pardonne moi Nami. Tu es la seule amie que j'ai jamais eu ! S'il te plaît. Crois moi !Viens ce soir à 18h30 au café où nous avions l'habitude d'aller, en face de mon restaurant, le Baratie. Je t'attendrai, et si tu ne viens pas, je considérerai que tu ne veux plus me voir. »
Bip. Si vous souhaiter effacer ce message appuyer sur la touche effac...
- Heu.
Voici la remarque intelligente qui sortit de la bouche du propriétaire du téléphone qui venait de lui déblatérer tout cela. L'homme aux cheveux verts ne réagit pour le moins pas. Voyons ce qu'il se passait donc dans sa tête.
Euh... (cela ne nous avance pas beaucoup.) Oui, mais encore ? (Tient, un léger avancement dans le fils de ses pensées) Bien, c'était quoi ça ? (Réalisation, Bingo!) C'était qui ce mec ? Sanji c'est ça ? Bon, je peux pas dire qu'il ait raison de s'insulter de la sorte, enfin si, ce tromper de numéro, c'est vraiment un con ! En plus y pause un ultimatum ? Pfuu. Quel imbécile ? Je ne le connais même pas et j'ai déjà envie de le frapper ! Bon, il est quelle heure ? 18H17. Et il a pas laissé son numéro ! Oh, et puis merde, ce ne sont pas mes affaires. Bon, qu'est-ce qu'il m'a dit Luffy ? Ah oui, je dois apporter la viande.
Et c'est ainsi que l'homme au grand cœur sortit de son appartement se fichant totalement du sort du locuteur du message qui pouvait bien aller se suicider. Il sortit donc son manteau à la main et son téléphone dans l'autre. Par un heureux hasard dû à la grande réputation, maintenant bien connue et forgée, de l'orientation de Zoro, il se retrouva dans une rue qu'il n'avait jamais parcourue.
Bien, donc c'est bien à gauche pour aller chez lui (il partit à droite). Purée ! Ça me gonfle, je suis pas perdu, je me balade, c'est tout ! Mais du coup j'arrive en retard (quelle mauvaise fois) et là, (il regarda le sac de viande) je risque ma vie. Tient, une nouvelle rue inconnue. Très belle, remplie de restaurant. Celui là à la forme d'un poisson ! Trop drôle, entouré d'eau en plus, pour faire genre c'est un bateau, je suppose. Et son nom c'est : Le Baratie. Étrange, jamais entendu parler (veuillez patienter que l'information arrive au cerveau). Putain, mais c'est le resto dont à parler le boulet ! Et là, (il se tourna, faisant virage à 180°) ce doit être le fameux café où il va poireauter tout seul comme le con qu'il ait déjà ! Bon, je suis pas un monstre si ? Enfin, là si, pour Luffy je vais en être un, mais bon. Ma bonne action du jour. Déjà que j'en fais pas souvent.
Il se dirigea donc vers le café, avant d'entrer, il observa la salle. Il n'y avait presque personne, soit un couple, un femme brune un sourire malicieux aux lèvres et un homme aux cheveux blonds sans compter le serveur. Il décida, tout d'abord, d'appeler pour prévenir son retard. Cependant, lorsqu'il prit son téléphone, celui-ci lui signala qu'il était déchargé de la meilleur manière qu'il soit, en s'éteignant. Il poussa un soupir.
Bon, bah, j'ai plus qu'à ramener l'imbécile qui attend tout seul, donc le blond. Ça me fera une bonne excuse.
Et il rentra sur ses pensées très réconfortantes pour le blond. Il s'approcha de la table de ce dernier qui était passablement bien habillé, espérant ne pas s'être trompé. Il le détailla un peu. Il avait les yeux bleus, enfin pour ce qu'il pouvait en conclure puisqu'un était caché par une mèche blonde. Il fumait, beaucoup, enfin, cela pouvait ce comprendre, il était anxieux. Son sourcil visible finissait en un arabesque. Zoro tilta, il trouva cela assez comique, mais se retint de rire compatissant pour le blond.
- Sanji ? Appela-t-il.
Le blond se tourna vers lui. Il le détailla du regard. Ce n'était pas tous les jours qu'on pouvait admirer un homme aux cheveux verts, aux yeux de même couleur, à la peau mate et qui, malgré tout, avait une certaine popularité auprès de la gente féminine.
- C'est bien toi, Sanji ? S'assura-t-il, car le blond restait muet.
- Qu'est-ce qu'elle me veut l'algue ? Demanda-t-il très aimablement pour toute réponse.
Il était en effet de très mauvaise humeur cela faisait plus de deux heures qu'il attendait et se faire interrompre dans ses pensées par un homme qu'il ne connaissait pas, l'avait encore plus énervé. Zoro le foudroya du regard et commença à réciter.
- ''Si jamais tu te souviens de ma fantomatique existence...'', c'est bien de toi Sourcil en vrille.
Le blond parut choqué. Il dévisagea l'homme vert qui fut ravi de son effet.
- J'ai beaucoup aimé ton ''Mais comment je pouvais savoir ! Je...Non, je suis en train de m'excuser là merde !'' ou veux-tu que je te cite toutes les insultes que tu t'es toi même faites ?
- Que... ? Le blond était rouge de colère.
Qui était cet homme ? Comment savait-il tout cela ? Et toutes les questions sans suivant. Mais la plus inquiétante pour lui était celle-là : Et si c'était le petit ami de Nami ?
- Enfin, tu as raison. Dit l'homme aux cheveux verts s'asseyant en face de lui. Faut être con pour laisser un message aussi important sur le répondeur d'un illustre inconnu ! S'amusa-t-il.
Sanji à ces paroles se détendit. Il observa un peu plus en détaille l'homme. Il se demanda pourquoi il ne l'avait pas appelé pour le lui dire, puis, il se souvint qu'il n'avait pas laissé son numéro. Après tout, elle le connaissait. Ensuite, il trouva que même si la tête de ce type ne lui revenait pas, il était assez sympa d'être venu le lui dire. Sanji se leva alors.
- Bien, dans ce cas, je n'ai plus rien à faire ici. Merci de m'avoir prévenu.
Il se retourna et commença à partir. Zoro lui agrippa alors le bras. Le blond se retourna surpris. Le vert le regarda avec un visage sérieux, légèrement inquiet.
- Non. Dit-il tout simplement.
- Non ? Reprit le blond suspicieux.
- Non, tu vas venir avec moi. Continua-t-il tout en se levant.
- Et aurais-je l'honneur de savoir pourquoi je devrais te suivre Marimo ?
- Je m'appelle Zoro et tu vas être mon alibi.
Le blond l'observa. Il se mit à rire. Cela faisait longtemps. Zoro ne comprit pas et prit cela comme une acceptation à son invitation. Il sortit traînant derrière lui le blond. Ce dernier ne s'en rendit pas compte trop pris dans son fou-rire, ce fut seulement dix minutes plus tard, lorsqu'il arriva enfin à se calmer qu'il remarqua qu'il n'était plus dans le café, mais dans un ascenseur.
- Putain ! Mais j'ai jamais dit que j'étais d'accords.
- Je te l'ai dit, tu es mon alibi, si tu ne viens pas, je vais mourir. Expliqua-t-il lentement.
- Et bien meurt ! Ce ne sont pas mes affaires ! Rétorqua aussitôt le blond.
- C'est ce que j'ai tout de suite pensée lorsque j'ai entendu ton message. Si je n'étais pas passé devant le restaurant, tu n'en aurais jamais rien su. Donc, Tronche de banane, aurais-tu l'obligeance de m'épargner le fureur de mon meilleur ami ?
Le blond ne répondit rien. C'est vrai, s'il n'était pas venu, il aurait sûrement tenté de mettre fin à ces jours. Il n'avait plus rien. Enfin pas grand chose. Zeff était mort il n'y avait pas longtemps, Nami, sa meilleur amie, ne voulait plus le voir. Il avait appris que son père l'avait abandonné. Le restaurant était assailli par des rapaces voulant le racheter et, lui, il était trop jeune pour le protéger. Oui, si l'algue humaine n'était pas venue, il serait certainement mort le soir même.
- D'accord ! Cracha-t-il. Et c'est quoi le truc ?
- Je n'ai pas pu amener la viande plus tôt car j'ai un ami qui a un gros problème...
- Donc moi. Conclut le blond.
- Voilà, donc je suis allé te voir et te remonter le morale, c'est pour cela que je suis en retard de trois bonnes heures.
- Et la vérité, c'est quoi ?
- Je me suis un peu éloigné de chez lui en me baladant en ville. Déclara-t-il.
- Tu t'es paumé donc. Le cassa le blond.
- Que... ?
Ils sortirent de l'ascenseur. Le vert se calma pour que son alibi soit valable et ils rentrèrent dans l'appartement du brun qui était toujours ouvert. Ce dernier leur sauta dessus, la bave dégoulinant de sa bouche.
- Où t'étais ? Le menaça le brun de ses dents tout en récupérant le sac de viande qui fut tout de suite repris par un garçon au long nez.
- Je suis désolé. Intervint Sanji. Il était avec moi.
- C'est qui ? Demandèrent en cœur les trois amis à Zoro.
- Heu, c'est un pote à moi, de...du collège. Inventa-t-il.
- Je m'appelle Sanji, Sanji Prince.
- Chalut, mouarf chai Leuchy. (traduction : Salut, moi c'est Luffy)
- Luffy ! On ne mange pas la viande cru ! Le frappa le garçon au long nez. Je m'appelle Ussop ! Et lui, dit-il désignant un petit garçon caché dans le mauvais sens derrière lui, c'est Chopper.
Sanji leur sourit. Il ne put pas supporter plus longtemps de voir le brun ainsi manger la nourriture (enfin planter ses crocs dans le sac la contenant). Il la lui arracha et se dirigea, mené par son instinct, vers la cuisine. Les quatre garçons le regardèrent surpris et le suivirent. Ils le découvrirent cuisinant la viande avec toutes sortes de légumes qu'il avait trouvé dans le frigo. Les trois ne le connaissant pas se retournèrent vers Zoro et l'interrogèrent du regard. Luffy voulait savoir pourquoi on lui avait volé sa viande. Sanji se retourna au bous de quelques minutes une assiette à la main et la tendit à Luffy.
- Tient, ce sera meilleur.
Il la saisit immédiatement et engouffra tout son contenu dans son estomac.
- C'est super bon ! S'exclama-t-il.
- Je suis cuisinier après tout. S'amusa Sanji.
Il déposa d'autres assiettes toutes aussi garnies sur la table pour les autres. Ces derniers se jetèrent dessus pour au moins pouvoir manger, car il connaissait leur ami goinfre. Le blond, n'ayant pas connaissance de cet amour en excès de la nourriture du brun, ne comprit pas tout de suite pourquoi tout ce qu'il y avait dans son assiette avait disparut. Zoro lui sourit, rit de sa condition et finalement lui pointa du doigt Luffy. Sanji lui asséna alors un coup de pied fatal qui lui fit regretter d'avoir osé piocher dans son assiette. Ils passèrent ainsi la soirée. Les trois garçons acceptèrent facilement le blond et assistèrent à un grand nombre de dispute entre le vert et le cuisinier.
- Ça se voit qu'ils se connaissent depuis longtemps ! Commenta alors Ussop.
- Ouais, ils ont déjà leurs petites habitudes. Compléta Luffy.
- Ils sont vraiment de grands amis, ils se donnent des surnoms ! Continua Chopper.
- Mais vous allez la fermer ! Leur crièrent les deux concernés ne pouvant pas leur dire qu'ils avaient complètement tord.
- Donc, reprit Ussop, qu'est-ce qui t'es arrivé ?
Le blond le regarda surpris. Il n'était pas vraiment partant pour lui déballer sa vie. Il expliqua cependant dans les grandes lignes sous leurs interrogations incessantes.
- Ma meilleur amie ne me parle plus. Commença-t-il.
- Pourquoi ? Renchérit Luffy intéressé.
- J'ai révélé quelque chose qu'elle voulait garder secret, et déjà qu'elle n'accorde pas facilement sa confiance, j'ai perdu toute celle qu'elle m'avait accordé.
- Ah... Commentèrent les garçons sauf Luffy qui renchérit : Et c'était quoi ?
- Je vais pas te le dire ! S'emporta légèrement le blond.
Le brun lui dévoila un large sourire niait et ravi de sa réaction. Il lui tapota l'épaule et reprit :
- On va t'aider !
- Heu... Luffy, tu es sûr ? Tenta Zoro, qui n'avait pas vraiment prévu de se rapprocher de l'imbécile blond.
- Bien sûr ! Il a raison ! Renchérit Ussop. Tes amis sont les notre, on se doit de leur venir en aide !
- Oui, dit nous comment on peut t'aider. Compléta Chopper tout en s'adressant au blond déterminé.
- Bah, je... C'est que...vous ne la connaissez même pas, donc...
- Comment tu peux dire ça ? Le coupa Ussop. Tu ne sais pas à quel point je suis populaire, on me surnomme même le tombeur de ses dames...
- Ouais, c'est cela on te crois. Le coupa Zoro. Elle s'appelle comment déjà. Naji, c'est ça ?
- C'est Nami. Le rectifia instantanément le blond. Tu n'insultes pas ma Nami-chérie ! Comprit Marimo ? S'énerva-t-il en lui attrapant le col de sa chemise.
- Ouais, ouais, La ferme Sourcil en vrille !
- Mais j'en connais une de Nami ! Les interrompit Luffy.
Tous se tournèrent vers lui. Il leur dévoila un sourire encore plus large si cela était possible. Le blond se rapprocha suspicieux du brun.
- Ce n'est peut-être pas la même. Quel est son nom de famille ?
- C'est Nami Zi Kait ! Répondit joyeusement Luffy.
- Non, ce n'est pas elle. Dit-il tout en se rasseyant à sa place.
- Attend Sanji. L'interpella Ussop. Comment tu écris cela Luffy ?
- Bah, Zi Kait ! 'T' 'h' 'e' suivi de 'c' 'a' 't'. Zi Kait quoi !
- Tu es toujours aussi mauvais en langue Luffy. Se découragèrent ses amis. On dit The cat ! (Je me suis servis de son surnom pour le nom de famille car je ne me souviens pas qu'il soit dit.)
- Ah bon ? Dit-il penchant excessivement la tête, les bras croisé, les jambes en tailleur.
Un silence se fit et Sanji s'écria :
- C'est elle !
- Bah, tu vois, on en connaît des gens ! S'amusa Ussop.
- Oui mais ce n'était pas toi ! Lui répondit Zoro.
- Et maintenant, à quoi cela va-t-il vous servir ? S'interrogea Sanji, se sentant en confiance avec ses quatre garçons un peu étranges.
- Et bien, maintenant chers enfants, écoutez le grand et si respectable Ussop-sama. Voici ce que nous allons faire...
* Quelques jours plus tard*
- Je savais que c'était une très mauvaise idée ! Se morfondit le blond. Oh, quelle belle demoiselle !
- La ferme, on va se faire repérer, Love-cook ! S'énerva Zoro tout en le frappant.
- J'espère qu'il va suivre tous mes conseilles. Compléta Ussop.
- J'espère pas. Commentèrent discrètement les deux autres hommes.
- Quoi, qu'est-ce que vous avez dit ?
- Chut, les voilà ! Les avertit Chopper.
Tous quatre se cachèrent donc d'une manière très classe, et très classique me direz-vous, derrière des poubelles. Ils virent alors passer une jeune femme aux courts cheveux roux.
Elle discutait tranquillement avec une amie aux cheveux bleus lorsque Luffy arriva et l'intercepta. Les deux jeunes femmes en furent très surprises et l'accompagnatrice fit un sourire entendu à son amie et partit.
- Vivi...Voulut l'arrêter la rousse. Bon, qu'est-ce que tu me veux ?
Le brun lui sourit. Sanji avait insisté pour lui faire un relooking avant qu'il n'aille l'intercepter. Il était donc coiffé, mais gardait tout de même son chapeau de paille dont il n'avait pas voulu se séparer. Il portait une tenue mettant en avant son corps musclé, car, même s'il était assez petit, il restait très fort. Il lui dit bonjour et enchaîna.
- Tu ne voudrais pas te balader avec moi ?
- Pourquoi je ferais ça ? Répondit-elle du tac au tac.
- Bah, tu es bien Nami Zi Kait ? S'assura-t-il
- Mais il n' apprendra jamais ? S'énerva Ussop.
- Laisse, c'est peine perdue pour lui. Commenta Zoro.
- Allez, va-y Luffy ! L'encouragea discrètement Chopper.
- The Cat. Le corrigea-t-elle. Et toi, c'est Luffy, c'est ça ?
- Ouais, c'est Monkey D. Luffy ! Rit-il fier de lui.
Elle lui rendit son sourire amusée par le garçon en face d'elle.
- Ton nom te convient parfaitement. 'Monkey', 'singe' en Anglais. Lui dit-elle avec un sourire ravageur.
- Tu trouves. Lui répondit-il lui rendant un sourire pur et innocent.
Mais il est vraiment stupide, pire que les rumeurs ! Pensa-t-elle.
- Bon, au revoir.
Elle se retourna, mais avant qu'elle n'ait pu faire un pas, il lui attrapa le bras. Elle le fusilla du regard.
- Qu'est-ce que tu me veux ? S'énerva-t-elle lui faisant lui lâcher le bras.
- Qu'ose-t-il faire à ma douce Nami-chan ? S'emporta Sanji, près à bondir hors de ses poubelles.
- Ta gueule, tronche de banane ! Le calma Zoro.
- Bah, je te l'ai dit, tu veux pas venir te balader avec moi ?
- C'est un pari que tu as fait avec tes potes ? S'intéressa-t-elle surprise de la persistance du brun qui était connu pour sa grande naïveté et son non intéressement à la gente féminine.
- Il n'est quand même pas stupide au point de lui répondre par l'affirmatif ? Questionna le blond.
Il ne reçut aucune réponse.
- Hein ? S'assura-t-il.
- Bah, quand même pas. Tenta Ussop. Et puis, ce n'est pas lui qui a parié, c'est nous sur sa réussite.
- Ouais. Renchérit Chopper.
Zoro était resté silencieux. Si, il était assez con pour cela. Il baissa la tête et soupira. Pourquoi avait-il ramené le blond ?
- Ouaip. Répondit Luffy tout sourire.
Ces amis en tombèrent dénues. Il est vraiment stupide, pensèrent-ils ensemble.
- Oh. Et qu'avez-vous parié ? S'intéressa la jeune rousse pas le moins du monde contrariée.
- Bah.
Il réfléchit un long moment puis se souvint de l'enjeu.
- Cinquante. Répondit-il.
- Cinquante Berry ? S'exclama-t-elle assez heureuse d'être à ce point estimé.
- Heu, on avait parié ça ? Questionna Ussop surpris.
- Non, pour le faire taire et le motiver, je lui ai promis que s'il réussissait, il aurait le droit à cinquante pizzas. Expliqua le sabreur.
- Ah.
- C'est donc toi qui verseras la somme ! S'éclaira le blond.
- Et puis quoi encore ? Déclara-t-il se retournant furieux vers le blond. C'est toi, c'est pour toi qu'on fait ça, Sourcil roulé !
Elle vit alors une alternative qui lui plaisait bien. Elle se rapprocha alors du brun.
- Je veux bien si en contrepartie, tu me verses 70% de ce que tu vas gagner.
- Bah, moi je veux bien, temps que tu me pailles à manger !
- D'accords, on va se balader et tu me reverseras tout ce que tu gagneras, et je t'invite au restaurant.
Il n'est pas bien gros, il ne doit pas manger beaucoup, pensa-t-elle. Mais, pauvre Nami encore innocente, elle ne savait pas à qui elle avait à faire. C'est ainsi qu'ils partirent se promener en ville.
- Oh, ma pauvre Nami-chan, que je suis horrible d'avoir accepté de te faire ça ! Pleura le blond.
- Putain, mais la ferme ! Tu aurais pu nous le dire tout de suite qu'elle était portée sur l'argent !
- C'est vrai que cela aurait été plus rapide. Confirma Ussop.
- C'est une vrai radine, t'as pote !
- Retire ce que tu viens de dire Tête de cactus !
- Quoi ? Tu es si stupide que tu n'as pas vu ses yeux prendre la forme de Berry lorsqu'il a parlé d'argent, Love-cook ! Enfin, toi ce n'est pas mieux, il prend la forme d'un cœur lorsque tu vois une femme!
C'est ainsi qu'une bataille, entre deux hommes assez beaux et séduisants, commença dans les poubelles et se finit dans la rue attirant, au passage, tous les regards sur eux. Un regard particulier ne fut cependant pas remarqué.
En effet, Nami venait d'apercevoir la tête blonde qu'elle connaissait bien. Il a l'air de bien s'amuser, remarqua-t-elle. Elle eut un sourire triste aperçu par Luffy qui suivit son regard. Il vit alors ses deux amis se battre, il serra la main de le rousse qui fut surprise. Elle tourna son regard vers lui et lui sourit tendrement.
Ils passèrent le reste de la journée à faire les magasins, Luffy s'amusant beaucoup de jouer avec un vêtement étrange qu'il n'avait jamais vu avant, une sorte de tee-shirt à trois couches toutes collées les une aux autres. Nami eut le droit à un porteur ce qui la soulagea pour sa séance shopping. Elle se surprit à rire toute la journée en compagnie de Luffy. À la fin de leur 'balade', le brun la raccompagna chez elle. Ils se fixèrent alors un autre rendez-vous pour qu'ils puissent faire l'échange nourriture-argent. Luffy la laissa là et s'en retourna. Nami, elle, le regarda s'éloigner. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas passé une si bonne journée. Elle remarqua alors que le brun s'était retourné et la regardait. Il lui sourit tout en lui faisant un signe de la main. Elle lui répondit, et, lorsqu'il tourna à l'angle de la rue, rentra chez elle. Elle pleura alors, elle se rappela que la dernière journée qui lui avait parue si agréable s'était déroulée un mois plus tôt, en compagnie de...Sanji.
FIN ! Non, je rigole. À suivre !
Bon, j'espère que ce premier chapitre vous a plu !
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