Disclamer : Rien à moi, à par se qui sort de mon imagination pour le moins bizarre , mais à la fabuleuse J.K.Rowling. Je ne gagne pas d'argent non plus pour écrire cette histoire.
Notes de l'auteur : Dans le premier chapitre, on ne voit pas du tous Harry et compagnies, ni un autre perso, tous simplement parce que personnes n'est en vie, non non me tuer pas quand je dit sa c'est y son pas encore nés, mais ne vous en faite pas ils arrivent au 2ème chapitre, promis. Heu lisez quand même se chapitre parce que y compte aussi, lol.
C'est un PVO aussi surtout la fin, enfin en quelque sorts.
Précisions : C'est ma toute première fic alors soyez indulgent, j'ai pas encore le coup de main.
Pensées : blabla
Sur ce bonne lecture.
Cessiliae…
Chapitre I
Cécilia et une mort tragique
…
Continent de l'Atlantide, 4737 avant J.CC'étais un agréable début de journée ensoleillé, une jeune fille d'environ seize ans, petite peut être 1, 64 m au plus, les cheveux châtains miels, les yeux brin brillants de joie de vivre et de gentillesse, la peau légèrement halée, les trais doux et un tant sois-peux infantile, habillée d'une robe blanche en soie légère et chaussée de sandales elle aussi blanches, un sourire aux lèvre, sortait doucement de se qui semblait être un temple. Alors qu'elle passait près d'un des nombreux ports de la ville quelqu'un l'interpella.
- Cécilia !
- … Sorel ? Tu ma fait peur. Ou est tu ? Je ne te vois pas.
- Ici, regarde par là, sur le bateau!
- Mmm … , oui, attend j'arrive.
Cécilia passa sur un pont de bois, passa sur une passerelle, marcha quelques secondes et put enfin atteindre le bateau.
Sorel était un jeune homme de vingt ans, mesurant deux têtes de plus que sa sœur, il avait les cheveux couleur des blé et des yeux brin claire. Sa peau plus bronzée que Cécilia du aux heures passées à pêcher en pleine mer. Des trais marqués et légèrement anguleux. Il ne portait pas de chemise se qui laissait apparaître ses muscles bien dessinés sur un torse complètement imberbe, le pantalon qu'il portait étais lâche et noir.
- Alors Cécilia, sa vas ? Attend laisse moi deviner d'où tu reviens … le temple ? Demanda-t-il tous en descendant du bateau et en faisant la bisse à sa sœur pour la saluer.
- Aha, très drôle, oui je reviens du temple et toi tu devrais y aller plus sauvant, sinon les dieux v on se fâchés contre toi.
- 'Cilia, j'y vais tous les deux jours, c'est toi qui y vas trop souvent, tu crois pas que une foie par jours sa suffirait ?
- Non, je pense qu'il faut y aller au moins trois fois, une le matin, une le midi et une le soir, et encore …
- C'est le minimum je sais, tu dois être la plus pieuse du continent. Tu devrais devenir prêtresse tu sais ? Enfin, maman voulait que je te dises d'acheter des tomates avant de rentrer, pour se midi.
- D'accord, des tomates c'est noté. Rentre pas trop tard se soir, sinon Laetitia va encore te faire une scène, la dernière fois tu à dormis dehors.
- Ouais, je vais essayer, j'ai pas envie de recommencer, tu sais comment elle est un vrais requin quand elle est en colère, mais bon c'est comme sa que je l'aime.
- Je sais et elle aussi, c'est pour qu'elle agit comme sa. Bon je te laisse je voulais passer à la bibliothèque avant se midi.
- Comme toujours petite sœur. A se soir.
- A se soir.
Elle fit je chemin inverse et pour suivit ensuite sa route vers les bibliothèques de l'Atlantide.
L'Atlantide, le continent flottant sur l'eau. En fait se continent était une grande île constituer comme une pyramide, au sommet il y avait le palais et ses magnifiques jardins constitués de millier de fleurs aux parfums divers et enivrants. Plus bas se trouvais les bibliothèques où étaient entreposer tous les savoirs amasser pas les Atlantes, se qui fait beaucoup. Ensuite on trouvait les écoles, différentes de notre époque, mais sa restait des écoles. Puis les temples, les lieux les plus sacrer pour les habitants de l'île, toutes personnes manquant à ses devoirs religieux étais juger d'hérétiques et condamner à mort, que l'on exécutait dans le cœur même du temple principale. Pour finir il y avais les habitations, construits près des temples pour y accéder plus rapidement et plus facilement, au même niveau, se trouvaient les différent ports, où étaient amarrés des centaine de bateaux aux formes et couleurs variées.
Cécilia arriva, après de longues minutes de marches, devant une des immenses bibliothèque. C'était une impressionnante battisse, constituée de grands blocs de calcaires sculptés de grandes arabesques gracieuses ainsi que de runes pour intacte la magnifique battisse de la corrosion du temps et des intempéries.
La jeune brunette entra sans plus attendre dans le monument et arrivas dans une immense pièce, remplis de hauts meubles de rangement couvert de livres aux contenus incroyable démontrant l'immense sagesse des Atlantes. De grandes fenêtres laissaient s'infiltrer la douce lumière de cette magnifique journée, et éclairaient non seulement les grandes étagère remplis, mais également le plafond qui était incroyablement ouvrager qui représenter comment les dieux avaient donner leurs sagesse aux Atlantes. De larges tables étaient disposer ainsi que de nombreuses chaises aux allures confortables, pour permettre aux étudiants de s'installer à leurs aise.
Cécilia connaissait parfaitement les différentes bibliothèques, pour y avoir passer de nombreuses heurs depuis qu'elle avais apprit à lire. Elle avais toujours été attirer par le savoir depuis son plus jeune age, elle lisait tous se qu'elle pouvait et jamais sa ne c'étais effacer de sa mémoire, elle avait été une brillante élève et avait arrêter ses études à quinze ans comme tous le monde.
…
…
Après avoir passer une heure à la bibliothèque et avoir acheter ses tomates, elle rentra chez elle et sa famille où elle fut accueilli par deux petits bras luis encerclent les jambes.
- Julia ! Ma puce !
- 'Cilia c'est toi ! Tes rentrée ! Je suis contente de te voire tu me beaucoup manquée.
- Ju, la dernière fois que l'on c'est vu c'était hier.
- Et alors, tu ma manquée quand même
Julia étais la petite sœur de Cécilia et Sorel, c'était une toute petite puce de six ans et des poussières, elle avais des cheveux aussi blonds que son frère et de grand yeux bleus qui refléter sa malice.
- Julia, laisse ta sœur rentrer tranquille. Cécilia comment va tu ?
- Bien maman et toi ?
- Sa va, tu ma rapporter se que je t'avais demander, merci, on va manger dans trente minutes, tu pourrais mettre la table sil te plait.
- Bien sur. Maman, où est Laetitia ?
- Elle est sortie pour aller voir une de ses amies, elle devrais bientôt revenir.
- D'accord merci.
Laetitia étais la fiancer de son frère, une jolie jeune fille d'un ans plus jeune que Sorel. Elle avait de longs cheveux noirs comme ses yeux, une taille fine et élancer, elle était belle dans son genre.
Cinq ans plus tard, pendant trois ans.Cécilia était à présent une très jolie jeune femme de vingt-et-un ans, elle c'étais mariée à Félix Dalelias et étais parfaitement heureuse. Ils avaient emménager dans une petite maison près des temples, se qui satisfaisait parfaitement Cécilia qui était toujours aussi pieuse. Elle avait mener une vie tout à fait complète, jusqu'à il y a quelques mois, où son bonheur qu'elle trouvais déjà parfait fut encore agrandit et qu'elle accoucha d'un petit garçon qu'ils nommèrent Elrique. Son frère aussi c'était enfin marié et avait eu, il y a de cela trois ans, une magnifique petite fille nommée Sarah. Julia étais une jeune fille de onze ans maintenant et semblais suivre sa sœur pour se qui est des études, ravissant sa famille, en particulier ses parents.
Mais comme dans tous les parfaits petit tableau de bonheur, il y a toujours un problème, et la, c'est une jeune femme jalouse d'elle, pour sa famille, pour sa beauté, pour son mari, et elle jura, oui elle jura de tous faire pour briser son bonheur, tous se qui était en son pouvoir pour détruire cette perfection.
Et c'est à partire de se moment que la vie si parfaite, si remplis de bonheur de Cécilia commença à s'effriter, doucement c'est vrais, mais avec le temps c'était de plus en plus voyant, faisant couler avec elles une Cécilia qui ne comprenait pas.
Sa commença avec de petit accidents sans importances, des pierres qui tombent en bloquant un passage ou en le réduisant, des fuites dans la maison, les réveilles qui ne réveille pas. Et ça devin de plus en plus troublent, des choses qui disparaissaient, des lettres anonymes qui faisait froid dans le dos, les pierres qui avant tomber à côté de d'elle et finissaient maintenant sur elle, et plein d'autres choses comme ça. Cécilia devenait peut à peut paranoïaque à force de se sentir observée, à force de recevoir ses lettre qui lui promettaient sa mort, elle doutait de tous, elle qui avant était si joyeuse, si douce. Elle se réfugier toute la journée dans les temples, à prier et à demander se qu'elle avais fait pour mériter la colère des dieux.. Mais se qui luis fit le plus de mal fut quand elle rentrait chez elle après avoir priée toute la journée et qu'elle l'entendit, elle entendit son mari entrain de la tromper, chez elle, avec la femme qui lui avait causée toute ses souffrances, mais ça elle l'ignorait. Et le résultat fut que le peux de confiance en elle qui lui restait s'évanouis, en une second.
Elle se posait sans cesse la même question : pourquoi ? Pourquoi sa vie avait pris se tournant. Mais elle ne dit rien, rien de ses souffrances, rien de ses doutes, rien de ses inquiétudes. Elle ne supportait plus les contactes avec son mari, sa famille et même son fils, elle s'isolait de plus en plus du monde, tombait en dépression, elle ne se nourrissait presque plus, Cécilia était d'une pâleur et d'une maigreur effrayantes.
Sa vie déjà brisée fut arrêter se matin la :
Un matin comme les autres, Cécilia s'apprêtait à sortire pour aller se réfugier dans le temple Aeria la déesse de la bonté quand quelqu'un frappas à la porte. Cécilia ouvris et sur le seuil se trouvait un soldat, un soldat qui scella son destin. En quelques mots elle fut emmener dans les donjons du palais. La cause ? Elle avais été jugé coupable d'hérésie et condamnée à mort sur le bûché, bien sur elle n'était pas du tous coupable.
Pendant les deux semaines la séparant de son exécution elle fut torturer de toutes les façons possibles et inimaginables. Et arrivas le fameux jour de sa mort :
…
Une faible lumière réussissait à filtrer à travers la minuscule fenêtre en haut des murs de la prison dans la qu'elle on m'avait jeté sans aucunes arrières pensées. Depuis combien de temps étais-je enfermée ici ? Je ne contais plus à présent, ma vie allait s'arrêter sur un bûcher et tous le monde s'en fichait. Tous celas était finalement la faute de cette femme, celle qui étais venus tous m'avouer je ne sais plus quand, cette femme que je ne connaissais pas mais qui elle apparemment si. Ses mots mon fait mal, au delà de la douleur mental elle à touchée mon cœur quand elle ma avouer que mon mari et ma sœur l'avait aider, pas au début certes mais pour me tuer, mon mari ? Je ne lui faisais plus confiance de toute façon, mais ma sœur, pourquoi elle ? Je n'en sait toujours rien.
Le geôlier ouvre la porte et me fait sortire, il m'arrache presque le poigner à tirer dessus comme sa, mais je ne sent plus la douleur à présent. Il ne m'emmène pas dans les salles de torture, serais donc le jour de mon exécution ? Sur-ment, j'entend les cris du peuple dehors.
Le soleil haut dans le ciel me brûle ma peau devenus fragile après toutes les lacérations au fouet, martinet et couteaux reçut, mes yeux aussi sont agressés, passer tous se temps dans le cassis obscurité n'a pas joué en ma faveur. Les reste de mes aillons son à présent couverts de fruits et légumes pourris, les personnes rigoles en me voyant, ils me jettes toutes sortes de projectiles, me traitent de monstre, de saleté, mais ça ne m'atteint pas, après tous quand je serais morte es que je m'en souviendrais ? Non je ne pense pas.
Nous arrivons au temple de la déesse Sadarès, déesse de la justice, pardonner moi, j'ai pécher, je n'ai pas put venir déposer mes offrandes depuis je ne sais combien de temps.
Le plateau ou est disposer de nombreuses bûches est déjà disposer et n'attend plus que moi, il me tend les bras, dans cette endroits si familier à mes yeux, cet immense endroit fait de marbre et d'or.
On me fait monter sur l'estrade, une personne d'on je ne peut distinguer le visage m'attache au piqué en métal tendis que les gent cris : A mort le monstre.
Un homme déroule alors un parchemin et lis à haute voix :
- Cécilia Dalelias née Tolérès, vous avait été jugé pour hérésie. En fonction de la loi 26, alinéa 1, vous avait été condamner… a mort …
Voilà c'est dit, je n'écoute pas le reste, je n'en est rien à faire, tous se qui compte c'est que j'ai été condamné à mort pour hérésie. C'est quand même ironique non ? Moi bien sur je savais que j'allais mourir un jour, mais jamais je n'aurais pensé que je serais brûler vive, et encore moins pour hérésie, mais les dieux on choisis un destin pareille pour moi et je l'accepte.
Là, dans la foule je peut clairement distinguer les visages de ma famille me regardant sans émotions, même mon frère, j'étais si proche de lui avant, mais maintenant j'ai l'impression que ma mort ne lui fait rien. Et cette femme, pendu au bras de Félix qui lui tien lâchement notre fils, de tous c'est lui, mon petit bout de choux, que j'aime le plus, puis tu m'excuser de ne pas m'être occuper de toi plus souvent les trois dernières années, c'est se que je regrette le plus, mais les erreurs sont faites et je ne peux revenir en arrière.
Le feu vient d'être allumer, la chaleur et le fumée qu'il dégage m'étouffe, mon corps suinte de sueur, les flammes montent doucement le long des bûches rendant mon appréhension insoutenable. Et soudain je les sent, ses langues de feu me léchant les jambes avec cette douleur inhumaine, et je cris, je cris pour essayer désespérément de faire partire cette douleur qui ranime toutes les autres.
L'odeur de la chaire brûler envahissait le temple, cette odeur qui témoigner de le douleur dont était témoins Cécilia. Les flammes remontaient le long de sont corps en mangeant la moindre parcelle de peau, entrant à présent dans son ventre en carbonisant ses organes vitaux, déjà la vie s'échappait de son corps. Le feu fini son travaille en lui brûlent le visage et en effacent les derniers hurlement de douleur, emmenant avec eux la vie de Cécilia.
