Hey! :) Une nouvelle histoire sur The Mortal Instruments. Parce que je suis tombée amoureuse du bouquin, l'histoire est juste hyper géniale!

J'ai donc pas pu m'empêcher de commencer à écrire quelque chose.

CEPENDANT! Je préfère prévenir:

1) Les publications ne seront pas régulières. Elles dépendront de ma motivation et de l'enthousiasme de mes lecteurs.

2) Et s'il n'y a pas les deux conditions précédentes, je pourrais abandonner. Pour le moment j'ai plusieurs chapitres tapés d'avance et d'autres sur papier mais ne sait-on jamais...

3) Je recherche une bêta. Si vous êtes intéressé, veuillez me contacter par PM. ^^

Voilà, je crois que ce sera tout

Enjoy!


New York, un jour:

Jace Wayland empaquetait ses bagages de manière frénétique. L'hôtel dans lequel il résidait avait été découvert par les paparazzis. Adieu alors toute tranquillité et les vacances promises par sa maison de disques. Quoique ce n'était pas des vacances à proprement parler, vu qu'il y avait été quasiment obligé - pour qu'il se ressource avaient-ils dit.

Il fallait dire que depuis quelques temps sa renommée commençait à faiblir. Sa vitalité du début avait fait place à de la lassitude. Il n'arrivait pas à retrouver ce qui l'avait poussé à commencer cette carrière de chanteur. Bien sur, le succès et l'argent avait été une grosse motivation et avec son groupe ils étaient bien parti mais à présent, il lui manquait quelque chose.

Et cela s'en ressentait jusque dans ses chansons, elles avaient perdues la qualité, le fond - leur âme. Et maintenant la maison de disque avait été clair: Soit il se reprenait, soit il le virait, tout simplement.

Jace étouffa un sourire à ce souvenir. Ce n'était pas la première fois que ses supérieurs le menaçait. Et si la dernière fois, il avait réussit à faire ressurgir son imagination et son talent en fumant des joints, la drogue semblait avoir cessé son effet « curatif » pour le rendre presque accro. Obstiné comme il était, le blond essayait d'y résister mais il lui était déjà arriver de céder et cela lui faisait peur. C'est pour cela que ces vacances officieuses lui semblaient une bonne idée malgré la menace de la maison de disque sous-jacente. S'éloigner pour se recentrer.

Malheureusement, elles avaient très mal commencées puisque, quelques jours à peine après avoir quitté sa résidence principale, il était déjà pourchassé par les journalistes. Il ferma la fermeture éclair de son sac d'un geste rageur et regarda sa montre. Parfait. Il avait pile le temps pour aller à l'aéroport et prendre son avion. Ensuite direction la France et, il l'espérait le calme.

Il mit ses lunette de soleil, vissa son chapeau sur sa tête, prit rapidement son sac et sa guitare et après un rapide coup d'œil dans le couloir, il quitta sa chambre. Passant en coup de vent à l'accueil , il balança les clés sur le comptoir, heureux d'avoir réglé à l'avance la facture de l'hôtel.

Il pouvait voir dans les portes vitrées qu'il passa, le reflets des journalistes qui le suivaient. Cela ne fit qu'augmenter sa colère intérieure. Certaines personnes n'avaient rien d'autres à faire que se mêler des affaires des autres, ils en faisaient même un métier!

Dès qu'il fut dehors, il se mit à réfléchir à toute vitesse. S'il voulait semer ses « poursuivants », il devait trouver un moyen de partir, et vite. Il se maudit de ne pas avoir prévu un taxi et comme si le ciel l'avait entendu, l'une de ces voitures jaunes s'arrêta juste à sa hauteur, résultat de la circulation chaotique de New York. Sans hésitation, il ouvrit la portière et s'engouffra dans le véhicule...

… Pour se retrouver face à face avec une jeune femme. Ses grands yeux émeraude le regardait avec surprise alors que ses cheveux rouges sombres tombaient en cascade autour de son visage pâle. Habillée d'un jean, d'un sweat et de converse, elle semblait avoir la vingtaine, peut-être moins.

Aurait-il été moins pressé, Jace aurait certainement certainement pris le temps de faire les choses correctement. Or du temps il n'en avait pas. Il ordonna au chauffeur de partir, ce que celui-ci fit immédiatement certainement plus comme un réflexe au ton impérieux du jeune homme que par politesse. Le chanteur vit les deux journalistes qui étaient à sa poursuite se retrouver sur trottoir et avec un soupire de soulagement, il laissa sa tête partir en arrière sur le siège. Cependant l'instant de sérénité fut de courte durée puisque sa voisine l'harponna:

-Qu'est-ce que vous faites!? Descendez de ce véhicule!

Sa voix aurait put être agréable à entendre, mais pour le moment elle résonnait dans la tête du blond de manière très désagréable. Il voulait juste du calme et puis il avait un avion à prendre. Alors oubliant les cris trop haut perchés pour ses oreilles, il s'adressa au conducteur du taxi.

-Aéroport J.F. Kennedy, s'il vous plait.

Le pauvre homme le regarda incertain mais avant qu'il n'ai pu dire quoique ce soit, la jeune femme intervint.

-Pardon!? Vous vouliez juste un taxi!? Vous n'étiez pas fichu d'en attendre un autre? Il fallait que vous en preniez déjà un pris?

Ne lui jetant même pas un regard, Jace continua de parler avec le conducteur:

-Je double votre course si vous y arrivez le plus vite possible.

-Hors de question. Répliqua l'inconnue. J'étais avant vous. Alors je ne vous ferais pas descendre en marche mais je serais déposée avant! N'est-ce pas? Demanda-t-elle au pauvre conducteur qui ne semblait plus trop savoir où se placer.

-Euh... Oui. La p'tite dame a raison quand même... balbutia celui-ci.

La jeune femme se tourna vers lui et le fixa. Si elle ne souriait pas, son regard reflétait toute sa satisfaction. Jace aurait presque pu se l'imaginer en train de lui tirer la langue en disant « Nananananèreuuuh ». Il aurait presque pu en rire s'il ne se rappelait pas vivement qu'elle venait de lui hurler dessus.

-Vous savez qui je suis!?

-Vous pouvez être la Reine d'Angleterre que je n'en aurais cure! Vous ne passerez pas avant moi parce que vous vous sentez plus important! Je vous donne une chance alors ayez un peu d'intelligence et faites le bon choix!

Encore une fois elle lui avait répondu et cette fois-ci en sous-entendant qu'il était stupide. Il était près à lui dévoiler son nom, juste pour lui rabattre son caquet, avant de se raviser. S'il voulait fuir les journalistes, il ne valait mieux pas semer des indices sur ses intentions à tord et à travers. Elle ne l'avait pas reconnu, il fallait donc mieux qu'il garde son identité pour lui pour le moment. Mais ce n'était pas pour autant qu'il allait se taire.

-Vous, par contre, vous semblez vous prendre pour la reine. Vous croyez que je l'aurais fait s'il n'y avait pas urgence? Alors vous allez me fermer cette belle bouche et me laisser aller où je veux pour le moment.

Aussitôt le regard émeraude se chargea de colère - et un léger rougissement apparut sur ses joues put-il remarquer.

-Comment osez-vous!?

-Comme je viens de le faire, si vous n'aviez pas remarquer. Je pourrais recommencer mais je ne suis pas sûr que vous compreniez.

Il y était allé fort mais cette fille le mettait vraiment sur les nerfs. Il sentais la colère couler dans ses veines et envahir son esprit. Il sentais sa gorge se dessécher et sa vue se troubler. Son corps commençait à le faire souffrir mais il ignora les signaux d'alarme. Il les connaissait, il savait ce qu'il devait faire, se reposer entre autre, mais il était hors de question pour lui de demander de l'aide ou quoique ce soit à la furie qu'il avait à côté de lui: elle avait déjà bien trop empiété sur son égo pour qu'il se montre faible devant elle.

-Je ne vous permet pas! Je ne vous connais pas, vous ne me connaissez pas alors je ne vous permet pas de vous comporter comme l'enfoiré que vous semblez être! On ne vous a jamais appris les règles de politesse!?

-Bien sûr que si. Mais dans mon cas, elles ne valent que pour certaines personnes et malheureusement, vous n'en faites pas partie. Et vous, on ne vous a jamais appris que c'était impoli de hurler sur les gens?

Les joues de la jeune femme s'échauffèrent, réalisant très certainement la véracité de ce qui venait d'être dit et de son comportement impétueux, mais cela ne l'arrêta pas pour autant. Au contraire, l'envie de faire taire cet inconnu arrogant et malpoli se fit plus forte.

-Comme vous l'avez dit les bonnes manières, ça se mérite. Et vous ne méritez pas les miennes. Heureusement il reste quelques personnes qui en ont, comme notre cher conducteur, qui m'amène là où JE veux. Vous ne passerez qu'après.

Sur ce, elle s'assied confortablement sur le siège, un sourire au lèvres, visiblement fière d'elle - et elle le montrait. Cette fille était vraiment une furie et il nota mentalement que c'était un bon surnom pour elle, la Furie.

Et avant qu'il ai pu dire quoique ce soit, le taxi s'était arrêté. Ils étaient arrivés.


N'oubliez pas: Reviewer, follower, favoriter et l'histoire continuera! :)

(Et oui, tout ce que je viens d'écrire dans cette note est totalement français! :b)