Note de l'auteur.
Amelia Amos est un ancien personne que j'ai créés dans le passé auquel je me suis beaucoup attacher. Normalement plus vieille et plus mure je décide de la rendre jeune et peu dégourdi dans l'histoire que va suivre. Ici l'histoire est inventer au fur et à mesure et chaque chapitre ne sera pas poster temps que le suivant ne sera pas fini d'être écrit.
Lors des premiers chapitres, vous remarquerez sans doute des erreurs dans l'écriture des noms de personnages ou de lieux. Mais c'est tout simplement parce que cela fait longtemps que je n'ai pas lu Harry Potter, ni vu les films donc je ferais de plus en plus attention au fur et à mesure de j'écrirais les chapitre.
Je remercie les auteurs qui ont écrit des histoires avant moi sur ce site pour me permettre de trouver de l'inspiration pour écrire mon histoire.
Dans cette histoire vous trouverez du mystère, des tragédies et certes de l'amour par moment sans pour autant que cela soit extravagant. J'espère que vous aimerez.
Bonne lecture ^^
PS : L'histoire se déroule 45 ans après la mort de Voldemort. On retrouve surtout les petits enfants de nos héros.
PS2: merci au critique pour m'avoir aider à règle se problème chronologique.
Poudlard expresse.
Une petite limousine noire, aux vitre noir se gara devant cette célèbre gare qui fait partit d'une célèbre liste de lieux historique qu'Harry Potter a pu emprunter lorsqu'il allait à Poudlard. Oui et maintenant, comme qui dirait que cela est son tour. Une porte de la limousine s'ouvrait pour laisser sortir une jeune fille de 11 ans aux cheveux d'un rouge profond aux yeux marron. Un homme habillé en chauffeur sorti également de la voiture pour se précipiter vers la jeune fille.
-Attendez mademoiselle, si vous ne voulez pas que je vous ouvre la portière attendez au moins que je descende vos bagages.
La gamine fit oui de la tête un peu ennuyeuse, regardant tristement l'entrée de la gare avec une légère angoisse. Dire qu'elle allait dans moins d'une heure entrer dans un train et rencontrer des inconnue qu'elle allait devoir côtoyer tout une année. Le chauffeur tendit une petite cage avec une ratte blanche aux yeux rouge bien enrobés, dormant paisiblement sous la paille de sa cage. Cette bestiole ne s'était pas du tout rendu compte qu'elle avait été dans une voiture pendant des heures entières. Regardant sa bestiole, le chauffeur fini de descendre ses valises.
-Ça y est nous pouvons y aller mademoiselle.
Toujours silencieuse la gamine fit un autre signe de tête de son approbation et entrèrent tous deux dans la gare. Il y avait énormément de monde, cela était assez inquiétant et flippant. Tout ce que voulait la jeune fille était de faire demie tour et retournée dans la limousine. Le chauffeur mis ses bagages sur un chariot et prit par la main la gamine pour qu'elles le suivent.
-Ne vous inquiétez pas mademoiselle, tout se passera bien. Vos parents sont passé par là après tout.
-certes… mais ils ne sont pas là… Réplica-t-elle.
Ils avancèrent jusqu'au voies de trains et cherchèrent la 9 et la 10. Une fois trouver, ils avancèrent jusqu'à devant un pilonne dont l'heure était accrocher juste là. La gamine serra la main de son chauffeur et recula.
-Courage miss Amos, comme la dit vos parents il faut marcher vite droit devant.
-Ne m'appelle pas miss. E ne veux pas que les autres me regarde.
-Ce qui serait normale miss. Je vous tiens, et resterais avec vous jusqu'au train.
Puis il l'a traina entre les deux voies à toute vitesse pour foncer contre un mur de brique, mais comme prévue, aucun choc, de la voie qui était entre la 9 et 10 ils étaient à la vois 9 ¾. Emerveiller sur le moment, la jeune fille regarda autour d'elle avec beaucoup d'attention. Elle était arrivée devant le train qui allait la conduite à sa future école. Sans s'en rendre compte elle se laissant trainer par son chauffeur qui avançait entre les futurs passager et leurs parents. Quand elle reprit ses esprits, elle se rendit compte qu'il était en train de donner ses valises à un gars qui les mettait dans un wagon. Elle s'inquiéta soudainement pour ses affaires, elle ne connaissait pas cet homme qui était en train de les prendre pour les ranger, puis son chauffeur tendit ses mains pour prendre la cage de sa ratte.
-Ne vous inquiéter pas miss Amos, Glottinai ne se rendra même pas compte qu'elle a quitté la maison. Rassura le chauffeur.
-Oui mais… elle est tellement nerveuse… je ne peux pas la prendre avec moi dans le wagon.
-Vous pouvez, mais il faudra nous la donner une fois arrivé pour qu'elle soit mise dans votre chambre avec vos affaires. Expliqua la personne qui prenait ses bagages.
-Merci.
Une fois les bagage embarqué, le chauffeur la conduit devant une porte d'une des wagons et s'accroupit devant elle.
-Il est temps de se dire au revoir miss.
-Je t'ai déjà dit de ne pas m'appeler miss.
-Je sais… je suis désoler que vos parents n'ont pas pu venir.
-Ils ne viennent jamais de toute façon… je pourrais revenir pour les vacances ?
-Cela dépend de vos parents miss.
Elle soupira, restant un moment silencieuse puis fini par enlacer son chauffeur avec douceur. Celui-ci l'embrassa également mais sagement.
-Vous allez me manquer Charles. Nos balades à la campagne également.
-A moi aussi miss, mais vous verrez… cela se passera plus vite que vous ne le pensez. Bon voyage Miss.
Il cessa ensuite cet acte approcher puis la fit reculer en douceur pour la pousser dans le wagon.
-N'oublier pas, il faudra vous changer dans le wagon avant d'arriver à l'école.
-Merci Charles… au revoir.
-Au revoir miss. Je reste jusqu'à que votre train part.
Et la jeune fille entra alors dans le wagon et parcourra les couloirs. On peut dire qu'il y avait du monde, cela en était un peu stressant. Comment un train pouvait contenir autant de monde que ça ? Elle remercie ses ancêtres de ne pas lui avoir donné le défaut d'être claustrophobe, elle en mourrait. Difficilement elle réussit à passer le barrage d'élève qui parcourait le couloir. Elle prit le temps de souffler un peu avant de continuer à avancer pour trouver un wagon vide… en espérant trouver un wagon vide plutôt. Bien que cela luis semble peine perdue. Elle avança un peu. Elle entendit un wagon s'ouvrir derrière elle, des gars qui s'emblait s'énerver était en train de se disputer. Puis sans qu'elle s'en rende compte voilà que tout d'un coup elle se fit pousser par derrière et tomba par terre laissant échapper la cage de gloutinia des mains. Quelque chose lui était tombé dessus était c'était lourd. Très lourd, elle n'arrivait pas à se relever, puis elle comprit que c'était quelqu'un quand elle sentit la personne s'agiter sur elle.
-Mais qu'est-ce que… vous m'écraser ! Pousse-toi !
Mais comme si la personne était sourde d'oreille celle-ci continuait à se bagarrer sans faire attention à elle. Elle sentit ensuite un autre poids sur elle qui écrasait ses poumons cette fois. Commençant à paniquer, elle réussit a rempli ses poumon.
-ARRÊTER !
Sa voie retentissant dans le couloir, les poids au-dessus d'elle se stoppa et se dégagea ensuite. Enfin ses poumons libre elle respira à nouveau normalement et toussa un peu pour forcer un peu l'aire. Puis elle se releva, une main venue l'aider à se relever.
-Vraiment désoler, on ne t'avait pas vue.
La personne qui lui tendue la main était un gars aux cheveux brun et aux yeux vert, 13 ans, l'air bien sûr de lui-même s'il était désoler. Il me regardait d'une façon, non pas qu'il cherchait à savoir s'ils m'avaient blessait mais plutôt qu'il s'assurait que je n'étais pas blesser pour être sûr de ne pas avoir d'ennuis.
-C'est ça excuse toi, et vient la que je puisse continuer à te mettre la racler de ta vie. Dit une voie qui était derrière le garçon
Après m'avoir relevé et lâcher la main le gars se tourna vers un autre jeune homme de 13 ans aux cheveux châtain aux yeux bleu et l'air teigneux et téméraire. Tous les deux se foudroyaient du regard comme s'il pouvait vraiment se tuer avec.
-Je te ferais remarquer qu'on a fait mal à cette fille, crétin. Dit le cheveu brun.
-Comme si tu en avais quelque chose à faire ! Réplica les cheveux châtain. Toi comme moi, on a des choses à régler ! Et je veux les régler maintenant !
-Non, on les règlera à l'école… et se sera un combat à mort… sans baguette !
-Aucun problème ! Je te défie même dans la forêt interdite !
Voyant que limite ils l'avaient oublié. La jeune fille ramasse la cage de gloutinia. Celle-ci ne s'était à aucun moment réveiller. Eh bien, on peut dire que le médoc qu'elle a pris l'avait assommé. Elle vérifiait tout de même si elle respirait encore. C'était bon, elle pouvait continuer à chercher un wagon vide dans le couloir et laissait derrière elle les deux idiots qui ne pensaient qu'à se bagarrer dans les lieux étroits du train. Après quelque minute elle trouva enfin un wagon vide et y entra avec hâte. Elle s'assit ensuite lourdement sur le fauteuil et regarda par la fenêtre cherchant Charles des yeux. Il était là. Juste là. Lorsqu'il l'aperçut il lui demanda de baisser la vitre pour lui donner une petite valise.
-Pardon miss, il y a vos affaire pour se soit ici, je l'ai donné sans faire attention à la personne qui rangeait les bagages tout à l'heure.
-Ce n'est pas grave Charles. Merci pour tout.
-A bientôt miss.
La sonnette du train qui allait partir retentit dans les aires.
-A bientôt Charles. Même si mes parent ne s'inquiète pas pour moi, dite leur au revoir de ma part.
-promis miss.
Puis le train démarra doucement. La jeune fille sourire faiblement a Charles alors que lui, lui faisait un grand sourire. Lorsqu'elle commençait vraiment à s'éloigner il lui fit un grand geste de main auquel elle répondit chaleureusement, lui disant un au revoir une dernier fois. Une fois la gare disparut derrière le train, elle regarda le paysage un long moment avant de refermer la fenêtre. Elle était vraiment en route pour sa future école. Elle regrettait déjà sa petite école ou elle avait des amis. Moldu certes mais des amis précieux. Elle regardait ensuite gloutinia dans sa cage avant de se décider à la sortir pour la mettre sur ses genoux et commencer à la caresser. Ce qu'elle avait envi qu'elle se réveille pour qu'elle lui mâchouille des doigts pour lui faire oublier toutes ses peines. Elle sourit tristement en la regardant ronfler silencieusement puis soudain.
-Doucement vous me faites mal.
Elle leva la tête pour voir le garçon aux cheveux brun de toute à l'heure et un contrôleur qui le poussa dans son wagon. Et l'obligea à s'assoir sur la moquette.
-Maintenant tu restes la jusqu'à qu'on arrive ! Dit le contrôleur et ferma la porte derrière lui.
La gamine regarda le jeune garçon qui rallait intérieurement et qui s'essuyait la lèvre en sang. Il mit un moment avant de se rendre compte qu'il n'était pas toute seule dans l'endroit, et dévisagea la jeune fille comme si il ne la reconnaissait pas. Celle-ci ne dit rien et fini par détourner le regard pour regarder dehors afin de ne pas continuer à affronter son regard tout en continuant de caresser sa rate. Le silence régnait dans la pièce pendant un moment jusqu'à qu'il se décide à prendre la parole.
-Vraiment désoler pour tout à l'heure…
Elle le regarda à nouveau du coin de l'œil mais détourna les yeux presque aussitôt. Préférant l'ignorer.
-Tu n'as rien fait et tu as été prise dans cette histoire ridicule… Désoler.
Voyant qu'elle ne disait toujours rien, elle sentait qu'il la regardait avec de plus en plus d'insistance et se sentait de plus en plus mal à l'aise. On peut dire qu'il savait rendre sa présence très prenante. Mais l'ignorant toujours elle se concentrait sur le paysage en face d'elle. Mais bien sûr, le garçon s'approcha pour s'assoir en face d'elle et la fixait toujours.
-tu sais que tu es drôlement mignonne ?
Elle se tourne soudainement vers lui surprise par de tels propos dans ce genre de circonstance.
-je te demande pardon ? Répondit-elle.
-Ce qu'il ne faut pas pour attirer l'attention d'une fille ! Dit-il en rigolant. Excuse moi je voulais vraiment que tu comprennes que je suis désoler.
-Oui j'ai compris, tu ne cesses de le répéter depuis tout à l'heure. Tu es pardonner, voilà ça te va ?
Elle retourna la tête vers la fenêtre préférant continuer à l'ignorer. Peut-être qu'il allait finir par lire quelque chose et lui foutre la paix.
-Et bien on peut dire que tu nourris bien ton rat.
Comme qui dirait que l'ignorer n'est en fait pas la bonne méthode pour lui. Elle le regarda à nouveau pour sa ratte.
-C'est une ratte, et oui elle mange bien c'est pour cela que je l'ai appelé gloutinia.
-je trouve que ce nom lui va bien. Dit-il en souriant. Je peux ?
Il montrait avec ses mains qu'il voulait la prendre pour mieux la regarder, je lui fis oui de la tête et lui tendit. Il put voir que quoi qu'il fasse, elle ne se réveillait pas. Inquiet il ne put s'empêcher de poser la question.
-Elle est morte ou quoi ?
-bien sûr que non ! Répondit-elle. Elle ne supporte pas les voyage, je donne donc des somnifères. Et la laisserais dans sa cage quelque jour à poudlard, le temps qu'elle se fasse à son nouveau chez soi.
-C'est des médicaments moldu que tu lui as donné ?
-oui pourquoi ?
-bah c'est moldu…
Elle soupira à sa remarque.
-Ce n'est pas parce que c'est moldu que cela est mauvais. Après tout ils ont vécu jusqu'à maintenant. Et puis mes parents n'étaient pas là pour pouvoir lui jeter un sort, donc je lui ai donné des médicaments moldu. Elle va encore dormir jusqu'à demain matin.
-Ok… si tu dis que ce n'est pas dangereux.
Elle se demandait qui pouvait bien être ce type pour lui parler comme ça. De plus elle n'était pas forcement à l'aise pare qu'il était plus vieux. Elle le laissa un moment avec Gloutinia puis la reprit en main pour être sûr qu'il ne la fasse pas tomber. Elle a encore après tout de beau jour devant elle. Elle l'a remis dans sa cage, en prenant soin de ne pas la cogner et la laissa à côté d'elle. La jeune fille continua alors à regarder dehors avec attention, espérant qu'il ne dise plus un seule mot.
-Tu viens d'où comme ça ?
Décidément cela n'était pas son jour.
-Pourquoi cela t'intéresse-t-il ?
-Bah je fais la conversation.
-mais je n'ai pas envie de parler, c'est pourquoi je me suis mise dans un wagon tout seule.
-Oui mais je ne sais pas si tu as remarqué le contrôleur ma mise avec toi pour que j'évite de faire des bêtises, donc il faudra te faire au fait que je parle. C'est mieux que le silence non ?
-je pense surtout que tu adore attirer l'attention.
-Sans doute… c'est peut-être pour cela que j'ai des problèmes. Dit-il étant assez amuser.
Elle sourit à sa réplique mais n'en fit aucun commentaire n'étant pas de ce genre.
-Alors tu rentres en première année ?
-bien vue… je te félicite de remarquer mon jeune âge.
-Pas trop stresser ? demanda-t-il gentiment.
-Si… j'ai un peu peur aussi.
-C'est normal, on quitte la maison, on ne revient pas pendant des semaines, ce n'est pas simple.
-Non… mais je ne veux pas rentrer chez moi… elle sera vide de toute façon…
-Tu as des parents absents ?
-Oui… le travail… ils travaillent avec des moldu donc quand ils font la transition pour le monde des sorciers, cela leur prend tout leur temps.
-Je vois… et donc… tu as pensée dans quel maison tu voudrais aller ?
-non… et je ne veux pas y pensée… Je ne veux pas me donner de faux espoir. Et…
Elle le regarda ne sachant pas trop si elle devait lui ^poser la question. Après tout il était plus vieux et il intimidait un peu.
-Et toi ? Tu es dans quelle maison.
-Griffondor ! Dit-il dans un optimisme tel qu'il montrait clairement qu'il était fière de sa maison et devait sans doute pensée qu'elle était la plus importante par rapport aux autres maisons.
-Ah… c'est bien.
-Et comment que c'est bien, étant donné que tu es toute seule j'ai bien envie de t'aider et espère que tu rejoindre notre maison, je te promets il n'y a rien de mieux. De plus cela fait 5 ans qu'on a remporté la coupe des maisons, donc si tu as la qualité pour rejoindre griffondor, tu seras la bienvenue !
-Hum… oui ! On verra de toute façon…
-et tu es sur qu'on ne ta pas fait mal tut a l'heure ? C'était assez violent après tout…
Dit donc il en était encore après ça. La gamine se demandait bien pourquoi il se préoccupait autant de ce genre de détail.
-non c'est bon. Plus de peur que de mal.
-Ah bien. Parce que j'avoue moi-même, je suis parfois un peu trop violent lorsque je m'emporte et je ne fais pas vraiment attention à ce qu'il y a autour de moi.
-Ça va.
-T'en mieux.
Il l'a regardait un moment avec attention pas comme pour la dévisager ou se montrer grossier mais comme pour être fasciner. C'était à se demande par quoi exactement, il ne pouvait pas l'intéresser après tout elle était largement plus jeune que lui et cela serait une situation assez délicate. Et puis elle ne voulait pas, ce n'était qu'une brute !
-Tu t'appel comment ?
Ils allaient enfin passe aux présentations…
-il est plus polie de se présenter en premier.
-euh… oui en effet. Je m'appelle William Potter.
Potter ?
-Et toi ?
Montrant sa surprise elle le regarde un peu bouche bée. Et tout en le fixant elle lui répondit…
-Amelia… Amos.
