Bonjour, me revoici avec cette histoire. La fin de la première version ne me plaisait pas et, après un creusage de cerveau en bonne et du forme, j'ai pu trouver le pourquoi du comment de Kuromamour et sa rouquine... ! Je ne l'ai pas encore écris, mais cela ne saurait tarder !

Merci de votre patience... Je galère un peu avec Ffnet...

Bonne lecture et n'oubliez pas de laisser un commentaire pour que la suite arrive plus vite (YES ! Je peux enfin faire du chantage aux reviews moi aussi ! )


« Très bien, à trois je sors de cette chambre et tu pourras être sûr que je ne viendrai plus te gêner dans tes petites affaires ! » Fais-je en me retournant pour me diriger vers la porte d'un pas motivé.

« ... »

« Un… Deux… »

Je ralentis faiblement, pourquoi ne m'a-t-il pas déjà rattrapé ? Ma main se pose sur la poignée.

« Trois ! »

Je tourne la poignée, près à m'enfuir dans le couloir de ce foutu hôtel. Mais rien… Rien comme rien du tout, quedalle, comme le néant… Comme une poignée qui ne tourne pas, donc, à fortiori, une porte qui ne s'ouvre pas.

Je me retourne lorsque j'entends un petit rire – un petit rire ! – je lui lance le pire des regards assassins. Quel genre de copain il est ! Il m'a enfermé. Il nous a enfermés ! Quel genre de copain vous enferme lorsque vous décidez de sortir de leur vie ?… Et je crois que je préfère ne pas répondre à cette question.

En C-O-L-E-R-E. En colère, c'est ce que je suis – en ce moment même – en pleine éruption. La plus grosse colère que le monde ait jamais connue, la plus grosse et – selon moi – la plus grande. Oh oui, personne ne pourra jamais égaler mes colères, rares et pourtant inoubliables.

Il. Va. Mourir ; oh ça va être douloureux. Cette saleté de Ninja. Cette saleté de stupide Ninja. Cet...cet hypocrite. Comment ose-t-il ? Je. Vais. Le. Tuer ; oh ça va faire mal.

Je vais lui apprendre, moi !

« Tu te fous de moi ! » Je hurle en retournant vers lui. « Je vais t'apprendre, toi, me dire des mots doux, me faire des douceurs, et puis une heure plus tard, te retrouver avec cette bimbo rousse sur les genoux ! » Je continue en martelant mon doigt sur son torse à chaque mot. « Tu étais bien, la tête dans sa poitrine ? J'espère que t'en a bien profité dla rouquine parce que la prochaine fois que tu la verras celle là, elle sera en version Picasso ! »

« Calme toi ! »

« Que je me calme ! Que je me calme ? J'vais t'en foutre moi, du calme ! Donne moi cette foutue clé que je sorte d'ici ! » Je fais en tendant la main.

« Non. »

« Non ? »

« Non. Pas avant que tu m'aies laissé le temps de parler. »

« Hors de question que je t'écoute me sortir des excuses bidon ! Tu vas me sortir quoi ? Qu'elle a trébuché et que ton nez s'est malencontreusement retrouvé dans son 95 E ? C'est pas la peine, je m'en passerai ! » Je hurle en retournant vers la porte, prêt à l'ouvrir à coup de pied s'il le faut.

Je m'élance talon devant vers cette porte, qui je l'estime ne survivra pas au coup de pied en colère. Et puis, avant même d'y parvenir, je sens une main qui m'attrape le bras et je quitte le sol pour me retrouver sur une épaule, posé comme un vulgaire sac…

« Je suis pas un sac à patates ! Repose moi tout de suite ! J'ai plus de compte à te rendre, et toi non plus alors lâche moi de suite ! » Je hurle, je me débat, coup de poings dans le dos, coups de pieds dans le vide, je vous l'ai dit, je suis en COLERE !

Je sens qu'on me soulève et puis ensuite quelques secondes de flottement pendant lesquelles je flippe de savoir sur quoi cet abruti vient de me balancer… Soulagement en sentant le matelas sous moi. J'essaie de me relever aussitôt, mais le gros balourd n'est pas du même avis que moi, le voilà qui s'installe sur mon ventre tout en retenant mes mains pour éviter de se prendre un coup… J'attends juste une seconde d'inattention pour lui envoyer un crochet de droit, quitte à me casser une ou deux phalanges, tant pis, mais ça fera du bien…

« Maintenant tu vas m'écouter idiot de mage. »

« Idiot ! Ca je veux bien te croire, j'ai été le plus idiots des idiots de croire ce que tu me racontais ! »

Tu soupires, je me débats…

Tu te penches sur moi et tes lèvres se posent dans mon coup.

« Lâches moi tout de suite, je suis pas d'humeur à ça, fous moi la paix ! Sors d'ici ! »

« Puisque, quoi que je dise, tu ne m'écouteras pas, alors je vais me faire pardonner autrement… » Susurre le ninja.

Ses jambes se resserrent autour de ma taille alors que moi, je fais tout pour me dégager…

Je finis de m'abandonner quand je sens ses dents sur ma veine jugulaire. Je gémis, ma tête rejetée en arrière sur le lit.

Je suis sensible ici, je perds mes moyens, mon contrôle ici…

Je le sais, il le sait…

Et ce connard. Je peux sentir son sourire suffisant.

« Tu aimes ça ? » Sa voix résonne avec ce ton enroué, juste dans mon oreille. J'essaye de dire non mais il recommence à mordre, juste sur la partie située sous mon oreille, juste sur le point de pression.

Mes mains…

Caressantes, aimantes,…

Tu y crois,... hein?

Se faufilant dans une poche pour en retirer un objet précis.

« Dégage ! Imbécile ! » Je fais en lui assénant une droite bien sentie.

Les quatre fers en l'air, Kuro-baka… A moitié hébété, il réagit et se réveille un peu tard. La porte grande ouverte, la clé sur la serrure. La tornade blonde passée et disparue, abandonné, le gros balourd aux ailes coupées…

« Idiot de mage… »


Allez Kurobaka ! Reprends toi ! Plus qu'à expliquer pourquoi et comment cette jolie rouquine c'est retrouvée sur tes genoux !

Dites moi, vous, mes ptits lecteurs adorés...

Vous avez une idée de comment cette situation a pu arriver ?

Allez, en mettant le chapitre suivant, je vous fais un top5 de vos propositions...

Peluche tout le monde !

Bisous.

M.D.San