Bonjour chers lecteurs…
Tout d'abord cette fic n'est pas de moi. Elle est de yune19 " What I hate about you" qui me la gentiment prêté pour que je puisse vous la faire partager…
Thank you Yune19 !!!
Sinon la traduction est de moi. Et si vous aimez je la continuerais…
Ben voilà je vous laisse découvrir…
Chapitre 1.
Je poussai un profond soupir.
L'école, toujours le même train train quotidien… Les cours, les rumeurs, les profs, les devoirs,…
A peine ai-je eu le temps de fermer mon casier que Alice me surpris par l'arrière me faisant sursauter.
C'était une de manie d'Alice. Me saisir à l'improviste. Comme si elle avait la capacité d'apparaitre dans le vide.
Je tentai de calmer mes battements de cœur précipités. Et repris ma respiration qui s'était arrêté.
« Hé Bella. » Alice souriait, semblant plutôt amusé de ma surprise.
De toutes mes amies Alice était « l'énergique ». Le genre d'amie dont on se demande parfois si elle ne cache pas une batterie de rechange.
Vraiment! Jamais elle ne ma sembler être fatiguer.
Mais je l'aimais comme ça. Alice était mon amie, ma confidente, mon petit lutin qui m'apportait un peu de féérie et de rire dans cet existence un peu monocorde.
« Hé Alice qu'est ce qui se passe ? » Je lui ai demandé pendants que nous marchions pour aller en cour.
« Je me demandai si tu pouvais être un amour et me dépanner pour mon devoir de trigo. Je n'ai vraiment rien compris du chapitre que monsieur Frederick à donner le semestre passé. Je suis désoler de te demander ça mais j'ai en plus un essai la semaine prochaine et… » Je l'empêchai de continuer
« C'est bon, il n'y a aucun problème vraiment mais tu devra m'aider avec la littérature. Je n'arrive pas trouver le prochain livre que nous allons avoir.
Alice ma tendu son petit doigt blanchâtre. « pinky c'est juré ! » je lui souri et tendit à mon tour mon auriculaire. C'est sa façon à elle de sceller une promesse. Ont faisait ca depuis les primaires. De tous mes amis Alice était certainement la plus enfantine. Comme si elle n'avait jamais vraiment grandie.
Et moi je cédais parfois à ses caprices enfantins. Comme maintenant.
Toute joyeuse elle scella notre promesse en croisant nos doigts.
Ses yeux pétillaient de mille feux. Comme si ce simple geste la comblait de bonheur.
Et je doigt avouer que le bonheur est communicatif.
Je l'adore tellement. Ma Alice.
C'est qu'alors que son frère passa devant nous dans le couloir. Et mon sourire se fana.
Edward Cullen.
Il était actuellement le mec le plus « hot » de toute l'école. Et chaque individu femelle de l'établissement avait au moins fantasmé une fois sur son corps d'apollon.
Pas moi cependant. Et j'en ressens une certaine fierté.
Depuis le jour où j'ai fait sa connaissance par Alice j'ai tout de suite détesté Edward.
Bien sur il était mignon, c'était indéniable mais il a toujours été trop fier trop suffisant, je l'ai tout de suite trouvé vraiment désagréable ce qui lui enlève tout charme.
Il a toujours su qu'il pourrait avoir n'importe quelle fille ici. Et je crois que ça lui est monté à la tête, le pauvre garçon. Je soupçonne qu'à un moment il a même essayé de m'avoir. Mais il n'a pas réussi.
Alors depuis, Je suis connue pour être la fille que Edward Cullen n'a pas pu obtenir et ne pourra jamais avoir.
Je lui étais totalement indifférente. Et ça, son ego na pas pu le supporter.
Alors il ma détester à son tour. Nos rapport on depuis été baser simplement au stade de la haine.
Mais je m'en fiche. Moi j'ai Alice. Elle, elle ma toujours soutenue et aimer comme je suis.
Avec elle je peu enfin être simplement moi.
Pendant que nous marchions, vers la salle de cour et donc vers lui. J'ai jeté un bref coup d'œil sur l'Edward en question et je l'ai vu me lancer un clin d'œil.
Je sentis mes joues s'empourprer de colère.
Il se fou de moi, naturellement. Il a toujours aimé faire ca. Ca m'irrite et il le sait. Je peux sentir d'ici sa satisfaction. Il sait que je ne peux m'empêcher de réagir à ses petits jeux stupides. Et ça l'amuse de me voir en colère. Un vrai gamin en somme. Et dire qu'il est plus âgé que moi.
La chose la plus mature à faire était de d'ignorer ses provocation ce que je fis.
Comme d'habitude il passa outre et s'arrêta comme il le faisait chaque matin au casier de Tanya laquelle il embrassa langoureusement.
Tanya Haver's. Blonde yeux bleu, grands seins, très jolie et apparemment bonne au lit. Ho et a oui j'oubliais, pour compléter le tout la jeune fille étais doté d'une lentille à la place du cerveau.
Une « femme » que tout homme voudrait avoir. N'est ce pas ?
Sérieusement niveau QI, ils allaient très bien ensemble.
Je me demandais vraiment ce qu'elle faisait encore à l'école je veux dire à par enfoncer sa langue dans la gorge d'Edward, elle était nulle en tout et ne s'intéressait à rien hormis son verni à ongle et du dernier magazine de mode.
Ha oui, c'est vrai les parents… Il ne faut pas les décevoir n'est ce pas ? Les pauvres…
Ils auraient du l'envoyer dans une émission de télé réalité, elle aurait parfaitement eu sa place au coté de Paris Hilton et Nicole Ritchie, ou peut être dans un magazine playboy…hum.
En tout cas c'était les feux de l'amour en direct avec eux. Ça passe, ça casse, ça repart…
Dieu, combien de fois l'a-t-elle trompé sous son nez ?
Enfin. Pas qu'il soi naïf, non disons qu'il n'en a juste rien à faire. Après tout il le faisait aussi non ?
Un joli couple de malade, pas vrai ?
Heureusement la cloche sonna m'arrachant de cette affreuse vision d'horreur.
Pas besoin de voir encore Edward et Tanya se léchant les lèvres comme des petits chiots affamés.
Beurk à vous couper l'appétit…
Enfin, merci… je voulais justement commencer un régime.
Je fis un bref signe de main à Alice et entra en classe. Je m'installai à ma place habituelle et me mit à griffonner sur mon carnet de bloc attendant le professeur.
A mon grand étonnement Edward entra dans ma classe de littérature anglaise et s'assis à ma droite parfaitement à l'aise prenant possession du lieu comme si il était chez lui.
Dieu seul sait pourquoi.
De ma vie je n'ai vu Edward Cullen entrer dans une classe de littérature.
S'était –il tromper de classe ? Faisait-il le malin ? Était-ce une blague ? Apparemment non car le professeur entra et ne fit aucun commentaire sur sa présence et commença son cour naturellement.
Pourtant, je pouvais mettre ma main au feu qu'il a toujours détesté la littérature.
Je ne lai jamais vu tenir un livre. Je n'étais même pas sûr qu'il sache lire.
Edward sentant que je le regard avec insistance. Se tourna légèrement vers moi et me fit un de ses petit sourire qu'il savait qui avaient dont de m'énerver.
J'ai immédiatement détourné mon regard et essaya de calmer ma respiration lourde de fureur.
Aller savoir pourquoi j'ai pensé alors que le semestre n'allait pas être de tout repos.
Cependant sa présence à ce cour n'a pas été la seule chose qui m'ai étonné.
Durant ce cour, j'ai appris que outre le fait que ce garçon savait lire, (autant pour moi) je me suis avouer à contre cœur qu'il était assez « futé ». (Non, on ne pense pas intelligent pour ce genre de garçon.)
Le point négatif est qu'il adore s'en vanter. Comme maintenant en fait : il vient de répondre à une question du prof qui, vu la mine de celui-ci, s'avérait juste.
Et bien sur il ne lâche pas ce petit air suffisant à vomir.
Etrangement sa façon de parler ma toujours donné l'envie de vouloir faire heurter sa mignonne petite bouille avec quelque chose. Genre le mur à coté de lui, son banc, ma main…
Mais ne soyons pas violente ici… cela ruinerai ma réputation de fille sérieuse.
Tien j'étais tellement absorber par mes pensées. Que je n'ai pas entendu la question de M Gibbs.
« Heu désolé ? Pourriez-vous me répéter la question s'il vous plait ?» J'avais prononcé cela d'une toute petite voix. Pendant que le professeur devenait littéralement rouge de colère. (Ce prof détestait les élèves inattentif à son cour) je pouvais entendre Edward rire tranquillement. Je me tournai légèrement vers lui et je vis qu'il arborait un grand sourire taquin.
Ma main me démangea soudainement. Mais je me disais que il ne valait pas la peine que je me casse un ongle pour lui.
En plus Alice serai tellement furieuse… que je me casse un ongle.
Apparemment le visage du professeur avait décoloré. Et me reposa, d'une voix calme quoi que un peu tendue, la question.
« Est-ce que vous pensez que le monde créé par l'auteur dans ce livre semble réaliste ? Pourrait-ce être une prévision de ce que serait notre future ?
M. Cullen semble le penser. Je vous demande votre opinion Mlle Swan. »
Je réfléchi rapidement essayant de me rappeler du sujet du livre.
Ha…oui
C'était un monde de dingue à coup sur pas crédible du tout. Je veux dire des moniteurs qui observent chaque fait et geste de chaque être vivants. Plus de sentiment, plus d'amour, juste des machines de chair. Ca donne la chaire de poule. Je ne voudrais vraiment pas vivre dans un monde comme celui là.
« Je n'espère vraiment pas » ai-je répondu catégoriquement à la réponse.
Le professeur me regarda pensivement. Quoi ? J'avais dit une connerie ?
« Et pourquoi pas Mlle Swan ?
Je pris une grand inspiration et formula une réponse structurée et cohérente.
« Bien que je conviennes qu'une certaine mesure de surveillance est nécessaire pour notre sécurité. Il y a certaine frontière à garder. Les gens on des vies privées qu'on ne devrait pas violées. Et de plus je ne voudrais pas être traité comme une machine sans sentiment. Ne plus rien ressentir doit être affreux. Etre capable de ressentir des émotions et de la compassion est le fondement même de l'humanité. C'est ce qui nous différencie encore des machines. »
Maintenant semblait intéresser par ma réponse. De même que la majeure partie de la classe y compris Edward.
« Ouai… la preuve que tu es bien une fille. Lança Edward en me regardant.
« Il n'y a que le sexe faible pour penser de cette manière. Les sentiments, le romantisme,… il n'y a que vous pour y penser avant toute chose. L'amour avant tout n'est ce pas ? Avant la raison, et bien sur avant le bien de l'humanité.
Je pense qu'un monde sans sentiment fonctionnerait beaucoup mieux.
Il éviterait à coup sur beaucoup de querelles inutiles. Je pense que Bella comme la plupart des filles est un peu trop sentimentale et pas assez rationnelle… lâcha Edward en me regardant avec défit.
Bien apparemment Edward comme d'habitude semble vouloir commencer les hostilités. Et j'étais trop bien monté pour me laisser faire et l'ignorer.
Je jure que si je pouvais je l'étranglerai bien. Lui et ses commentaire sexiste il peu les mettre ou je pense. Moi sentimentaliste ? houuuuu je le hait !
« Je suis désolé je ne vois rien de mal avec mon point de vue. Il est tout à fait rationnel Que ferions-nous de l'humanité si elle na plus rien d'humain. Comment peux-tu simplement oser accepter une idée pareille ? » Je lui ai demandé.
Dans les dents. Prend ça Edward…
Edward pris une inspiration pour me répondre mais la coche sonna à cet instant et il rangea ses affaires avec un sourire un peu forcé.
Apparemment j'avais gagné la partie, et il le digérait assez mal.
Mais avant qu'il n'ait pu franchir la porte M Gibbs l'arrêta et nous demanda à tout les deux de rester encore 5 minutes après le cour.
Quand la salle fut entièrement vide il nous demanda de nous approcher de son bureau.
« Je voulais d'abord vous félicité. Je vous trouve tout les deux très doué. Je pense que de la classe vous être les seuls qui lisent réellement le livre.
Et quoiqu'elles soient totalement opposée j'aime vos idées et la façon dont vous les exposées.
C'est pourquoi j'ai décidé de vous affecter sur un projet. Vous aurez environ trois mois pour le réaliser. Je désirerai que vous lisiez un de mes romans préféré « La plume du diable » et que vous fassiez une rédaction la dessus.
Naturellement le reste de la classe aura aussi un projet semblable au votre. Mais je pense que vous seul puissiez comprendre et analyser un livre de ce calibre. Mais attention je ne veux pas de commentaire séparé. Je veux que vous travailler en équipe. Compris ? »
Le professeur semblait vraiment enthousiaste mais moi j'hésitais entre bailler et le regarder de travers. Pensait t'il vraiment que je travaillerais avec Edward Cullen de mon plein gré ?
Edward et moi nous nous regardions. Et miracle pour la première fois nous étions d'accord sur un point. Travailler ensemble était la dernière chose que nous voulions.
Pour ce qui est de l'excuse bidon à donner Edward me devança.
« Avec tout le respect que je vous dois M Gibbs, je ne peux pas travailler sur ce projet j'ai déjà beaucoup de travail à rattraper sans pour autant en avoir encore avec elle. Je pense qu'elle va beaucoup me retarder dans ma rédaction avec ses idées aussi futiles qu'idiotes. Pourrai-je donc travailler seul cette fois?
Retarder dans sa rédaction ? Idée futile et idiote ? Il se fout de moi là ?
Je vais le tuer lui et ses excuses foireuses. Mais pour ce qui est de répliquer, le professeur me devança.
« Monsieur Cullen veuillez arrêter cette mascarade. Je suis sure que les capacités cérébrales de mademoiselle Swan son toutes à fait dans les normes, après tout elle ne demeure pas moins l'une de mes meilleurs élèves. Je ne pense pas qu'elle vous ralentira dans ce projet au contraire.
Pour ce qui est du travail à rendre de ma classe, je vous l'enlèverais si cela devient réellement un fardeau.
Mais je crois savoir que la raison de travailler sur ce projet est tout autre Si vous pensez que je n'ai pas noté votre animosité entre vous et miss Swan vous vous tromper lourdement. C'est d'ailleurs une des raisons pour laquelle je pense que vous ferez une équipe parfaite. Si vous ne surmonté pas cette animosité et travailler pas ensemble afin de me rendre un devoir a la hauteur de mes espérance vous serez tout simplement recaler pour ce semestre. Est-ce bien compris ? »
Sur ce le professeur pris ses affaires et quitta la classe.
Pour la première fois Edward et moi restons sans voix. Aucune sortie de secours cette fois ci.
Je pouvais sentir la colère émaner de lui. Il était furieux… encore plus que moi. Pour une fois j'étais contente de ne pas avoir ouvert la bouche la première.
La façon dont le professeur l'avait remballé avait été vraiment… divertissante.
Après quelques minutes de silence, il me fit face. Comme je l'avais deviné ses yeux étaient noirs de fureur. Était ce du à la confrontation avec le professeur ou le fait qu'il doive travailler avec moi. Ou bien les deux. Je ne pu le dire.
Et je ne pu m'étaler encore plus sur ces questions quasi existentielles qu'il me lança d'une voix sifflante de colère et de sarcasme « Alors, nous allons devoir travailler ensemble. Cela va être dur. Ma très chère camarade. »
Sur ce il quitta la classe. La démarche droite.
Moi je restai la un moment sans bouger. Les jambes tremblantes.
Ses mots. Cela ressemblait vraisemblablement à une promesse de faire de ma vie un enfer…
Après ce fiasco je n'avais plus qu'une envie… rentré à la maison m'enfermer à clef et ne jamais plus en ressortir. Je me rendis compte que je vivais un cauchemar et que je n'allais certainement jamais me réveiller.
Epov
C'était tout simplement trop. Depuis que je suis sorti de la salle je n'ai pas pu m'arrêter de penser à ça. Jusque ou cela va t'il m'amener?
Je n'ai pas envie de travailler avec Bella. Tout comme elle, vu la tête qu'elle faisait.
Je savais qu'elle prendrait littérature, elle a toujours aimé lire. N'importe qui, qui la connait le sait.
Je savais les risques que je prenais en prenant cette option. Si j'avais su. Mais pourquoi ce putain de prof veut-il me coller avec elle maintenant?
Qu'a t'il vu de bon dans notre soi disant équipe? C'est du suicide!
Je nous vois déjà se querellant et criant pendant les longues soirées à faire ce projet. Nous allons nous entre-tué.
Bella est trop sensible et susceptible pour mon propre bien. J'ai toujours pensé que les choses étaient si simples avec une bonne dose de conflit. Je n'étais pas d'un naturel bagarreur mais c'était ma philosophie. Les ennuis j'aimais ca. Surtout lorsque c'est moi qui les causais. Et j'aime tellement la tourmenter. Elle est tellement drôle quand elle s'énerve. Sinon elle redevient d'un tel ennui.
Elle ma toujours traiter de connard et de gamin à cause de ça.
En tout cas c'était défini j'étais furieux, enragé même à l'idée de m'être fait avoir…
Je tentai de me calmer mais c'étais peine perdue… Ainsi vous pouvez imaginer comment j'ai réagi lorsque Tanya est arrivée m'enlaçant vivement. J'ai voulu la jeter contre le mur comme on le ferait avec un jouet répugnant dont on ne veut plus.
C'était idiot de vouloir ça alors qu'elle n'avait rien fait de mal. Mais après tout n'étais-je pas l'idiot pour Elle?
Je soupirai tentant d'évacuer cet élan de violence qui voulait me submerger.
Tanya sus directement que quelque chose me tracassait.
« Quelque que chose ne va pas? Tu te sens mal? »
Elle ma regarder dans les yeux. Elle était véritablement inquiète pour moi. A cet instant, je me suis détesté d'avoir eu de telle pensée à son égard quelques instants plus tôt.
Tanya et moi ça date déjà de plus d'un an et bien que je ne l'ai pas aimé, je l'ai aimé.
Je veux dire, j'ai aimé son corps chaud et rassurant, j'aime qu'elle s'inquiète pour moi. Qu'elle m'écoute parler pendant des heures.
Elle est un peu comme un ami mais avec l'avantage d'être féminin...
Sans être vraiment une vraie amie...
Car le seul mauvais coté est qu'elle demeura toujours une vraie garce. Elle ma tromper, à coucher avec moi mais également avec d'autres hommes. La plupart était même dans ma classe.
La première fois que je l'ai surprise, c'était au milieu de la première année de lycée.
Nous avons alors rompu. Mais une chose menant à une autre nous nous somme remis ensemble.
Puis nous avons rompu.
Et là encore nous nous sommes remis ensemble...
Maintenant cela fait un an. C'est la première fois que l'on dépasse le cap des un an.
Je me demande combien de temps cela va durer maintenant.
« Ce n'est rien, je suis juste bloquer dans une situation que je n'ai pas voulu. »
Je l'ai embrassé sur la joue et je l'ai prise dans mes bras afin de clore le sujet. Nous, nous somme alors dirigé ver notre prochaine classe.
« Explique. » Lança telle avec ses yeux triste de chien battu.
J'ai du étouffer un rire. Elle était si mignonne quand elle fait cela.
« C'est ma classe de littérature je dois faire un projet avec Bella... »
Elle m'arrêta en posant un doigt devant mes lèvres.
« Bella? Mais tu la déteste depuis que tu es petit. Tu dis toujours que c'est une garce. Qu'elle est toujours occuper à se plaindre. Une miss ennuyeuse »
Je la coupai de mon regard furieux.
Je le savais tout cela. Je détestais que les gens répètent ce que je sais déjà.
« Vous ne pouvez pas demander à votre prof de changer ça? »
Je soupirai furieusement.
Elle ne croyait pas que j'avais déjà essayé?
Devant mon silence pesant, elle comprit que je n'étais pas d'humeur à en parler et essaya de changer de sujet... Elle parla de ses plans d'achat de cet après midi.
J'ai alors su que j'avais intérêt à m'éclipser si je voulais encore vivre. Aucune envie de faire les magasins avec elle.
Ainsi je l'ai embrassé et aussi vite que je pu, je parti pour ma prochaine classe. Biologie puisque je n'ai pas voulu prendre la chimie. Je déteste la chimie. Mais comme il me fallait encore une classe de science pour compléter mon horaire...
Et deviner qui prend également biologie? Oui… Bella Swan en personne.
Je sentis ma colère affluer de nouveau dans mes veines.
Tout juste ce que j'avais besoin.
Non seulement je me tape une connerie de projet avec elle, mais en plus je me la tape en Bio maintenant. Génial. Et comme je suis en retard, il ne reste plus qu'une place à coter d'elle. Comme par hasard.
Quelqu'un doit m'en vouloir là haut. C'est sur.
Mais pourquoi n'y a-t-il donc jamais personne à coté d'elle?
A c'est vrai ... Je suis idiot.
Tout le monde doit se rendre compte à quelle point elle doit être ennuyante à mourir.
Bella ne s'aperçut pas que je passais derrière elle. Elle était trop occuper à faire des petits dessins sur ses feuilles de note.
A contre cœur je m'assis à coter de miss ennui. D'ailleurs assis fut un beau euphémisme. Je suis littéralement tombé sur ma chaise, tel un gros boulet, la faisant sursauter par la même occasion. Là je crois qu'elle ma enfin remarquer.
Elle me jeta un regard noir et retourna à ses petits gribouillages, ce qui m'arracha un sourire.
Bien apparemment elle non plus ne désirait pas de ma présence.
Parfait!
Par la suite j'ai du passer toute l'heure de cour assis le plus loin possible de sa chaise, évitant n'importe quel contact avec elle. Comme si elle était affectée une maladie étrange dont personne ne désirait attraper.
Je sais c'est idiot et puéril de faire ca, mais la scène de ce matin ma suffit. Je préfère ne pas la déranger. Je n'ai pas envi de me battre contre elle là maintenant.
Tout ce que je veux c'est que l'on me laisse en paix.
J'essayai donc de me concentrer sur le cour. Ennuyeux, alors j'essayai de passer le temps. Je regardais par la fenêtre les élèves passer dans la cour.
Observait les différentes marques de voiture sur le parking.
Mais le ti tac de l'horloge me rappelle combien le temps pouvait être long lorsqu'on s'ennuit.
Je me tournai vers Bella. Elle regardait le professeur l'air sérieuse et semblait ne plus se soucier de ma présence... Ce qui m'étonna. Elle avait l'air si concentré. Je me rendis compte qu'elle devait toujours être comme ça lorsque je n'étais pas dans les parages pour la faire sortir de ses gonds. Tranquille, calme, réfléchie.
Je me rendis compte que je ne l'avais jamais vu sourire en ma présence.
Le son de la sonnerie annonçant la fin du cour tinta comme une douce délivrance pour moi. Ainsi tentai-je de courir hors de la salle de classe aussi rapidement que possible. Mais une soudaine prise sur mon bras m'en empêcha.
Bella. Ses doigts fins s'étaient enroulés autour de mon poignet d'une force que je ne soupçonnais pas.
Je baissai les yeux. Ses doigts étaient comme brulant sur ma peau nue. Je la sentais trembler un peu.
Je lui faisais peur à ce point ? Ou était-ce de la colère ? Du dégout ?
Sentant mon regard insistant sur ses mains. Bella sembla prendre conscience de son geste. Et les retira comme si elle s'était soudainement brûler. Je posai mon regard sur son visage, étonné. Comme j'aimerais pouvoir lire dans ses pensées.
Impénétrable jeune fille..
Elle leva enfin son visage vers moi.
« heum... Edward... » Elle essayait de me dire quelque chose et apparemment elle échouait lamentablement.
Il était évident que cela devait lui en coûter de me parler. Et bien entendu, au lieu de l'aider, j'affichai sur mes lèvres ce petit sourire supérieur qui lui tapait tant sur le système.
Je fis un pas en arrière, croisa les bras m'accola contre le mur et attendit que sa crise de bégaiement passe ou… mieux encore, qu'elle empire.
J'ai toujours été si maladroit avec les filles...
Comme je le préconisais, Bella rougis violement, et bégaya encore plus. On voyait clairement sur son visage qu'elle était plus que gêner et furieuse contre elle même.
C'était tellement… craquant...
Décidant que j'avais assez joué et me rappelant de la mâtiner. Je décidai de mettre fin à sa torture quoique très divertissante.
« Ecoute Bella, n'y voit aucun piège la dessous. Je ne veux pas commencer à me disputer avec toi en ce moment, je veux juste travailler et avoir les points que je mérite dans le projet de littérature et passer la biologie. Je ne veux pas que mes points soit en chute libre à cause de nos petites batailles. Ainsi j'ai réfléchi ... Associé? »
Elle ma regarder bizarrement la bouche grande ouverte... heu ouai… Je pouvais la comprendre... une trêve…Ca ne me ressemblait pas ce genre de chose.
La pauvre semblait se demander si elle n'était pas en train de rêver.
Sur le moment, j'ai failli lui demander si elle avait besoin de s'assoir.
Mais je me suis dit qu'elle risquerait de mal le prendre...
J'ai usé de toute ma patience pour que mes maigres mots prennent le temps de monter à son cerveau et qu'elle les analyse minutieusement.
Finalement elle acquiesça doucement et me tendit sa main.
Hésitant, je fini par tendre la mienne. Sa main était toujours aussi chaude. Sans un regard, je reparti vers mon prochain cour ou je savais qu'elle n'y serait pas. Enfin, j'espérais...
J'avais assez supporté sa présence.
Je n'avais pas envie de prolonger cette tortue dont je savais qu'elle durerait tout le semestre.
Voici voilà… J'ai décider de me mettre à traduire les fic anglaise ….oui oui je me met dans la traduction maintenant !!!…(tout ces trésor qui se cache dans cette langue , je me doit de les découvrir)
Non je ne délaisse pas mes fic à moi mais j'ai juste envie de faire autre chose…
On verra ce que cela donnera… Veuillez m'excuser si il y a des anglophones qui connaissent déjà et que bon ils trouvent que la traduction n'est pas si exacte.
Mes excuses les plus plates. Je ne suis pas super super douer en anglais. (J'ai pas fait d'étude d'interprète/ traducteur) J'ai un niveau normal. Juste ce qui me faut pour comprendre le gros de la fic. (Enfin le gros… je veux dire que je ne sais pas traduire mot à mot. Mais je comprends très bien l'ensemble quoi) Et aidée des traducteurs automatique… ça devrait aller… Tout conseil est naturellement le bienvenu.
J'espère que ce premier chapitre vous à plut… naturellement je la traduis pour moi mais je la poste pour vous… alors ben si vous voulez que je continue il faudra le dire… Enfin…L'écrire…
Ui ui la traductrice n'est pas medium !!
Et désoler pour les fautes d'orthographes je m'améliore mais bon…
Xsou Xsou Malicia Améthyste
