Salut!

Disclaimer: Bon rien est à moi sauf les nouveaux personnages et l'histoire. Et puis... cette histoire, je l'ai écrite il y a quand même longtemps en une sorte d'hommage parodiée de Dawson's creek, mais on m'a dit qu'une autre fic s'appelait déjà comme ça, donc bien important de pas mêler les deux et désolée pour la reprise du nom...

°°°°°, ça veut dire qu'on change de scène

laissez un review °-° !


Épisode 1

Mauvais souvenirs

C'était un matin de septembre. Malgré le soleil radieux à l'extérieur, les élèves ne pouvaient pas sortir se laisser réchauffer par les derniers rayons de l'année; ils avaient des cours.

Harry descendait l'escalier de marbre pour aller déjeuner quand il aperçut Lavande qui pleurait.

– Qu'y a-t-il? demanda-t-il.

– C'est Parvati. Elle est partie avec mon amoureux…raconta-t-elle entre deux sanglots. Moi, son amie! Et elle n'a pas de remords, ha non! On ne peut pas lui faire confiance.

– Mais non, tu verras, le temps va arranger ça. Regarde avec Cho, j'étais jaloux quand elle est sortie avec Cédric, mais maintenant ça va mieux…

– C'est sur, il est mort!

– J'ai fais tout ce que j'ai pu pour le sauver, tu ne te rend pas compte!

– Tu étais jaloux et tu l'as tué!

– Si je suis pour me faire insulter, je pars, dit Harry en partant.

Il partit vers la grande salle, mais il n'avait plus faim.

– Salut! Dit Ron quand il vit Harry arriver à la table des Griffondor.

– Ouin, c'est ça, répondit Harry.

– Pourquoi tu réponds comme ça?

– C'est Lavande qui dit que j'ai tué Cédric pour me vanger.

– Ben voyons! Fais-toi en pas, nous on le sait que tu ne ferais jamais ça.

– Une chance que tu es là, Ron. Tu es toujours là pour moi.

°°°°°

Hermione revenait de la bibliothèque. Elle avait étudié toute la nuit pour remonter ses notes. L'année précédente, elle avait été déconcentrée durant l'examen d'astronomie et n'avait pas réussi cette BUSE. Durant des semaines, son père l'avait insultée à cause de cela, il l'avait traitée de moins que rien, d'idiote.

Jusqu'à ce jour où il était entré dans sa chambre.

– Papa? J'étudie mon astronomie, papa.

– Arrête! Ça ne sert à rien, t'es trop idiote!

Puis, ramassant sa ceinture, il l'avait frappée encore et encore, une fois pour chaque point qu'elle n'avait pas obtenu.

Bien entendu, elle n'avait parlé de ça à personne, elle était bien trop humiliée pour ça. Tout ce qu'elle pouvait faire, c'était redoubler d'efforts pour remonter sa moyenne.

C'était en pensant à cela qu'elle revenait vers la grande salle, quand elle vit le jeune Crivey dans un coin. Il était assis et Crabbe lui donnait des coups de pieds dans les reins.

– Donne-moi ta bouteille d'encre! Ordonna le serpentard.

– J'en ai besoin, pleurnicha Dennis.

– Moi aussi, répondit Crabbe en riant.

Hermione aurait voulu l'aider, mais c'était hors de son pouvoir. Elle continua donc son chemin sans y prêter attention. Les cas de taxage étaient fréquents dans cette école depuis déjà plusieurs années, mais cette année c'était pire que tout. Mais, de toute façon, Hermione avait bien assez de ses propres problèmes.

°°°°°

Vers onze heures ce soir-là, Harry, qui avait écopé d'une retenue en défense contre les forces du mal, rentrait au dortoir.

Il s'installa à une table de la salle commune pour finir son devoir de divination et se rendit compte qu'il avait laissé sa plume au local de Mr. François Pouliot, le nouveau professeur.

Harry se releva et repartit vers le local de Mr. Pouliot. Cet homme était petit et maigre et semblait avoir du poil sur tout le corps; à l'exception de la tête. Il semblait avoir la plus grande difficulté à faire des phrases syntaxiquement correctes, mais il y arrivait tout de même la plus part du temps.

La classe de Mr. Pouliot était situées très loin de la salle commune des Gryffondor, et il était presque onze heures vingt quand Harry franchit le dernier couloir le séparant du local. Il s'apprêtait à tourner la poignée (en espérant qu'elle était déverrouillée) quand il entendit un gémissement.

– François…

– Pas si fort, Parvati… On pourrait nous entendre…

– Mais François… Tu me fais si mal… J'ai une plume qui me rentre dans le dos!

– Encore quelques secondes, ma belle, et je te donnerai des points de plus sur ton examen…

Cela en était trop pour Harry. Il abandonna sa plume à Parvati et retourna à sa salle commune. Puis, trop écœuré pour travailler, il alla se coucher.

°°°°°

Les jours continuèrent à passer, lentement, et on sentait l'hiver qui approchait. Le froid était de plus en plus présent, et on aurait juré que les professeurs donnaient plus de devoirs dans le seul but de faire oublier que l'été se terminait. Ron et Harry soupaient en silence en pensant à la soirée relaxe qu'ils auraient. Ils n'avaient pas de devoir ce soir-là (enfin rien pour le lendemain!). Ensemble, ils décidèrent d'aller voir Hagrid.

Quand ils furent assez proches pour apercevoir la cabane du garde-chasse, Ron chuchota à l'oreille d'Harry :

– Tu as vu? Je crois qu'il se passe quelque chose d'étrange dans la cabane d'Hagrid, les murs en tremblent!

– Hagrid a peut-être des problèmes, allons voir.

Du plus vite qu'ils le purent, ils coururent vers la maison d'Hagrid. On entendait les cris à dix mètres à la ronde.

– Pourquoi tu as fais ça? Je te croyais honnête, Olympe! Toi, une femme si douce, faire ça à un enfant! Tu ne te rends pas compte!

– Allez, Rebeus. Essaie de comprendre. Rogue m'y a obligé…

– Comment a-t-il fait cela? Et pourquoi? Il n'avait rien à y gagner, répliqua Hagrid.

– Mais si, Rebeus. Il m'a fait subir le sortilège de l'impérium, puis il m'a fait aller dans les bois.

– C'est ça, dit-il d'un ton sarcastique. Et ensuite?

– Il m'a fait continuer dans les entre les arbres malgré les écorchures que je m'étais faites sur les ronces et les arbres bas. Ma propre vie était en danger dans cette forêt, Rebeus!

– Je ne vois toujours pas le lien, marmonna-t-il.

– Finalement, je me suis arrêtée, continua-t-elle sans faire attention aux commentaires de Hagrid. Je ne voulais pas le toucher mais le sortilège m'y a obligé. Je me suis mise à lui faire des…

– JE SAIS TOUT ÇA! Rugit-il. Ce que j'ignore, c'est la raison pour laquelle Rogue a fait cela.

– Je sais qu'il n'en a pas l'air, mais cet homme est très intelligent. Il était souvent dans son bureau, ces temps derniers. Il y dormait et y prenait ses repas.

La semaine dernière, j'ai commencé à douter de lui et de sa parole envers l'ordre. J'ai tenu à lui parler en personne avant d'alerter les autres. Après tout, ce n'était peut-être qu'une mauvaise impression. Ce fut là mon erreur.

Il n'était pas dans son bureau lorsque j'y suis arrivée. Il régnait un désordre tel que sa chaise se retrouvait ensevelie sous des piles de vêtements sales, de fioles et de petits contenants cylindriques semblables à des éprouvettes.

Il y avait des quantités étonnantes de livres, tous ouverts, qui traînaient par terre et sur les étagères. J'aurais pu sans difficulté me croire dans l'atelier abandonné d'un fou si quelques anachronismes ne m'avaient pas ramenée à la réalité; le journal du jour et le fait qu'il n'y avait pas de poussière accumulée, par exemple.

– Ça va, je vois où tu veux en venir… Tu peux continuer, s'il te plait?

– Oui, bien sûr, désolée. J'était sur le point de partir car, après tout, il n'arrivait pas, quand j'ai entendu des pas.

Il n'y avait aucun doute possible, Rogue s'en venait. Il me bouscula en arrivant et ce qu'il tenait est tombé.

– Qu'est-ce que c'était?

– Une caméra miniature, répondit la femme.

– Mais c'est un objet moldu! Hermione m'a prêté un livre sur le sujet. C'est électronique, ça ne fonctionne pas dans l'enceinte de Poudlard!

Ron regarda Harry. Celui-ci cru lire dans son regard une réplique du genre : « Tiens! Il n'y a pas qu'Hermione qui ait lu l'histoire de Poudlard finalement! »

– Que faisait-il avec cela? Demanda le géant à l'intérieur de la cabane.

– C'est ce que je lui ai demandé.

– Qu'a-t-il répondu? Demanda Hagrid.

– Qu'il avait des projets de grandeur.

– Heu… Que voulait-il faire grandir?

– Rebeus! Laisse-moi finir! Après m'avoir lancé l'impérium, il a attaché cette caméra habilement trafiquée sur ma robe de sorcière. Puis, il m'a dit que j'accomplirais une tâche importante et que je devrais pour ça toucher un enfant.

– De la médecine? Chuchota Harry à l'oreille de Ron.

– J'en sais rien, répondit Ron en haussant les épaules.

Ils se remirent à écouter.

– Il a dit qu'il regarderait tout de son bureau. J'ai essayé de refuser, mais l'impérium faisait déjà son effet. Je n'ai jamais voulu faire ça, Rebeus.

– Ça va, je te crois. Mais explique-moi au moins ça; pourquoi Graup?

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Extraits de l'épisode deux :

Ho, Lavande, je suis si malheureuse! Ça a rapport avec M. Pouliot…

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Dumbledore, vous êtes atteint d'une maladie très rare.