Bonjour à tous! Je passe en coup de vent poster ce drabble! Alors... J'ai décidé d'écrire sur Durarara! parce que je me suis fait l'anime en un jour/une nuit, et que j'idolâtre Izaya, et son seiyuu, que le Shizaya est une des meilleures choses qui existent, et que j'aime Erika. Voilà. Donc, c'est très, très court parce que sur le coup, je ne savais absolument pas quoi écrire X')
Ce n'est pas du tout angst, malgré le début! Et ce n'est pas vraiment un Shizaya, c'est plus un one-sided Izaya-Shizuo, vu que je n'ai pas précisé si Shizuo aime Izaya, mais je ne raterai jamais aucune occasion de les mettre ensemble! X) Donc je vous présente ça, en espérant que ça vous plaise!
Disclamer: Izaya et Shizuo ne m'appartiennent pas (mais un jour, je les aurai! Enfin, un jour...) Ils sont à Ryôgo Narita.
Écrasée, détruite, brisée – sa fierté était tout ça à la fois, et ça faisait mal, très mal.
Ça faisait saigner son cœur, trembler ses membres, hurler son cerveau.
Ça lui laissait un goût aigre-doux dans la bouche, étrange mais pas si désagréable que ça, au final.
Ça le faisait se sentir stupide, ridicule – il avait honte de lui, et il détestait ça.
Ça écorchait sa fierté, lui donnait envie de vomir rien qu'en effleurant l'idée en esprit – il se disait que c'était forcément impossible, qu'il se trompait.
Oui, c'était ça. Il se trompait, évidemment. En quoi penser tout le temps à lui, faire le trajet de Shinjuku jusqu'à Ikebukuro rien que pour lui, même les jours de pluie, même quand il avait eu une journée particulièrement fatigante, même quand... En quoi ne s'intéresser réellement qu'à lui signifiait ça?
Il ne se préoccupait de lui parce qu'il ne voyait que la bête sanguinaire, le monstre, la chose qui souillait ses précieux humains de sa présence. C'était pour cela qu'il le taquinait, continuellement, inlassablement, dans un intérêt purement scientifique.
Mais alors, pourquoi continuer encore, après toutes ces années? Il espérait qu'un jour il changerait... non?
Et voilà qu'il commençait à se prendre la tête sur lui... Il le mettait dans tous ses états, et le hantait même quand il n'était pas là, et ça le faisait profondément chier.
Ça lui arracherait la bouche de le dire, faisait crier son cerveau quand il y pensait – mais c'était indéniable.
Izaya était amoureux.
J'espère que vous avez aimé, et que le format ne vous a pas spécialement frustrés... N'hésitez pas à laisser une review, ça fait toujours plaisir et je réponds à coup sûr!
