Voilà, c'est ma première fic alors soyez indulgent. A force d'en lire je me suis dit que j'allais me lancer la dedans. Et finalement j'y ai pris goût
Disclamer : les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à JK Rowling, sauf … (vous verrez)
Auteur : moi même , Eilema
Bon et bien voilà, et si ça vous plait et que vous voulez la suite, et bien … review ! ! !
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Chapitre 1 : étrange anniversaire
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.
.
Des cris, ou plutôt un cri de femme, une lueur verte, aveuglante et … Harry se réveilla en sursaut, avec une affreuse douleur à sa cicatrice. Il regarda à travers les rideaux, une forte lumière, la lumière du soleil ? Se serait-il réveillé le matin de son anniversaire, et non comme d'habitude aux alentour de minuit ? Depuis qu'il était jeune Harry s'était toujours réveillé avant son anniversaire, ou plutôt ne s'était jamais endormi avant son anniversaire, cela aurait-il changé aujourd'hui ? Il finit par mettre ses lunettes et à regarder le cadran du vieux réveil que Dudley avait jeté par la fenêtre un jour ou il était en colère à cause de son régime. Dudley était le cousin d'Harry, et pas le cousin que l'on rêverait d'avoir, celui-ci était vraiment la personne que l'on ne souhaiterait jamais connaître, ainsi que M. et Mrs Dureté. Ce sont les pires moldu qu'on puisse imaginer, et c'est chez eux que vit Harry.
.
.
.
Harry vit alors qu'il n'était que 23h30, mais alors d'où pouvait venir cette lumière si forte que l'on croirait que c'est le soleil. Harry s'approcha de la fenêtre, et tira précautionneusement le rideau, il ne vit pas le soleil comme il pouvait le penser, mais la lune, plus brillante que jamais. Comment était-ce possible ? La lune qui brillerait autant que le soleil. Harry ne comprenait pas ce qui se passait, car jamais à Poudlard il n'avait entendu parlé de pareilles choses. Poudlard était l'école des sorciers d'Angleterre ou Harry allait depuis qu'il avait découvert qu'il était sorcier à l'age de 11 ans.
.
.
Il se regarda partout dans les maisons de Privet Drive, mais personne à part lui n'avait l'air de se rendre compte de ce qui se passait.
.
.
.
Heureusement que l'oncle Vernon ne voit pas ça, sinon il va encore dire que c'est de ma faute, dit Harry à voix basse.
.
.
.
A force de réfléchir, Harry ne vit pas passer l'heure, et quand il regarda son réveil de nouveau, il était presque minuit. Harry allait bientôt avoir 15 ans. En regardant une fois de plus par la fenêtre il fit maintenant plus attention aux 4 hiboux qui s'approchaient plutôt qu'à cette lune qui brillait plus intensément que d'habitude. Il reconnut immédiatement Hedwige, sa chouette au plumage blanc comme de la neige, à ses cotés Coqcigrue, le hibou de Ron, qu'on pourrait qualifier d'assez turbulent. Et il pensa que les deux autres hiboux venaient de Poudlard. Il commença par détacher le paquet attaché à la patte d'Hedwige, et lut la lettre :
.
.
.
« Cher Harry,
.
Comment vas-tu ? Je ne sais pas si tu sais, mais je ne suis pas allée voir Krum, mais je t'en dirai plus quand on se verra, car je ne t'écris pas pour cela aujourd'hui. Je te souhaite donc un très joyeux anniversaire, et j'espère que mon cadeau te plaira.
.
A bientôt
.
Hermione
PS : mes parents vous proposent, à toi et à Ron de venir passer les deux dernières semaines des vacances chez moi, Ron a accepté j'espère que tu pourras venir toi aussi. »
.
.
.
Harry se saisit du paquet et l'ouvrit. C'était un magnifique livre avec une couverture en cuir, et il était écris en lettre d'or : l'histoire des meilleurs attrapeurs. Il s'empressa d'ouvrir le livre, et fut saisit pas la finesse des pages, et par la beauté du livre, car en plus de raconter la vie des attrapeurs, il y avait des photos d'eux, mais aussi des figures les plus spectaculaires qu'ils aient réalisé. Il posa son livre sur son lit, puis se mit à pourchasser coqcigrue, qui ne voulais pas vraiment qu'on le soulage de son colis. Lorsque qu'Harry réussi à détacher le paquet de la patte de coqcigrue, il pris le parchemin pour lire la lettre de Ron.
.
.
.
« Salut Harry,
.
Comment ca se passe chez tes moldus, ils ne sont pas trop durs avec toi ? Je l'espère, sinon je demanderai aux jumeaux de leur préparer une petite surprise. Je te dis ça car Hermione nous invite tous les deux chez elle pour les deux dernières semaines de vacances, et ma mère aimerai bien te revoir avant la rentrée, donc on pourrai venir te chercher dès que tu le veux, enfin dès que tu peux. Au fait j'allais presque oublier, joyeux anniversaire Harry.
.
A bientôt
.
Ron
.
PS : je t'expliquerai a quoi sert ton cadeau quand on se verra»
.
.
.
Il pris le paquet qui accompagnait la lettre, et il y trouva un drôle d'objet, c'était bien de Ron ça. Ca ressemblait à une pyramide en verre, il la tourna dans tous les sens, mais rien ne se produisit, il laissa donc tomber en attendant de comprendre.
.
.
Il pris un des hiboux de Poudlard et lut la lettre. C'était une lettre d'Hagrid.
.
.
« Bonjour Harry,
.
Joyeux aniversère Harry, j'espere que té moldu ne son pas trop méchent avec toi, mais tu sera bientô de retour parmi nous.
.
Au revoir
.
Hagrid »
.
.
.
On vit un sourire sur les lèvres d'Harry, quand il replia la lettre, dut aux nombreuses fautes faites par le gardien des clefs de Poudlard. Il ouvrit précautionneusement le paquet, car lors de sa troisième année à Poudlard, Hagrid lui avait offert un livre qui mordait. Depuis, Harry faisait extrêmement attention aux cadeaux que lui offrait Hagrid, non parce qu'il ne faisait pas confiance à Hagrid, mais parce qu'il n'avait pas la même notion du danger que la plupart des gens. Mais lorsqu'il eu ouvert le paquet, il vit que l'objet avait l'ai inoffensif et inanimé. C'était une sphère qui ressemblait à un rappeltou, mais elle était un peu différente, et surtout était plus petite. Mais il n'y avait aucun mode d'emploi. Il se dit qu'il attendrait de voir Hagrid pour lui demander à quoi pouvait bien servir cet objet. Il finit donc par prendre la dernière lettre accroché au dernier hibou qui fut bien content qu'on le décharge de se fardeau. Il y avait deux lettres et un gros paquet, on pouvait même se demander comment un hibou pouvait porter cela. Il ouvrit la première lettre, s'etait une lettre de Poudlard, et plus exactement de Dumbledore.
.
.
.
. « Cher Harry,
.
Tout d'abord joyeux anniversaire. Je suis au courant qu'Hermione t'as proposé de venir chez elle, et c'est même une bonne chose. Voldemort peut très facilement savoir où tu habites et il est préférable que tu ne restes pas toutes les vacances chez les Dudley, c'est pourquoi plus vite tu partiras mieux ce sera. Je te souhaite quand même une bonne fin de vacances, et espère que n'aura aucun problème jusqu'à la fin des vacances.
.
Professeur Dumbledore »
.
.
.
.
Cette lettre, remis en mémoire les dernier événement, la coupe des trois sorcier, la mort de Cedric Diggory, et la remonté en puissance de Voldemort. Elle lui rappela qu'il était en danger perpétuel.
Il pris la deuxième lettre, elle avait l'air d'avoir été écrite plus hâtivement, reconnaissait l'écriture de son parrain.
.
.
.
.
« cher Harry,
.
avec l'aide de Dumbledore je te souhaite un joyeux Anniversaire, et j'espère que ce cadeau qui a appartenu à ton père, te plaira. Fais bien attention à toi.
.
Sniffle »
.
.
.
.
Il pris le cadeau, et défit le paquet, il y trouva une magnifique boite en acajou, avec des coins dorés. Il l'ouvrit, et il fut époustouflé par le cadeau qu'il avait reçu, c'était magnifique, et il n'aurai jamais pensé qu'il en possèderait un, un jour. Il pris la petite balle dorée entre ses doigts, et il vit les petites ailes se déployer. Il en avait les larmes aux yeux. Il avait reçu un magnifique cadeau, mais en plus il avait appartenu à son père, il le remis dans sa boite et essaya de reprendre ses esprit, c'est là qu'il se rendit compte que la lune avait toujours une lumière aussi puissante.
.
.
.
.
Il regarda par la fenêtre et vit que rien avait changé dehors, mis a part quelque personnes aux fenêtres. Il décida de ne pas s'inquiéter et il se dit qu'il enverrai un Hibou a Dumbledore demain pour lui demander ce qu'il se passait. Il rangea ses cadeaux sous la latte de son plancher, et se recoucha, pensant à la fin des vacances qu'il allait passer en compagnie d'Hermione et de Ron.
.
.
.
.
Le lendemain Harry se réveilla de bonne heure, mais il entendait déjà Dudley qui hurlait. Quand il descendit il vit que Dudley n'avait pas l'air satisfait avec la pomme qui était posée dans son assiette pour le petit déjeuné, mais M. Dursley avait l'air indifférent aux cris de son fils, et lisait imperturbablement son journal. Quand M. Dursley leva les yeux de son journal, et daigna jeter un coup d'œil à Harry, celui ci lui demande :
.
.
.
.
« oncle Vernon, serait-il possible que je parte passer les trois dernière semaine des vacances chez mes amis. «
.
.
« En quel honneur, aboya M. Dursley. »
.
.
Harry senti que ce n'était pas gagné.
.
.
« mais si je ne suis plus la, vous ne m'aurez plus dans les pattes, dit Harry essayant d'être persuasif. En plus on viendra me chercher. »
.
.
L'oncle Vernon coupa Harry, et dit sur un ton sardonique
.
.
« et tu crois que nous allons une nouvelle fois laisser ses être dégoûtant comme toi, pénétrer dans notre maison, il se mit a rire. Il est hors de question que tu ailles chez ces personnes étranges. »
.
.
.
« Mais il ne rentreront pas, je leur demanderai de venir me chercher en voiture. »
.
.
« En voiture dis-tu, encore une de leur voiture qui vole, répondit-il avec un air de dégoût. Bon pour être débarrassé de toi 3 semaine tu peux y aller, mais que je ne les vois pas ! »
.
dit-il en criant tandis qu'Harry était déjà parti en courant pour envoyer un hibou à Ron.
.
.
.
« Cher Ron,
.
Ta lettre m'a fait super plaisir, mais je n'ai pas réussi à vraiment en comprendre l'utilité. je t'écris pour te dire que pour venir chez toi il n'y a pas de problème, tu peux venir me chercher quand tu veux, mais par contre il faut que vous veniez en voiture, et en voiture normale, sinon mon oncle va devenir fou. Je peux aussi venir chez Hermione. Peux tu lui envoyer un hibou pour le lui dire s'il te plait.
.
A bientôt
.
Harry
.
PS : tu n'aurais pas vu un phénomène étrange l'autre nuit ? chez moi la lune brillait aussi fort que le soleil, je n'ai vraiment pas compris. »
.
.
.
Il attacha la lettre à la patte de coqcigrue qui avait passé la nuit dans la cage d'Hedwige, et l'envoya rejoindre son maître. Il pris un autre morceau de parchemin et entrepris d'écrire une lettre à Dumbledore pour lui raconter les phénomènes de la nuit passée. Et il y joignit une lettre pour Sirius, son parrain, qui est accusé du meurtre des parents d'Harry et qui se cache en attendant d'être innocenté.
.
.
Après avoir envoyer Hedwige, il commenca à préparer son sac, histoire de s'occuper un peu, quand il entendit sa tante l'appeler :
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.
.
"Harry, HARRY ! hurla-t'elle d'un voix agacée"
.
.
"J'arrive tante Pétunia, J'ARRIVE !"
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Quand il arriva en bas, il vit sa tante l'attendant devant les escaliers les bras croisés.
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.
.
"tu crois quand même pas que tu vas partir sans faire ce que je t'ai demandé de faire hier. Tu as le gazon a tondre, hurla-t'elle, et aussi la haie à couper."
.
.
« Mais … »
.
.
« il n'y a pas de mais, soit tu fais ce que je te demande soit tu restes ICI. »
.
Harry alla dans le garage pour prendre la tondeuse, quand il vit le gros Dudley apparaître.
.
.
« alors Harry, rien de mieux pour une journée d'anniversaire, tondre la pelouse et couper la haie, »
.
dit Dudley avec un sourire narquois en sautillant autour d'Harry, quoi qu'il était plutôt dur pour lui de sauter.
.
.
« Pousse toi de là, dit Harry sur un ton peu réjouissant »
.
.
.
Mais Dudley continuait a chantonner autour d'Harry, et Harry commençait a vraiment s'énerver, il regarda Dudley avec des yeux flamboyant et alla prononcer quelque chose quand Dudley pris peur et partit en courant sans se rendre compte qu'il n'avait plus de pantalon. Harry pris tout de suite peur, et si le ministère de la magie lui envoyait encore une lettre, mais il ne se passa rien, et quand il regarda vers la haie, il vit un chien noir, il compris alors tout de suite ce qui c'était passé, ce n'était pas lui qui avait fait fuir Dudley, mais Sirius.
.
.
.
Harry dit à Sirius de le suivre, dans un recoin ou personne ne le verrait se métamorphoser, lorsqu'ils arrivèrent, Harry demanda à Sirius :
.
.
« mais que fais-tu là ? »
.
.
.
« Je suis venu car je m'inquiétais, après ce qui c'est passé la nuit dernière, je voulais savoir si tu allais bien »
.
.
.
« Mais que c'est-il passé la nuit dernière, je n'ai rien compris, la lune brillait aussi fort que le soleil, il faisait jour en pleine nuit. Dis moi Sirius »
.
.
Son parrain regarda Harry gêné et lui dit
.
.
« je ne peux rien te dire pour le moment et Albus est mieux placé pour te dire ce qui se passe »
.
.
« mais c'est si grave que ça ? tous les moldus dormaient, et je n'ai rien vu aucun éclair rien, répondit Harry précipitamment. »
.
.
.
« et tu n'as pas senti ta cicatrise ? ou eu un mauvais pressentiment, il n'y a rien eu d'inhabituel ? »
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.
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.
« eh bien … fit Harry hésitant », ne sachant s'il devait en parler à son parrain, mais comme il lui demandait il décida de tout lui raconter. Le fait de s'être endormi le soir de son anniversaire, son rêve, la douleur à sa cicatrice et ce fameux problème avec la lune.
.
.
A la fin de ce récit, Sirius regarda son filleul avec un air grave, et il y eu un silence, un de ses long silence pesant auquel on a envie de mettre fin le plus vite possible mais où on ne trouve jamais de mot. Au bout de quelques minutes, Sirius repris la parole
.
.
.
« tu vas retrouver Ron et Hermione pour la fin des vacances ? »
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« c'est mieux comme ca, à vous trois vous êtes beaucoup plus fort et en cas de problème vous saurez vous défendre. »
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« mais sir…, »
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il n'eu pas le temps de finir sa phrase que Sirius lui dit au revoir et se remétamorphosa en chien, et parti en courant.
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Harry passa la fin de sa journée à tondre le gazon et à tailler la haie, et Dudley qui avait très peur en voyant Sirius, ne vit même pas le taquiner. Lorsqu'il eu fini, il monta dans sa chambre et vit que coqcigrue était déjà de retour, il pris la lettre, et lu. Ce n'était pas Ron, mais c'était Mrs Weasley qui avait écris cette lettre.
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« Harry, nous venons te chercher dès ce soir, tu sembles ne plus être en sécurité chez ton oncle et ta tante.
.
A ce soir.
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Mrs Weasley »
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bon j'espere que ça vous a plût et puis pour une suite eh bien REVIEW …
Disclamer : les personnages ne m'appartiennent pas, ils appartiennent à JK Rowling, sauf … (vous verrez)
Auteur : moi même , Eilema
Bon et bien voilà, et si ça vous plait et que vous voulez la suite, et bien … review ! ! !
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Chapitre 1 : étrange anniversaire
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Des cris, ou plutôt un cri de femme, une lueur verte, aveuglante et … Harry se réveilla en sursaut, avec une affreuse douleur à sa cicatrice. Il regarda à travers les rideaux, une forte lumière, la lumière du soleil ? Se serait-il réveillé le matin de son anniversaire, et non comme d'habitude aux alentour de minuit ? Depuis qu'il était jeune Harry s'était toujours réveillé avant son anniversaire, ou plutôt ne s'était jamais endormi avant son anniversaire, cela aurait-il changé aujourd'hui ? Il finit par mettre ses lunettes et à regarder le cadran du vieux réveil que Dudley avait jeté par la fenêtre un jour ou il était en colère à cause de son régime. Dudley était le cousin d'Harry, et pas le cousin que l'on rêverait d'avoir, celui-ci était vraiment la personne que l'on ne souhaiterait jamais connaître, ainsi que M. et Mrs Dureté. Ce sont les pires moldu qu'on puisse imaginer, et c'est chez eux que vit Harry.
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Harry vit alors qu'il n'était que 23h30, mais alors d'où pouvait venir cette lumière si forte que l'on croirait que c'est le soleil. Harry s'approcha de la fenêtre, et tira précautionneusement le rideau, il ne vit pas le soleil comme il pouvait le penser, mais la lune, plus brillante que jamais. Comment était-ce possible ? La lune qui brillerait autant que le soleil. Harry ne comprenait pas ce qui se passait, car jamais à Poudlard il n'avait entendu parlé de pareilles choses. Poudlard était l'école des sorciers d'Angleterre ou Harry allait depuis qu'il avait découvert qu'il était sorcier à l'age de 11 ans.
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Il se regarda partout dans les maisons de Privet Drive, mais personne à part lui n'avait l'air de se rendre compte de ce qui se passait.
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Heureusement que l'oncle Vernon ne voit pas ça, sinon il va encore dire que c'est de ma faute, dit Harry à voix basse.
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A force de réfléchir, Harry ne vit pas passer l'heure, et quand il regarda son réveil de nouveau, il était presque minuit. Harry allait bientôt avoir 15 ans. En regardant une fois de plus par la fenêtre il fit maintenant plus attention aux 4 hiboux qui s'approchaient plutôt qu'à cette lune qui brillait plus intensément que d'habitude. Il reconnut immédiatement Hedwige, sa chouette au plumage blanc comme de la neige, à ses cotés Coqcigrue, le hibou de Ron, qu'on pourrait qualifier d'assez turbulent. Et il pensa que les deux autres hiboux venaient de Poudlard. Il commença par détacher le paquet attaché à la patte d'Hedwige, et lut la lettre :
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« Cher Harry,
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Comment vas-tu ? Je ne sais pas si tu sais, mais je ne suis pas allée voir Krum, mais je t'en dirai plus quand on se verra, car je ne t'écris pas pour cela aujourd'hui. Je te souhaite donc un très joyeux anniversaire, et j'espère que mon cadeau te plaira.
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A bientôt
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Hermione
PS : mes parents vous proposent, à toi et à Ron de venir passer les deux dernières semaines des vacances chez moi, Ron a accepté j'espère que tu pourras venir toi aussi. »
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Harry se saisit du paquet et l'ouvrit. C'était un magnifique livre avec une couverture en cuir, et il était écris en lettre d'or : l'histoire des meilleurs attrapeurs. Il s'empressa d'ouvrir le livre, et fut saisit pas la finesse des pages, et par la beauté du livre, car en plus de raconter la vie des attrapeurs, il y avait des photos d'eux, mais aussi des figures les plus spectaculaires qu'ils aient réalisé. Il posa son livre sur son lit, puis se mit à pourchasser coqcigrue, qui ne voulais pas vraiment qu'on le soulage de son colis. Lorsque qu'Harry réussi à détacher le paquet de la patte de coqcigrue, il pris le parchemin pour lire la lettre de Ron.
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« Salut Harry,
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Comment ca se passe chez tes moldus, ils ne sont pas trop durs avec toi ? Je l'espère, sinon je demanderai aux jumeaux de leur préparer une petite surprise. Je te dis ça car Hermione nous invite tous les deux chez elle pour les deux dernières semaines de vacances, et ma mère aimerai bien te revoir avant la rentrée, donc on pourrai venir te chercher dès que tu le veux, enfin dès que tu peux. Au fait j'allais presque oublier, joyeux anniversaire Harry.
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A bientôt
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Ron
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PS : je t'expliquerai a quoi sert ton cadeau quand on se verra»
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.
Il pris le paquet qui accompagnait la lettre, et il y trouva un drôle d'objet, c'était bien de Ron ça. Ca ressemblait à une pyramide en verre, il la tourna dans tous les sens, mais rien ne se produisit, il laissa donc tomber en attendant de comprendre.
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Il pris un des hiboux de Poudlard et lut la lettre. C'était une lettre d'Hagrid.
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.
« Bonjour Harry,
.
Joyeux aniversère Harry, j'espere que té moldu ne son pas trop méchent avec toi, mais tu sera bientô de retour parmi nous.
.
Au revoir
.
Hagrid »
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.
On vit un sourire sur les lèvres d'Harry, quand il replia la lettre, dut aux nombreuses fautes faites par le gardien des clefs de Poudlard. Il ouvrit précautionneusement le paquet, car lors de sa troisième année à Poudlard, Hagrid lui avait offert un livre qui mordait. Depuis, Harry faisait extrêmement attention aux cadeaux que lui offrait Hagrid, non parce qu'il ne faisait pas confiance à Hagrid, mais parce qu'il n'avait pas la même notion du danger que la plupart des gens. Mais lorsqu'il eu ouvert le paquet, il vit que l'objet avait l'ai inoffensif et inanimé. C'était une sphère qui ressemblait à un rappeltou, mais elle était un peu différente, et surtout était plus petite. Mais il n'y avait aucun mode d'emploi. Il se dit qu'il attendrait de voir Hagrid pour lui demander à quoi pouvait bien servir cet objet. Il finit donc par prendre la dernière lettre accroché au dernier hibou qui fut bien content qu'on le décharge de se fardeau. Il y avait deux lettres et un gros paquet, on pouvait même se demander comment un hibou pouvait porter cela. Il ouvrit la première lettre, s'etait une lettre de Poudlard, et plus exactement de Dumbledore.
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. « Cher Harry,
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Tout d'abord joyeux anniversaire. Je suis au courant qu'Hermione t'as proposé de venir chez elle, et c'est même une bonne chose. Voldemort peut très facilement savoir où tu habites et il est préférable que tu ne restes pas toutes les vacances chez les Dudley, c'est pourquoi plus vite tu partiras mieux ce sera. Je te souhaite quand même une bonne fin de vacances, et espère que n'aura aucun problème jusqu'à la fin des vacances.
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Professeur Dumbledore »
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Cette lettre, remis en mémoire les dernier événement, la coupe des trois sorcier, la mort de Cedric Diggory, et la remonté en puissance de Voldemort. Elle lui rappela qu'il était en danger perpétuel.
Il pris la deuxième lettre, elle avait l'air d'avoir été écrite plus hâtivement, reconnaissait l'écriture de son parrain.
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« cher Harry,
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avec l'aide de Dumbledore je te souhaite un joyeux Anniversaire, et j'espère que ce cadeau qui a appartenu à ton père, te plaira. Fais bien attention à toi.
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Sniffle »
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Il pris le cadeau, et défit le paquet, il y trouva une magnifique boite en acajou, avec des coins dorés. Il l'ouvrit, et il fut époustouflé par le cadeau qu'il avait reçu, c'était magnifique, et il n'aurai jamais pensé qu'il en possèderait un, un jour. Il pris la petite balle dorée entre ses doigts, et il vit les petites ailes se déployer. Il en avait les larmes aux yeux. Il avait reçu un magnifique cadeau, mais en plus il avait appartenu à son père, il le remis dans sa boite et essaya de reprendre ses esprit, c'est là qu'il se rendit compte que la lune avait toujours une lumière aussi puissante.
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Il regarda par la fenêtre et vit que rien avait changé dehors, mis a part quelque personnes aux fenêtres. Il décida de ne pas s'inquiéter et il se dit qu'il enverrai un Hibou a Dumbledore demain pour lui demander ce qu'il se passait. Il rangea ses cadeaux sous la latte de son plancher, et se recoucha, pensant à la fin des vacances qu'il allait passer en compagnie d'Hermione et de Ron.
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Le lendemain Harry se réveilla de bonne heure, mais il entendait déjà Dudley qui hurlait. Quand il descendit il vit que Dudley n'avait pas l'air satisfait avec la pomme qui était posée dans son assiette pour le petit déjeuné, mais M. Dursley avait l'air indifférent aux cris de son fils, et lisait imperturbablement son journal. Quand M. Dursley leva les yeux de son journal, et daigna jeter un coup d'œil à Harry, celui ci lui demande :
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« oncle Vernon, serait-il possible que je parte passer les trois dernière semaine des vacances chez mes amis. «
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« En quel honneur, aboya M. Dursley. »
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Harry senti que ce n'était pas gagné.
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« mais si je ne suis plus la, vous ne m'aurez plus dans les pattes, dit Harry essayant d'être persuasif. En plus on viendra me chercher. »
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L'oncle Vernon coupa Harry, et dit sur un ton sardonique
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« et tu crois que nous allons une nouvelle fois laisser ses être dégoûtant comme toi, pénétrer dans notre maison, il se mit a rire. Il est hors de question que tu ailles chez ces personnes étranges. »
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« Mais il ne rentreront pas, je leur demanderai de venir me chercher en voiture. »
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« En voiture dis-tu, encore une de leur voiture qui vole, répondit-il avec un air de dégoût. Bon pour être débarrassé de toi 3 semaine tu peux y aller, mais que je ne les vois pas ! »
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dit-il en criant tandis qu'Harry était déjà parti en courant pour envoyer un hibou à Ron.
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« Cher Ron,
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Ta lettre m'a fait super plaisir, mais je n'ai pas réussi à vraiment en comprendre l'utilité. je t'écris pour te dire que pour venir chez toi il n'y a pas de problème, tu peux venir me chercher quand tu veux, mais par contre il faut que vous veniez en voiture, et en voiture normale, sinon mon oncle va devenir fou. Je peux aussi venir chez Hermione. Peux tu lui envoyer un hibou pour le lui dire s'il te plait.
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A bientôt
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Harry
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PS : tu n'aurais pas vu un phénomène étrange l'autre nuit ? chez moi la lune brillait aussi fort que le soleil, je n'ai vraiment pas compris. »
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Il attacha la lettre à la patte de coqcigrue qui avait passé la nuit dans la cage d'Hedwige, et l'envoya rejoindre son maître. Il pris un autre morceau de parchemin et entrepris d'écrire une lettre à Dumbledore pour lui raconter les phénomènes de la nuit passée. Et il y joignit une lettre pour Sirius, son parrain, qui est accusé du meurtre des parents d'Harry et qui se cache en attendant d'être innocenté.
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Après avoir envoyer Hedwige, il commenca à préparer son sac, histoire de s'occuper un peu, quand il entendit sa tante l'appeler :
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"Harry, HARRY ! hurla-t'elle d'un voix agacée"
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"J'arrive tante Pétunia, J'ARRIVE !"
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Quand il arriva en bas, il vit sa tante l'attendant devant les escaliers les bras croisés.
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"tu crois quand même pas que tu vas partir sans faire ce que je t'ai demandé de faire hier. Tu as le gazon a tondre, hurla-t'elle, et aussi la haie à couper."
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« Mais … »
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« il n'y a pas de mais, soit tu fais ce que je te demande soit tu restes ICI. »
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Harry alla dans le garage pour prendre la tondeuse, quand il vit le gros Dudley apparaître.
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« alors Harry, rien de mieux pour une journée d'anniversaire, tondre la pelouse et couper la haie, »
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dit Dudley avec un sourire narquois en sautillant autour d'Harry, quoi qu'il était plutôt dur pour lui de sauter.
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« Pousse toi de là, dit Harry sur un ton peu réjouissant »
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Mais Dudley continuait a chantonner autour d'Harry, et Harry commençait a vraiment s'énerver, il regarda Dudley avec des yeux flamboyant et alla prononcer quelque chose quand Dudley pris peur et partit en courant sans se rendre compte qu'il n'avait plus de pantalon. Harry pris tout de suite peur, et si le ministère de la magie lui envoyait encore une lettre, mais il ne se passa rien, et quand il regarda vers la haie, il vit un chien noir, il compris alors tout de suite ce qui c'était passé, ce n'était pas lui qui avait fait fuir Dudley, mais Sirius.
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Harry dit à Sirius de le suivre, dans un recoin ou personne ne le verrait se métamorphoser, lorsqu'ils arrivèrent, Harry demanda à Sirius :
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« mais que fais-tu là ? »
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« Je suis venu car je m'inquiétais, après ce qui c'est passé la nuit dernière, je voulais savoir si tu allais bien »
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« Mais que c'est-il passé la nuit dernière, je n'ai rien compris, la lune brillait aussi fort que le soleil, il faisait jour en pleine nuit. Dis moi Sirius »
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Son parrain regarda Harry gêné et lui dit
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« je ne peux rien te dire pour le moment et Albus est mieux placé pour te dire ce qui se passe »
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« mais c'est si grave que ça ? tous les moldus dormaient, et je n'ai rien vu aucun éclair rien, répondit Harry précipitamment. »
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« et tu n'as pas senti ta cicatrise ? ou eu un mauvais pressentiment, il n'y a rien eu d'inhabituel ? »
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« eh bien … fit Harry hésitant », ne sachant s'il devait en parler à son parrain, mais comme il lui demandait il décida de tout lui raconter. Le fait de s'être endormi le soir de son anniversaire, son rêve, la douleur à sa cicatrice et ce fameux problème avec la lune.
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A la fin de ce récit, Sirius regarda son filleul avec un air grave, et il y eu un silence, un de ses long silence pesant auquel on a envie de mettre fin le plus vite possible mais où on ne trouve jamais de mot. Au bout de quelques minutes, Sirius repris la parole
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« tu vas retrouver Ron et Hermione pour la fin des vacances ? »
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« c'est mieux comme ca, à vous trois vous êtes beaucoup plus fort et en cas de problème vous saurez vous défendre. »
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« mais sir…, »
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il n'eu pas le temps de finir sa phrase que Sirius lui dit au revoir et se remétamorphosa en chien, et parti en courant.
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Harry passa la fin de sa journée à tondre le gazon et à tailler la haie, et Dudley qui avait très peur en voyant Sirius, ne vit même pas le taquiner. Lorsqu'il eu fini, il monta dans sa chambre et vit que coqcigrue était déjà de retour, il pris la lettre, et lu. Ce n'était pas Ron, mais c'était Mrs Weasley qui avait écris cette lettre.
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« Harry, nous venons te chercher dès ce soir, tu sembles ne plus être en sécurité chez ton oncle et ta tante.
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A ce soir.
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Mrs Weasley »
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bon j'espere que ça vous a plût et puis pour une suite eh bien REVIEW …