Titre: Fanfiction Bleach_Shibuya Gang Infirmery
Résumé: Ichigo Kurosaki, 23 ans, tente de recommencer sa vie. Ex-Vice-Capitaine dans l'un des gangs de Shibuya, La Deuxième Division De La Cour, il tente de tourner la page et c'est trouvé un emploi d'infirmier dans un internat pour garçon très côté. Mais entre le sublissime directeur et les élèves dangereusement entreprennants, le jeune homme n'est pas au bout de ses peines... Et quand le passé s'en mèle...
Chapitre: 1_How To Change His World
Rating: K+ pour l'instant mais ça peut changet selon ce que je voudrais écrire
Disclamer: Tite Kubo est le seul et unique créateur de Bleach et de ses personnages, par contre, j'en ai fais ce que je voulais, c'est à dire n'importe quoi...
Remerciements: Aux deux crétins complétement amoureux l'un deux l'autre qui m'inspirent ces histoires en me raccontant leur vie (surtout leur vie sexuelle) et qui sont mes amis, je crois. J'ai nommé Keita et Tony (ce sont des pseudos mais ils se recconnaîtront).
Dédicace: A mon chéri, mon chouchou Nathan(et l'anonymat alors?) à qui je dois mes pseudos.
En itallique ce sont les pensées
La voiture ralentit pour faire front au portail fermé. Par la fenêtre ,il apperçu le lycée, consruits dans ce qui semblait être du marbre . "Eh,bien,on peut pas dire qu'ils manquent de moyens!" L'automobile d'un noir métalique redémara pour se diriger vers le parking qu'il avait repéré près de l'établissement. Coupant le moteur, il éteignit la cigarette qu'il avait à la bouche dans le cendrier, attrapa la lanière de sont sac et sortit du véhicule. Déjà, un homme accourait vers lui,un grand sourire au lèvre, dans un cri qu'il cru dicerner comme son nom:
_ Ichigooooooooooooooooooooo!!!Tu m'as tellement manqué!Tu m'as fait peur tu sais lorsque tu es partit rejoindre les Divisions de la Cour,hein,tu sais?Et puis voilà que tu me demande de te trouver un boulot, j'éttas tellement conteeeeeeeeeeeeeeeeent!!!Tu peux pas savoir comment!
Le dit Ichigo contempla un instant l'homme qui le serrait dans ses bras à l'étouffer ,un air éberlué fixé au visage:
_Dis ,moi...Kaien....Tu n'aurais pas passé un petit peu trop de temps avec papa?
_Si,peut-être...Tu crois?
"Non,je ne le crois pas j'en suis sur" Le roux ne pris pas la peine de répondre et se dirigea vers ce qui semblait être les portes de l'internat. Son frère avait toujours été énergique mais là ,il ne pensait pas pouvoir s'arreter.S'il devenait comme Isshin, Ichigo ne saurait plus quoi faire à part le tuer ou se suicider. Un taré dans son entourage,c'était déjà assez!
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Le lycée comprenait deux grands bâtiments reliés entre-eux par des passerelles de verre. Le premier immeuble acceuillait les dortoirs et prenait la forme d'un carré. Il y avait en conséquence, au rez-de-chaussé, une cour intérieure autour de laquelle s'organnisaient différentes chambres. Kaien informa le roux qu'il s'agissait des appartements réservés aux surveillants, administateurs, à certains professeurs et aux élèves turbulents à surveiller. Au premier étage s'organisaient les chambres individuelles des élèves de dernière année. Le second palier ainsi que le troisième comprennaient les chambres à deux ou trois des élèves de première et deuxième année.
_Ils alternent tous les ans, précisa le brun.
_Pardon?
_Ca veux dire que une année le deuxième étage est envahit par les secondes et que l'année suivante, une fois passés en première, ils restent au deuxième et les nouveaux élèves emménagent au troisième. A leur passage en terminale, les chambres sont à nouveau libre pour les secondes.
_Oh, je vois...Ca évite les déménagements inutiles...
_En effet! Le deuxième bâtiment est celui utilisé pour les cours et l'administration. Certains élèves ne sont pas internes donc il est mis à l'avant par rapport à l'autre. Les passerelles qui relient les deux bâtiments sont contrôlées par des portes éléctroniques qui s'ouvrent grâce à des pass. Ces mêmes pass servent à contrôler les entrées dans ce bâtiment. Du coup, on peut avoir des renseignements sur les présences et les retards des élèves. C'est plus facile à gérer.
Ils arrivèrent sur ces mots devant une porte où une plaque doré signalait le bureau du directeur.
_Bon, Ichi, je te laisse. Le directeur te parraîtra sans-doute un peu froid, mais c'est quelqu'un de bien et il a un bon jugement. dit Kaien.
Et il laissa son frère seul devant la porte de bois. "Salaud!"
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Ichigo inspira profondément avant de pousser la lourde porte. Il pénétra dans un bureau aussi vaste que bien ordonné. Les murs étaient recouverts d'une immense bibliothèque en ébène et toute la pièce semblait jouer sur le contraste noir/blanc. Dérière l'incroyable table entièrement en verre, se tenait un homme d'une beauté froide et d'une classe absolue qui portait son costume noir, semblabe à un smoking, comme on porte une tenue décontactée, sans pour autant avoir l'air inaccessible. "Pas repousssant..."
_Kuchiki Byakuya, se présenta-t-il.
Le nom sonna vaguement dans la mémoire du roux, lui évoquant quelque chose de sa vie passée, bien avant qu'il ne "tourne mal". Il n'eût cependant pas le loisir de s'interroger car l'homme, lui présentant le confortable fauteuil rembouré en velour noir en face de lui, commença l'entretient.
_Présentez-vous, je vous prie.
_Kurosaki Ichigo, 23 ans, j'ai suivi un cursus médical avant d'abandonner mes études et entrer dans un gang. Je suis ici grâce à un coup de main, un piston même, de mon frère, Kaien, qui m'a trouvé ce poste d'infirmier scolaire.
_Votre franchise est désarmante... Bien que je connaisse votre passé, j'aurai cru qu'il me faille vous tirer les vers du nez avant que vous n'osiez me l'avouer...
_Je suis peut-être un voyou, enfin ex-voyou, mais j'ai toujours mis la franchise avant tout, ça m'a pas apporté que des bonnes choses...
_Je comprends, dit simplement le brun. Que pensez-vous du poste d'infirmier qui vous a été proposé? Croyez-vous pouvoir en assumer la résponsabilité?
_Franchement... Je sais que c'est un travail que, professionnellement, je peux faire. Mais je ne pense pas que me mettre en relation avec des jeunes influencables soit une très bonne idée...Je ne suis pas quelqu'un de parfait, ni d'innocent, vous le savez, et ça risque de les faire,-hum- mal tourner. Enfin, je pense que que ce serait mieux pour ces gosses de faire sans moi...
Le directeur ne commenta pas. Il se contenta d'écrire quelques mots sur une feuille, la plier consciencieusement et la glisser délicatement dans une envellope vierge qu'il referma avec la même précaution.
_Continuez, dit-il simplement.
Et le roux continua. Et il parla de choses qu'il n'avait jamais évoqué à personne d'autre. Il parla à cet homme inconnu sans complexes, aucun. Il parla à s'en briser la voix. Il parla de la mort de sa mère, des mauvaises fréquentations, des études qu'il avait arretées trop tôt, du gang dans lequel il s'était engagé, son ascention dans les hautes sphères de celui-ci, la guerre avec les autres groupes, sa prise de conscience quant à la rélité de sa vie, son envie de couper les ponts, le lynchage en règle qui suivi, du moment où il s'était réfugié chez son père, en loque, pour recevoir des soins et un abri, le travail que celui-ci lui avait trouvé dans l'établissement où son jumeaux travaillait...
_Et voilà où j'en suis aujourd'hui...conclu-t-il la voix brisée et la gorge déséchée.
Il se sentait au bord des larmes, pourtant il était soulagé, et ce, sans savoir vraiment pourquoi...
Pourtant, il n'éspérait rien. Il savait que personne de sensé ne l'embaucherait, il ne s'embaucherait pas lui-même! Et l'homme devant-lui avait l'air plus que sensé. Il savait que son passé referait surface à chaque fois qu'il voudrait avancer, et qu'il le tirerait inévitablement en arrière pour l'empêcher de continuer à vivre comme un homme nouveau.
_Prenez ça.
Il s'agissait de l'envellope refermée plus tôt. Ichigo l'ouvrit, se traitant mentalement d'idiot, il avait débalé sa vie, chose qu'il n'avait jamais faite par ailleurs, à quelqu'un qui, dès le début comptait le...
_Embauché???
Il leva des yeux ronds sur son nouvel employeur. "Comment je peux être engagé avec de tels antécédents? Il doit y avoir une erreur. C'est une blague?" Mais la mine impassible du Kuchiki le convaincu du contraire.
_Ai-je précisé que je suis gay? dit Ichigo.
Le brun haussa un sourcil et à la grande surprise de l'autre jeune homme, il sourit
_Est-ce une proposition?
"C'est vrai que je ne dirais pas non à un type pareil mais... Nan, il doit avoir dit ça pour m'emmerder..."
Il sembla s'ammuser un instant du visage abasourdi du roux, avant d'ajouter:
_Kurosaki, vous paraissez prêt à tout pour ne pas obtenir ce travail...Je suppose que quitter un monde pour revenir dans un autre doit être difficile, mais affrontez les événements plutôt que de les fuir ou les contourner.
Le discour du directeur fit effet et le nouvel infirmier l'assura qu'il apporterait ses affaires dans la semaine, à peu près au moment où les élèves viendraient. On lui donna un pass d'accès et il sortit de la pièce bichrome sans remarquer le léger sourire flottant sur les lèvres de Byakuya Kuchiki...
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Effectivement, Ichigo s'installa en même temps que les élèves, bien que la plupart des ses affaires aient été apportées un ou deux jours plus tôt. Kaien l'aida à tansporter les quelques derniers cartons, qu'ils mirent dans la voiture noire du roux avant de les déposer dans ses nouveaux appartements. Au dernier voyage entre la BMW et la chambre n°13, il commença à observer les élèves et leurs parents qui couraient dans tous les sens, ou presque. Il plaignait les premières année qui, cette fois, devaient loger au troisième étage et qui, n'ayant pas l'habitude des internats, avaient sûrement pris trois tonnes d'affaires qui seraient confisquées dans la semaine. Les habitants du deuxième n'avaient qu'une ou deux grosses valises, tout comme les terminales dont l'établissement avait déménagé les effets automatiquement pendant les vacances. Les parents, eux, étaient surtout là pour embrasser leurs gosses, leur prodiguer un dernier conseil -brosse toi les dents!-, ou les prévenir qu'à la moindre connerie ils rentraient illico chez eux. "Marrant!"
Ce fut donc le sourire aux lèvres qu'il pénétra dans l'infirmerie, son carton dans les bras. La pièce était spacieuse et acceuillait quatre lits, deux de chaque côtés, chacun entouré par des rideaux blanc, formant un petit couloir qui aboutissait sur un large bureau en bois blanc lequel faisait face à une immense fenêtre donnant sur un parc public installé près du lycée. Le roux posa son fardeau sur la table et en inspecta les tiroirs. Il en resortit un trousseau de clées où une étiquette indiquait "infirmerie de l'internat" et un autre pour l' "infirmerie du lycée". Avec le premier, il ouvrit l'énorme placard nacré à sa gauche. Il y découvrit tout ce dont il avait besoin pour excercer sa fonction d'infirmier, mais, prenant son carton, il y fit quelques apports personnels. Une fois la boîte vidée, il la plia et franchit une porte noire, à sa droite, qui détonnait dans la blancheur totale de la pièce, et où un panneau "PRIVE" orné de têtes de mort marquait le début de son espace.
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Un peu plus tôt, et à sa grande surprise, il avait découvert qu'il s'agissait plus d'un appartement que d'une chambre et qu'il disposait d'une salle de bain ainsi que d'une cuisine américaine ouverte sur un salon-chambre plutôt spacieux. Il comprenait mieux pourquoi les déménageurs avaient égalemment pris son mobilier lors de leur passage. Mobilier qui avait parfaitement trouvé sa place et dont les tons sobres, les lignes épurées et les matériaux modernes ou modernisés s'adaptaient parfaitement aux pièces. Il posa le carton dans un coin en attendant de pouvoir le jetter et commença à vider ceux encore pleins.
Il rangea ses vêtements, tous noirs ou presque, dans une penderie qu'il avait réussi à caser avec élégance dans le salon, avant de s'attaquer à sa vaisselle, qu'il rangea dans les placards miroir de la cuisine entièrement en inox, puis se tourna vers le petit mobilier. Il installa son téléviseur sur une table basse entièrement en verre, en face d'un canapé couleur neige, qui allait en parfaite adéquation avec son tapis à franges encre et les murs crème. Son ordinateur portable pris place sur un bureau, placé près du placard à vêtements, mais qui laissait cependant de la place pour ouvrir la porte-fenêtre située juste dérière et qui donnait sur le parc. Sa chaîne Hi-fi s'offrit un coin sur une merveille: une table entièrement en verre entourée de chaises, en verre également, et dans lesquels on pouvait observer des formes noires et nacrées, fondues avec le matériaux et qui étaient du plus bel effet. Le verre était, semble-t-il, recouvert d'une couche de polyamydes qui l'empêchait de se briser -heureusement!- . Ainsi, il fit aussi la part belle à deux ou trois bricoles qu'il avait hérité de son adolescence et de sa période dans les rues de Shibuya.
Une fois satisfait de sa décoration, il s'autorisa une petite pause et, prenant une serviette dans un placard parfaitement rangé et ordonné, il se dirigea vers la salle de bain. C'était la seule pièce où l'architecte s'était autorisé de la couleur et le carrelage vitré qui recouvrait les murs arborait un fresque magnifique.
Sur un ciel rosé par un magnifique coucher de soleil -à que ce ne soit l'aube?- s'étendait un temple dont les torii rouges vifs, le chemin de pavés argents, les boisures d'ébène et le parvis blanc se devinaient dérière un large jardin de sakura tortueux en fleurs dans lesquel soufflait un vent léger. C'était la deuxième fois qu'il pénétrait dans la salle d'eau et il restait impressionné par la qualité du décors. Car, si les jointures ne gâchaient en rien le tableau, celui-ci débordait sur toute la pièces. Le lavabo, les portes de la douches et de la pièce, le miroir, les placards et même la cuvette de WC composaient un élément du paysage, si bien que l'on semblait se perdre dans cette oeuvre d'un réalisme saisissant. On se croyait dans une fôret de mille cerisiers.
Ichigo en était persuadé: cette pièce resterait longtemps gravée dans sa mémoire et peu importe le nombre de fois où il y passerait, il serait toujours autant stupéfié. Il se demandait s'il s'agissait d'une demande du directeur ou si la personne qui avait confectionnée la pièce avait fait à son envie. Il s'interrogea également pour savoir si tous les appartements pour les professeurs étaient semblables au sien, avant de renoncer à ces interrogations: Kaien y répondrait bien assez tôt.
En se déshabillant, il pensa à son frère et constata, une fois de plus, que, malgré la gémélité, ils étaient totallement différents. "Avant, ce n'était pas comme ça... Non, vraiment pas... Mais depuis ce jour là... Nous avaions tous les deux changés. Et moi, je m'étais noyé dans ma douleur..."
Un jet d'eau brulant chassa ses sombres pensées. Ce job était l'occasion inespérée de refaire sa vie, une sorte de seconde chance accordée par Kami-sama et qu'il ne gâcherait pour rien au monde. Mais... Il laissa l'eau couler sur son corps, tentant, en vain de se relaxer, de ne pas penser à ce qui arriverait si sa chance tournait et que Kami-sama l'abandonnait. Encore un fois. Il ne voulait plus retourner à Shibuya. Jamais. Vivre ce qu'il avait vécu l'avait fait mûrir à un point qu'il ignorait encore lui-même, mais il se rendait compte qu'il y avait des choses que personne ne devait subir et peu importe la chance, qu'elle l'abandonne ou pas, il ferait au moins ce qu'il avait décidé au décès de sa mère, quand il s'était engagé dans la voie de la médecine: que personne ne vive ce que lui avait vécu, même s'il devait trimer comme un chien pour y arriver.
Une nouvelle lueur brillat dans son regard à sa sortie de la cabine. Une lueur que l'on y avait pas vu depuis longtemps. Une lueur de déterminetion. Une lueur d'espoir.
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Prochain Chapitre: "Black an' Blue": Pas facile de profiter de son dernier jour de vacances et de son nouvel appartement, quand les élèves se mettent à se battre! Si, en plus, ils vous aguichent pendant les soins, rien ne va plus!
Ichigo va l'apprendre à ses dépends... ou pas!
Alors, qui de Grimmjow ou de Ichi va envouter l'autre? La Suite au prochain épisode!
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Dans cette fic, j'essaierais d'être un peu plus sérieux donc, pas de commentaires ultra spéciaux des acteurs (pour le moment). Les chapitres sont courts comme d'hab', cependant!
Par contre, pour les couples, j'hésite entre faire un Ichi x Bya et un Ichi x Grimm. Désolé pour ceux qui auraient éspéré autre chose mais ce sont les couples que je préfère et que j'ai donc plus de facilité à mettre en situation. Donnez moi votre avis! (une petite review, ça coûte pas cher -rien, en fait- mais on aime tellement!)
Merci d'avance!
