Titre : In the shadow of the rain cloud
Auteur : Shima-Kyuuketsuki
Genres : UA, romance, drame
Pairing : Kaoru x Kyo
Raiting : R
Warning : Lemon (pas très explicite)
Disclaimer : Les personnages ne m'appartiennent pas et le titre est à Nega, mais l'histoire est à moi !
Musique : In the shadow of the rain cloud & Rain falls – Nega / Endless rain – X Japan / Endless rain (version symphonique) – Yoshiki (que des chansons sur la pluie... XD D'où le titre de la fic ^^)
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Résumé : Deux cœurs brisés déambulant sous la pluie vont se rencontrer, sauront-ils se guérir mutuellement ?
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Note : A la base, ce devait être un OS, mais à la fin, il était long (17 pages, soit 9549 mots) et lors de la relecture, je trouvais que ça faisait un peu long, alors j'ai préféré le couper en trois parties ^^
Je l'avais commencé il y a longtemps (j'ai beaucoup d'écrits sur mon ordi, sous forme de notes, de fics commencées ou abandonnées ^^') et finit juste hier soir !
C'est aussi le premier écrit que je publie sur Dir en Grey, mais pas le seul que j'ai écrit. Une fois que j'aurai fini quelques unes sur the GazettE, j'aurai minimum trois fics à poster (où les gazettos apparaitront en personnages secondaires).
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Voilà, j'espère que ce n'est pas trop mauvais ^^'
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« Je t'aime Toshiya »
Le jeune homme avait puisé dans tout le courage qu'il possédait pour enfin avouer ses sentiments à son ami. La tête baissée par peur de la réaction de Toshiya et les poings dangereusement serrés, il attendit quelques instants une réponse qui lui brisa le cœur.
« Je... heu... Mais je ne suis pas homosexuel ! » Bégaya le dénommé Toshiya, les yeux exorbités par la surprise. Il ne savait pas comment réagir. Il ne se serait jamais douté que son collègue et ami nourrissait de tels sentiments à son égard. Il ne souhaitait pas le blesser, mais la stupéfaction de l'aveu lui enleva toute sa logique et sa compassion pour quelques instants.
Toshiya vit les yeux de son ami devenir brillants et ne sût toujours pas quoi faire. Il resta là, immobile, impuissant malgré lui à regarder l'un de ses meilleurs amis se décomposer. Le jeune homme se retourna et dût se retenir pour ne pas partir en courant. Il balbutia un douloureux « Tu diras au patron que je suis malade », puis s'engouffra dans l'ascenseur, la tête de nouveau baissée.
Il pleuvait dehors, mais le jeune homme ne s'en soucia guère. Il déambula dans les rues pendants de longues minutes, peut-être même heures, il n'aurait sût le dire, le temps aurait bien pût s'arrêter ou ralentir, il ne s'en serait pas aperçut. Sa tête était encore baissée, le menton contre sa veste, il n'était plus conscient de rien hormis les larmes qui s'effondraient sur ses joues et la douleur quasi-insoutenable qui lui déchirait la poitrine et obstruait sa gorge.
Ses larmes se mêlaient aux gouttes de pluies qui dévalaient son visage et la brise qui soufflait les chassait aussitôt, avant qu'elles ne soient remplacées par de nouvelles. Inlassablement, cette triste ritournelle recommençait.
Arrivé près d'un parc, il s'y engouffra, qu'importe que le bitume soit remplacé par la terre battue qui souilla ses vêtements.
Lorsqu'il passa près d'un banc, il l'observa quelques longs moments, le regard vide, puis il décida de s'y asseoir quelques instants, ignorant toujours cette pluie incessante qui le mouillait jusqu'aux os. 'Qu'importe que la pluie mouille mon corps, mon cœur, lui, est humide de larmes'* pensa-t-il amèrement.
Au bout de longues minutes, selon sa propre horloge, il sentit une personne s'asseoir à ses côtés, sur l'autre bout du banc, mais il ne tourna pas la tête, enfermé dans sa propre souffrance, égoïstement, mais sans pouvoir s'en échapper.
Ils restèrent ainsi, immobiles et silencieux, jusqu'à ce que les nuages de pluie présents dans le ciel se dissipent et que plus aucune goutte d'eau ne trouble les flaques présentes sur le sol, hormis les larmes intarissables du jeune homme.
Après quelques minutes d'accalmie, la pluie retomba de plus belle, mais cela ne provoqua aucune réaction de la part des deux jeunes hommes, comme si ces froides gouttes d'eau étaient aussi insignifiantes que de chauds rayons de soleil.
La personne présente aux côtés du pauvre cœur brisé esquissa enfin un mouvement en tournant la tête vers lui. Il le détailla quelques instants avant de prendre la parole.
« On va vraiment finir par tomber malade à rester là, hein ! » Dit-il d'un ton monotone, certainement sans aucune autre intention que d'engager la conversation.
Il tourna enfin la tête, lascivement, puis détailla du regard le jeune homme qui s'était adressé à lui. Il était plus grand que lui et possédait des cheveux bruns mi-longs, desquels s'écoulaient de nombreuses perles de pluie. L'homme le fixait avec des yeux sombres et profonds, ce qui le déstabilisa quelque peu.
Il acquiesça doucement puis baissa de nouveau la tête, remarquant au passage que le simple t-shirt que portait l'autre dévoilait des bras couverts de tatouages, à l'image des siens avant de revenir à la contemplation des gouttes d'eau qui troublaient la surface plane des flaques.
« Je m'appelle Kaoru au fait, informa le jeune homme aux bras tatoués.
- Moi c'est Kyo. » Chuchota-t-il d'une voix monotone, sans expression.
Le chant du vent et la clapotis de l'eau furent à nouveau les seuls bruits qui troublèrent le silence. Kyo se demanda longuement pourquoi cet homme lui parlait, mais il en avait peut-être seulement besoin. Lui non plus ne devait pas être bien, après tout, on ne reste pas sur un banc sous une pluie battante sans raison.
Il ne saurait dire pourquoi, mais il prononça ces mots, sans même s'en rendre vraiment compte, il en ressentit soudain le besoin, comme si parler à cet inconnu pouvait le soulager de la douleur qui le dévorait littéralement de l'intérieur.
« J'ai le cœur brisé... Murmura-t-il si bas qu'il ne savait même pas si l'autre avait pu l'entendre.
- A vrai dire, moi aussi. » Répondit Kaoru avec un sourire triste qui aurait fendu le cœur à quiconque.
Kyo releva la tête, légèrement étonné et étudia de nouveau l'autre homme. Au bout de quelques instants, il se mit à parler, encore une fois sans en connaître la véritable raison. Peut-être pensait-il que faire sortir des mots de sa gorge atténuerait la boule qui l'obstruait, ou alors avait-il simplement besoin de s'exprimer, de faire sortir ses sentiments de sa poitrine. Il raconta toute son histoire à Kaoru, son amour envers son collègue et ami : Toshiya, la façon dont cela l'avait rongé durant des mois, puis la chute brutale qui s'était déroulée quelques heures plus tôt et qui avait mis fin à tous ses vains espoirs.
Kyo décrivit Toshiya avec tellement de passion que Kaoru ne douta pas un seul instant de l'amour sincère que le jeune homme lui portait. Une fois le récit de Kyo terminé, Kaoru se dévoila lui aussi, se disant que parler pourrait lui être bénéfique. Il lui conta la manière dont après quatre ans de vie commune, son partenaire, Kisaki, était parti avec son meilleur ami, Die, le laissant ainsi seul, sans amant, sans meilleur ami, mais avec une tristesse et une douleur permanente.
Le silence se fit de nouveau entre les deux hommes, chacun écoutant la pluie, perdu dans ses pensées, réfléchissant à sa situation et inconsciemment à celle de la personne présente à ses côtés.
La nuit commença doucement prendre le dessus sur le jour, la pluie n'avait toujours pas cessée et les deux hommes se trouvaient encore sur le banc, trempés et dans le plus complet des silences.
Les larmes de Kyo s'étaient taries depuis déjà quelques temps. Il ne savait pas si Kaoru avait pleuré ou non, mais sa respiration calme et régulière montrait qu'aucun sanglot ne le secouait à présent. Parler avec un inconnu pouvait-il réellement soulager ? Il n'en savait rien, tout ce dont il était conscient à présent était qu'il se sentait très légèrement soulagé, peut-être ne serait-ce qu'éphémère, mais la boule dans sa gorge s'était rétrécie. Son cœur était encore meurtri, cette blessure ne s'effacerait pas ainsi, mais partager sa souffrance, se rendre compte que l'on n'est pas le seul cœur brisé sur cette Terre et se confesser à une personne qui écoute vraiment lui avait fait du bien. Un minuscule, tout petit bout de réconfort s'était insinué dans son corps en cette douloureuse journée et cela fit trembler le coin de sa lèvre en ce qui aurait pût être une esquisse de triste sourire.
« Je vais rentrer » Chuchota doucement Kaoru, ne voulant pas briser trop violemment le silence.
Kyo hocha de nouveau la tête, mais ne dit mot. Ils se regardèrent une dernière fois, avant que Kaoru se lève et fasse un pas hésitant. Il n'en fit pas un deuxième, à la place, il se retourna vers Kyo de manière indécise et fixa l'autre jeune homme qui n'avait toujours pas bougé.
« Tu veux... Dîner avec moi ? … Aller au chaud ? »
Malgré le murmure qu'avait été la voix de Kaoru lors de cette question, Kyo l'entendit parfaitement et resta stupéfait quelques instants, puis se leva pour le suivre, sans un mot.
Pourquoi suivre un inconnu dans un lieu qu'il ne connaissait pas ?
Pourquoi lui avoir raconté sa vie ?
Pourquoi s'être déclaré à un ami qu'il savait hétérosexuel ?
Pourquoi en être tombé amoureux tout simplement ?
Toutes ces questions étaient intimement liées pour Kyo et toutes les réponses étaient exactement les mêmes : 'Je ne sais pas'.
Cela était peut-être risqué, Kaoru était peut-être un psychopathe bon acteur, mais cela lui importait peu. Il était trempé jusqu'au os et la fraîcheur de la nuit le pétrifiait sur place. Son cœur était brisé et il n'avait qu'une seule envie, c'était de s'enfoncer lentement les doigts dans le cou pour y arracher cette boule si douloureuse. Sachant que cela ne serait pas facile et n'était pas la solution au fond, il avait décidé de suivre la personne qui l'avait aidé, peut-être inconsciemment, à soulager une partie infime de sa douleur.
Arrivé devant l'immeuble de Kaoru, celui-ci s'arrêta et offrit une ébauche de sourire à Kyo en désignant sa demeure. Ce dernier essaya de lui offrir un léger sourire en réponse, mais sans beaucoup de succès.
Le chemin s'était déroulé en silence, tout comme le trajet jusqu'à la porte. Ils n'avaient pas grand chose à se dire, ce qui les liait n'avait pas besoin de mots pour être ressentit. De plus, le silence n'avait rien à voir avec ces mutismes inconfortables où l'on cherche désespérément quelque chose à dire pour que cela prenne fin, ce silence semblait naturel pour eux et était presque confortable.
Une fois entrés dans l'appartement, Kaoru désigna la salle de bains à Kyo pour qu'il se réchauffe et lui amena des vêtements secs. De son côté, il fit chauffer le dîner, puis partit lui aussi se changer, avant d'attraper une grave pneumonie.
Ils mangèrent en silence, de nouveau, devant la télé. Une fois le dîner finit, alors qu'ils regardaient un drama sans intérêt auquel aucun d'eux ne portait réellement attention, Kyo ouvrit enfin la bouche. Il murmura le prénom de Kaoru, tentant d'attirer son attention. Lorsque celui-ci le regarda, visiblement surpris, Kyo déposa ses lèvres sur celles de l'autre homme. Il ne comprit pas tout de suite ce qu'il venait de faire, son acte le frappa lorsqu'il sentit Kaoru répondre au baiser. Ne sachant pas pourquoi tout cela arrivait, Kyo ne chercha pas à stopper l'échange qui les unissait et se laissa aller dans le confort et la chaleur des lèvres de Kaoru.
Installés sur ce canapé, enlacés intimement l'un contre l'autre, les deux hommes essayèrent d'évacuer leur frustration et leur mal-être en s'unissant avec le corps d'un homme qu'ils ne connaissaient pas. Inconsciemment, ils cherchaient peut-être un peu de réconfort et de tendresse pour apaiser leurs cœurs brisés.
Kyo avait une fois de plus le visage noyé de larmes. Ce n'était pas que Kaoru était brutal, mais son cœur le faisait souffrir. Pour lui, c'était avec Toshiya qu'il aurait dû faire l'amour ce soir-là et non cet homme qu'il ne connaissait même pas.
A bout de forces, autant physiquement que mentalement, Kyo s'endormit sur le canapé. Kaoru alla chercher une couverture et partit se coucher dans son propre lit. Lui aussi était perdu et ne savait pas vraiment ce qu'il venait de se passer. Depuis quand accueillait-il des gens qu'il ne connaissait pas chez lui ? Et depuis quand couchait-il avec un inconnu ? Cela ne lui ressemblait vraiment pas, mais dans sa situation actuelle, la plupart de ses actes ne lui ressemblaient pas, tout était à présent différent.
Le lendemain matin, Kyo se réveilla dans un appartement qu'il ne connaissait pas. Il lui fallut quelques instants pour se remémorer les évènements de la veille, puis tout le frappa de nouveau de plein fouet. Frissonnant, il s'enroula dans la couverture qui l'entourait et se décida à se lever, entendant du bruit de ce qui devait être la cuisine. Il se leva fébrilement, la tête lourde et les voix respiratoires bouchées.
Arrivé à l'entrée de la cuisine, il vit Kaoru préparer le petit-déjeuner. Il l'observa quelques instants, en s'appuyant contre la battant de la porte pour se soutenir, se demandant de nouveau comment était-il arrivé là et avait pu laisser l'autre homme la toucher, bien qu'il ait lui-même fait le premier pas.
Lorsque Kaoru se retourna, il fut plus que surpris d'être fixé ainsi par l'autre homme. Ils se saluèrent puis commencèrent à manger. Au bout d'un certain temps, Kyo brisa le silence, devenu habituel entre eux.
« Ça a l'air d'être bon, mais je n'en sens pas le goût » Rit-il doucement d'une voix enrhumée.
Kaoru fut surpris d'entendre Kyo rire, voir un sourire sur son visage en dessina un sur ses propres lèvres.
« Il fallait se douter qu'on aurait choppé la crève à rester sous la pluie !
- J'en avais besoin, murmura Kyo, le regard de nouveau vide.
- Je ne te juge pas, j'y étais aussi après tout. »
Kyo toussa doucement, puis fut pris d'une violente quinte de toux qui inquiéta Kaoru. Le son rauque qui sortit de sa gorge et sa difficulté à respirer auraient pu laisser imaginer une déchirure de la gorge et un décollement des poumons, qui affolèrent quelque peu Kaoru. Il s'approcha doucement de lui pour lui tapoter le dos, mais Kyo lui fit un signe de la main pour qu'il ne s'approche pas trop.
« Ça va ? » Demanda Kaoru, une fois Kyo calmé, l'inquiétude peinte sur son visage. Kyo le rassura en disant qu'il avait seulement très mal à la gorge, mais peu convaincu, Kaoru s'approcha davantage et lui toucha le bras. Il fut surpris de la chaleur qui émanait de sa peau. Il posa ensuite sa main sur son front, qu'il trouva aussi brûlant.
« Tu te sens bien ?
- Fatigué, avoua Kyo.
- Vas te coucher ! Je te prête mon lit si tu veux !
- Ce n'est pas la peine ! Je ne vais pas non plus m'imposer ! On ne se connaît même pas... »
Kyo eut à peine le temps de finir sa phrase qu'il faillit tomber de sa chaise, retenu de justesse par Kaoru. Sa tête s'était fait encore plus lourde et il n'avait pas réussi à retenir son corps. Les choses étaient maintenant claires pour Kaoru, il n'allait pas laisser partir Kyo dans cet état, au bord de l'évanouissement. Il l'aida à marcher jusqu'à sa chambre et l'emmitoufla dans ses couettes. Il partit chercher une compresse et des comprimés de paracétamol pour essayer de faire chuter la fièvre du petit blond. Il lui fit lentement avaler le médicament puis le rallongea avant d'appliquer la compresse humide sur son front, avant de vouloir le laisser se reposer seul, mais Kyo le retint par le poignet.
« Je suis désolé, murmura-t-il.
- Il ne faut pas ! Et puis tant que je m'occupe de toi, mon attention n'est plus focalisée sur eux ! » Sourit tristement Kaoru avant de quitter la pièce encore plongée dans l'obscurité.
Lui non plus ne se sentait pas en grande forme physiquement, mais rien de très sérieux, contrairement à Kyo. Il devait aller travailler ce jour-là. Il se prépara puis laissa un mot sur la table, au cas où Kyo se lèverait en son absence, où il le remercia.
A son retour en fin d'après-midi, il constata que Kyo dormait encore profondément. Il le laissa donc dormir et partit réfléchir à toute cette étrange situation de son côté.
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Kyo passa une semaine entière chez Kaoru après ce jour-ci. Les trois premiers jours, il était resté car son état ne lui permettait vraiment pas de se lever et qu'il ne voulait pas appeler de médecin. Ensuite, d'un commun accord, les deux jeunes hommes décidèrent que Kyo devait être parfaitement rétabli avant de rentrer chez lui et aller travailler.
Bien sûr, tout cela n'était qu'un prétexte pour passer encore un peu de temps ensemble, car Kyo était maintenant en état de partir, mais il avait pris goût à se faire cajoler par Kaoru et ce dernier aimait prendre soin du petit Kyo malade. Même si Kyo avait été dans un état second les premiers jours, les deux jeunes hommes avaient appris à se connaître et ils s'étaient bien vite rendus compte qu'avoir la présence de l'autre à leurs côtés leur faisait du bien. Ils pensaient à autre chose qu'à leurs cœurs brisés en découvrant l'autre, pouvaient parler autant qu'ils le voulaient car l'autre était toujours là pour écouter et partager sa propre souffrance, à travers des mots ou un acte physique. Chaque nuit, depuis que Kyo se sentait mieux, ils s'étaient unis dans un acte de tendresse et de réconfort dénué d'amour. Les seules traces de ce sentiment qui pouvaient être perçues durant leurs ébats était la souffrance qu'il leur avait occasionné, chacun à leur manière.
Ils se soutenaient mutuellement, s'appréciaient raisonnablement, mais par-dessus tout, se comprenaient. Kyo n'aurait pu parler à aucun de ses amis de cela, il savait qu'il aurait eut des regards choqués et personne ne trouvant les mots ou les gestes pour lui faire oublier sa douleur. Quant à Kaoru, il ne lui restait plus grand monde à qui parler.
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Voilà, n'hésitez pas à me dire ce que vous en avez pensé ^^
La suite arrivera d'ici peu, celle-ci étant déjà écrite.
