Prologue
C'était une belle journée de juillet, la rivière bercé les arbres de sont doux écoulement entre les galets, les oiseaux volaient haut dans le ciel, le vent faisait frémir le feuillage des arbres et le son qui s'en dégageait donné à cette atmosphère paisible la sensation que la nature se réveillait doucement. C'est alors qu'un hurlement déchirant résonna dans toute la forêt et...
« Enfin Kira ! On est entrain de te mettre au monde, pas de t'égorger ! » dit une voie masculine qui fit sursauté l'écrivaine .
« Mais Didi, on m'a dis décrire l'histoire de ma naissance ! Alors comme personne ne peut me dire comment je suis née, j'ai décidé que le jour de ma naissant étais en juillet, dans une foret ET que j'ai poussé un hurlement déchirant » expliqua la petite fille d'un voie autoritaire.
Le dénommé « Didi » était en réalité le gardien en chef de l'armée de la lorien nommé Haldir respecté de tous, enfin presque, il était grand, les cheveux long et blond, tressé de par et d'autre de sa tête, coiffure guerrière chez les elfes, il avait une carrure imposante à force d'entraînement et de combat, il avait des très fins bien cas force de responsabilités il se soit un peu durcit, la peau clair, les yeux d'un bleu perçant qui ne semblait pourtant pas altérer la détermination que la petite fille semblait avoir pour le cri qu'elle aurait poussé le jour de sa venue au monde. Kira était une petite fille de 7 ans environ, elle avait les cheveux long, violet tirant vers le rose, les yeux gris, des tatouage sur sa peau mate, elle mesurait 1m20 et était très mince, pourtant elle resta devant cette elfe à la carrure imposante, les bras croisés et le regard noir pour lui signifié son mécontentement fasse a ses remarques désobligeantes.
« Kira je t'ai déjà dis cent fois de ne pas m'appeler « didi » » fit remarquer l'elfe sur un ton désespéré.
« Okay ! « Papa » » dit l'enfant d'un air de défis.
« Très bien ! Si tu le prend comme ça fais ton devoir toute seule, et puisque tu es une grande fille ne m'appelle plus lorsque tu fais des cauchemars ! »
La petite fille trop heureuse d'avoir gagné et de voir son tuteur s'éloigner ne prêta pas vraiment attention à la fin de la phrase, pourtant cruciale pour elle.