Oya,
Et voilà un autre fandom bien vide par rapport à tout son potentiel! Et ça fait...très, très longtemps que je souhaitais poster. Mais enfin, me voilà! Et pour une petite fiction de, allez 7 chapitres je pense? Bref, je vous souhaite une bonne lecture et une bonne saint valentin!
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Pairing: Ali Baba/Aladdin principalement, puis un léger Hakuryuu/Morgiana.
Genre: Supernatural / Humor / Romance
Disclaimer: Rien n'est à moi! Et je me fais pas d'argent dessus ^^!
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Je ne mords pas et adore répondre aux commentaires!
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With You and With Me
Prologue
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Nous sommes-nous rencontrés
Par hasard
Dans ce monde multicolore ? Toi et moi
Je ne crois pas si facilement au destin,
Mais je veux faire le même rêve
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Dans cet endroit, dans cette chambre aux quatre murs blancs purs, maintenant dans les bras de l'homme qui a aidé à ta naissance, devant le regard ébloui de la femme qui te voulait tant, un souhait est lâché par l'homme nommé ton père: ''Que Dieu le protège.''. Mais nul Dieu ne te protège. Juste l'être encore ignorant que je suis, juste l'être te découvrant que je suis, juste l'être qui lui te protégera. Car du souhait d'un homme je suis née, et de mon souhait je te protégerai.
Tu es l'âme qui me donna un nom, je suis le gardien qui gardera le tien: Ali Baba.
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''Ces connards sont toujours pas là!''
Le jeune homme blond envoya son poing dans la vitre. Mais c'était quoi ce foutoir encore? Il avait payé pour être livré aujourd'hui à huit heures et quelle heure il était? Oh juste DIX-HUIT HEURES! Il allait les tuer ces stupides déménageurs! Il avait sa vie à gagner lui! Et s'il n'avait pas de tables, il se voyait assez mal servir ses clients. Un café sans table, non mais sérieusement! Il avait envie de hurler devant ses incompétents qui se faisaient payer hors de prix en proclamant haut et fort être fiables et pointilleux. Il avait envie de rire jaune. Il devait ouvrir son café dans trois jours. Si tout son matériel arrivait comme ça, il allait avoir du mal. Il se demandait encore s'il n'allait pas demander remboursement ou demi-prix s'il n'arrivait pas dans quelques minutes. Il soupira. Il n'aimait pas être si énervé et surtout sur de pauvres gens avec un boulot de merde comme eux. C'est sûr, ils étaient plus à plaindre qu'autre chose au fond.
Son téléphone se mit à sonner et il le sortit en décrochant, stoppant ses cents pas en même temps. Il avait tendance à s'arrêter pour discuter au portable.
''Allo?
_Monsieur Saluja?
_Oh, c'est vous.
_Excusez-nous du retard mais vous savez avec cette neige notre camion a été bloqué pendant des heures et...''
Qu'est-ce qu'il disait déjà? Des pauvres gens avec des boulot de merde. Il n'avait vraiment pas à s'énerver contre eux.
''Ce n'est pas grave, savez-vous quand vous pourriez me livrer?
_Oh pas d'ici demain matin, nous sommes navrés!'' Navrés, hein?
''Si ce serait possible, j'aimerai que mes meubles soient vraiment à l'heure cette fois.
_O-oui! Nous ferons notre maximum! En revoir.
_En revoir!''
Ali Baba eut un petit sourire en rangeant son téléphone. Cet homme avait tout de même prit la peine de l'avertir de leur retard. Il s'y était juste prit... LEGEREMENT trop tard non? Il relança son poing dans la vitre. Il allait définitivement se faire rembourser la moitié de son paiement! Il n'avait pas d'argent à jeter par les fenêtres comme ça, bordel! Il détestait ce genre de société. Si vous n'êtes pas capables de gérer votre boulot, ne prétendez pas le pouvoir!
''Ali Baba?
_Qui a-t-il Morgiana?''
Il regarda la jeune femme et lui sourit doucement. C'était une jolie demoiselle, encore habillée de son ancien uniforme, elle avait les cheveux d'un doux bordeaux avec une petite partie reliée. C'était une des nombreuses enfants sous la charge du gouvernement -il n'avait jamais vraiment su pourquoi en fait, il savait juste qu'elle était extrêmement forte dans tout les sports et n'avait aucun parents.-. Ali Baba l'avait prise en pitié à cause de son ancien foyer -où elle se faisait battre!- et lui avait proposé de travailler gratuitement pour lui au café quand elle n'avait pas cours en échange de ses repas matin, midi et soir et d'une chambre à coucher. Elle n'avait pas hésité deux fois.
''Il y a un problème avec les déménageurs?
_Du retard, beaucoup de retard. J'hésite à les payer en faites!''
Elle se renfrogna sous son ton un peu acerbe et baissa les yeux. Le blond soupira et posa sa main sur l'épaule de la demoiselle.
''Tu devrais te coucher, demain tu rentres dans un nouveau lycée!'' Il afficha son plus doux sourire et se vit offrir le même en échange d'un hochement de tête.
Il la vit se diriger vers sa chambre et décida de se rendre dans la sienne. En montant les escaliers, il se dit avoir vraiment eut de la chance avec cette héritage. Son père était un des trois hommes les plus riches du pays, mais lui fils bâtard n'avait jamais rien espéré de lui. En fait, il ne savait pas qu'il était son père avant ses seize ans où sa mère qui refusait toujours de lui parler de son paternel avait enfin cédé. Elle lui promit une rencontre et celle-ci, une semaine plus tard arriva. Il rencontra son père, celui-ci l'embrassa et se mit à pleurer en implorant son pardon. Ali Baba avait alors tout oublier de sa rancœur et l'avait à son tour enlacé. Il avait accepter son père et lui son fils mais aucun ne cherchait plus que des rencontres quotidiennes dans un café à discuter. C'est pour ça qu'il avait été étonné de se trouver dans le testament de son père. Il lui avait léguer le plus beau bâtiment de toute la ville, un vieil hôtel garni d'architecture et d'histoire. C'était peu par rapport à la richesse qu'avait obtenu ces autres descendants mais pour lui c'était un trésor. Après réflexion, Ali Baba avait décidé d'en faire au rez-de-chaussé un café agréable et culturel, ensuite, il garderait le premier étage pour lui et Morgiana -avec deux chambres d'ami- et louerai les trois autres étages.
Bien sûr, rien n'était fait, mais quand il entra dans sa chambre, il ne pût s'empêcher un soupir de plaisir. Il n'avait jamais cru possible pour lui d'avoir plus que le studio qu'il partageait avec sa protégée peu avant. Il s'effondra sur le lit. C'était tellement...bon... Le lit avait un matelas absolument jouissif. Il relâcha un soupir.
Soudain il sentit un poids durant un instant sur le lit. Il fronça les sourcils mais n'ouvrit pas les yeux. Un second furtif. Il tiqua et au troisième il ouvrit brusquement les yeux. Qu'est-ce que c'était que cet animal qui ricochait à côté de lui?!
Juste devant lui, un enfant de, aller, douze ans au plus le regardait avec un grand sourire. Il avait de grands yeux d'un bleu qu'il était sûr de n'avoir jamais vu, pourtant il lui semblait que si; sa chevelure se liait dans une tresse très longue, un peu comme celle de Raiponce. Puis ses vêtements aussi décodés, ils semblaient le rendre ange: une robe blanche très fine, comme en soie. Mais en faite ce qui poussa Ali Baba à hurler...
''HIAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA!'' comme une fillette...
...fut que le garçon, là, juste devant lui, avec un mignon petit sourire, et bien, il flottait.
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Et l'histoire appelée vie continua...
