CHAQUE CHOSE EN SON TEMPS.
***Caserne des pompiers***
Jimmy : Je te jure ! Jo : Attend, tu veux dire que ce mec était sur le point de cramer et la seule chose qui trouve à te dire, c'est « Donne moi une glace à la banane ? » Walsh : Y'en a qui sont totalement déjantés. J'veux dire que si je suis sur le point de rôtir pour finir en merguez, je penserais en priorité à ma famille. Jimmy : Et c'est pas tout. Lorsque j'ai réussi à le descendre, il a été voir sa femme et la première chose qui lui a demandé c'est si elle avait pas 1$ pour qu'il aille s'acheter une glace à la banane.
Kim, Alex, Doc et Carlos arrivent à ce moment là.
Kim : Qui est-ce qui voulait une glace à la banane ? Walsh : Un barge. Jimmy : Bon après-midi? Doc : Pas trop mauvais. On a eu deux accidents de voitures avec blessés légers, un avp. Carlos :.Et une bonne femme en détresse respiratoire qui voulait absolument que son poisson rouge l'accompagne à l'hôpital. Jo : En gros y'a que des cinglés aujourd'hui. Alex : Et il n'est que 17 heures
Kim prend une petite bouteille d'eau lorsque Jimmy se glisse derrière elle et la prend par la taille.
Kim : Oh, qu'est-ce qui te prends, t'es d'humeur câline ? Jimmy : Les hommes ont aussi besoin de tendresse parfois. Kim : Je ne me souviens pas avoir eu le droit à tant d'attention et d'affection pendant notre mariage. Jimmy : J'ai deux places pour le concert des Sharks demain soir, ça te dirait d'y aller avec moi ? Kim : Un rencard maintenant ? De mieux en mieux. Jimmy : Alors ? Kim : Faut voir Elle se dégage de l'étreinte de son ex-mari et se dirige vers l'escalier Jimmy : Voir quoi ? Kim : Si je dois décommander Boscorelli. Jimmy : Bosco ? Kim : Hé relaxe je plaisantais ! Détend-toi, tu vas nous faire un infarct'.
*** Dans les rues de New York***
Bosco : Ah, LA FERME Homme1 : Mais c'est lui qui a commencé Homme2 : C'est pas vrai Bosco : Et puis vous avez continué ! Alors il a enchaîné donc vous vous êtes défendus. Homme1 : Comment vous savez ça ? Bosco : J'suis voyante ! Faith se rapproche de son partenaire.
Bosco : Je vais devenir dingue ! Mais ils ont décidé d'être cons, aujourd'hui ? Faith : Calme toi ! Bosco : À cause d'eux on va avoir trois tonnes de paprasse à faire ! Faith : C'est le métier ! Allez messieurs, vous allez rentrer sagement là- dedans. Homme1 : Quoi, parce qu'en plus vous m'embarquez ? C'est pas de ma faute si cet abruti m'est rentré dedans. Homme2 : Je ne l'ai pas fait exprès. Homme1 : Ah non ? Homme2 : Non, si je l'avais fait exprès je me serais arrangé pour que vous ne puissiez plus parler ! Homme1 : Quoi ? Vous voyez bien il me menace ! J'y suis pour rien là-dedans c'est dingue ! Bosco : Ah oui ? Et lorsque vous avez frappé, c'était une puissance extérieure qui agissait à votre place ? Vos mains n'étaient plus sous contrôle ? Homme1 : Mais. Bosco : Montez là-dedans, dépêchez-vous. Faith : C'est aussi valable pour vous monsieur.
Faith referme la porte de la patrouilleuse.
Bosco : C'est un super début de journée, vraiment ! Faith : Faut de tout pour faire un monde.
Ils montent dans la voiture puis s'en vont.
*** Mickey Mantle's, sur la 59ème***
Ty : J'adore ça ! Sully : Ouais elles sont plutôt bonnes Ty : Non je ne parle pas des frites, mais du fait que pour une fois, on peut manger tranquillement sans avoir d'appel. Sully : C'est vrai que c'est calme aujourd'hui. Ty : Comment ça va avec Tatiana ? Sully : Depuis cette histoire avec Chevchenko elle est plutôt à cran. Ty : Ca se comprend Sully : Je n'arrive pas à croire qu'elle m'a menti Ty : Ben c'est pas forcément évident de dire quelque chose comme ça. Tu la voyais arriver devant toi et te dire « Sully mon vrai nom est Natascha et je travaille pour la mafia ? Mais ne t'inquiète surtout pas tout baigne » Sully : C'est vrai Ty : L'essentiel pour le moment c'est que vous réussissiez à vous retrouver. Sully : Je l'aime, c'est ça le pire ! Ty : L'amour est une science trop complexe pour le commun des mortels. Suis ton c?ur, c'est tout. Sully : Mouais. Central : 55 Charlie, un 10-9 au 1045 de la 1ere avenue. Ty : 55 Charlie à Central, 1045 de la 1ere avenue, bien reçu. Une perturbation domestique ! Sully : Génial ! ***38ème Rue, au niveau de Lexington***
Faith et Bosco descendent de la patrouilleuse. Les pompiers sont entrain d'éteindre un feu tandis que Doc et Kim s'occupent des blessés.
Faith : C'est pas trop grave ? Doc : Non juste quelques blessés légers et deux intoxications à la fumée. Bosco : Alors Doherty, t'éteint le feu que ta maman a mis ? Jimmy : Oh je croyais que c'était la tienne, quand elle a oublié d'éteindre sa cigarette qu'elle a laissée près de son verre de whisky. Bosco commence à prendre des mesures en avant quand Faith l'attrape par le bras. Kim : Oh les mecs on se calme ! Faith (à Bosco): Fait pas ça ; ça n'en vaut pas la peine. Bosco (à Doherty) : Ne t'avise plus jamais de parler de ma mère comme ça c'est clair ? Jimmy : Quoi j'ai heurté le petit fi-fils à sa maman ? Bosco se retourne Faith : Bosco ! Ca sert à rien Central : Central à 55 David, une bagarre signalée au 14 de la 38ème. Faith : 55 David à central, on y va. (À Bosco) : C'est juste en face. Viens ! Bosco se dirige nerveusement vers le bâtiment juste de l'autre côté de la rue tandis que Kim s'approche de Jimmy. Kim : Bien joué, t'as le chic pour blessé les gens toi. Jimmy : C'est lui qui a commencé ! Kim : Oh mais grandit un peu. C'est pas le genre de sujet sur lequel on plaisante. Doc : Kim j'ai besoin de toi ici. Elle s'éloigne de Jimmy et va voir la patiente que Doc lui a indiquée. Jimmy : Il l'a cherché !!!
Bosco et Faith se dirigent vers l'appartement indiqué par le concierge. Faith regarde Bosco.
Bosco : Quoi ? Tu veux ma photo ? Faith : Ca va ? Bosco : Non ça ne va pas, comment est-ce qu'il a osé ? Faith : Ecoute je reconnais que Doherty n'est pas très finaud, mais tu l'a provoqués. Bosco : Et ça lui donne le droit d'insulter ma mère ? Faith : Je ne lui donne pas raison, mais si t'apprenais à te la fermer quand il le faut, vous n'en arriveriez pas là tous les deux. Bosco : Je ne supporte pas ce type Faith : Est-ce que tu te supportes seulement toi-même ? Bosco : Ca veut dire quoi ça ? Faith : On y est. Ah mais ça pu ici ! Bosco : Non me dis pas que. Faith : Police, ouvrez la porte ! Aucune réponse Bosco : Ils ne sont pas très réceptifs on dirait. Faith : Police ! Bosco : J'ai une meilleure idée. Il s'éloigne un peu de la porte et la défonce à coup de pied, puis entre. Faith (sur un air déploré): Ah ! La virilité en action ! Elle suit son partenaire. A l'intérieur tout est enfumé. Bosco : Oh, mais c'est l'aquarium ici ! En traversant le salon, ils tombent sur une dizaine de camés avachis de tout leur long soit sur le canapé soit parterre. Bosco : Alors on se fait une petite fête ? Un ? Il se dirige vers un noir, coiffé de rastas, entrain de se fumer un split. Bosco : Un ? C'est pas gentil ça les gars, vous organisez une boom et je suis même pas invité ? Arrête de fumer, toi (en disant ça il enlève le spliff de la main du type et le jette au sol, tandis que Faith regarde autour d'elle) Faith : On nous a appelé pour une bagarre, vous ne sauriez pas au courant ? Bosco : Hé les demeurés, elle vous a posé une question ! (Au mec avachi sur le canapé) Hé toi Rastaman, oui toi, là avec tes cheveux, tu ne saurais pas ce qui se passe ? Rastaman (complètement défoncé) : Nonnn Faith : Laisse tu n'en tireras rien. Bosco : Je rêve pas là ? Il se dirige vers une autre pièce. Bosco : Mais c'est un bang ! Et un gros en plus !!! D'accord vous êtes tous en état d'arrestation Faith : Arrestation ? Bosc. Bosco : Tout le monde les mains en l'air Faith : Bosco, tu ne peux pas tous les arrêter ; ils sont onze. Bosco : Quoi je devrais les laisser se procurer de la came, en profiter et ensuite les laisser revendre le reste à des gosses ? Faith : Ah oui et tu comptes faire quoi une fois qu'ils auront tous les menottes aux poignets ? Les mettre tous les onze dans la voiture ? Bosco : On peut très bien les faire courir derrière. Faith : Ah ! Bon écoute, on nous a signalé une bagarre dans cet appartement exact ? Bosco : Et alors certainement que c'est un voisin qui a senti les odeurs et qui a appelé le 911 sous un faux prétexte. Faith : Tu connais les revendeurs Bosco, ils sont assez stupides pour vendre de la came, mais en, général ils restent clean. Bosco : Tu veux en venir où ? Faith : Regarde ces sachets, ils sont à peine entamés. Bosco : Tu penses qu'ils pourraient être toujours ici ? Faith : Quand on était dehors j'ai remarqué deux types entrer dans cet immeuble. Et puisqu'on n'a pas bougé, qu'ils ne sont pas sortis, ils ne peuvent être qu'ici. Je ne suis pas sûr que ce soit ceux-là, mais on était sur les lieux bien avant l'appel. De plus c'est un tout petit immeuble. Bosco : Je vais vérifier au fond. Faith : J'appel des renforts. 55 David à Central, possibilité de 10-5 à cette adresse. Besoin de renforts. Central : Central à 55 David, possibilité de 10-5. Les renforts sont sur la route.
*** Dans la patrouilleuse de 55 Charlie***
Sully : Des places pour le concert de Bruce Springstin ? Ty : Oui, demain soir au premier rang. Sully : Waou, ça m'a l'air d'être du sérieux entre vous. Ty : Alex est vraiment une fille chouette. Je tiens beaucoup à elle, et j'espère que ça va durer le plus longtemps possible. Sully : Et vous n'êtes pas trop dérangés par Carlos pour vos. vos ébats amoureux ? Ty (sourire au coin des lèvres) : Il est toujours plongé dans ses bouquins à la bibliothèque où alors il ramène une fille. Il vit d'un côté de l'appart, moi de l'autre, et franchement, ça me va ! Sully commence à rire. Central : A tous les 55, on signale un 10-5 possible au niveau de la 38ème rue. Tous les renforts disponibles doivent se rendre à cette adresse. Sully : 55 Charlie, on y va.
Les pompiers étaient encore entrain d'essayer de maîtriser le feu lorsque des voitures de police arrivèrent de l'autre côté de la rue. Doc et Kim, qu'Alex et Carlos avaient rejoint pour les aider à s'occuper des blessés, relevèrent la tête.
Kim : Echelle de glasgo à 20. Carlos : Qu'est-ce qui se passe ? Doc : Aucune idée.
Ils virent Sully et Davis sortir de la patrouilleuse.
Doc : Hé Sully qu'est-ce qui se passe ? Sully : On tient probablement des dealers. Ty (faisant un clin d'?il à Alex) : Salut Alex (un grand sourire) : Salut Sully : Davis ! Tu dragueras après. Ils rentrèrent dans la construction pendant que Carlos lança un regard à Alex. Carlos : Hé miss belle au bois dormant, les patients n'attendent pas ! Alex : Ouais !
Elle aida Carlos à charger deux patients dans l'ambulance puis ils partirent en direction de la Pitié.
Sully : Yokas qu'est-ce qui se passe. Faith : On a été appelé pour une bagarre et on est tombé sur des drogués. Leurs fournisseurs pourraient être ici. Ty : Où est Bosco ? Bosco : Ici. Y'a rien ! On a vérifié le premier étage. Sully, Ty vous prenez le troisième. On va vérifier le deuxième. Sully : Ok.
Bosco et Faith vérifiaient les appartements un à un, tandis que Sully et Ty faisaient de même. La progression était lente et assidue. Lorsque Ty ouvrit la porte de l'avant dernier appartement, il senti un objet rentrer en collision avec lui, ce qui lui fit perdre l'équilibre et tomber en arrière, s'assommant moitié contre le mur. Sully : Davis ? Il s'approcha de son partenaire mais un homme lui fonça dessus et lui décrocha un bon direct du droit, qui le fit valser en arrière. Puis un autre homme sorti de l'appartement en courant, et tous deux dévalèrent les escaliers. Sully attrapa sa radio : Bosco ; Faith, deux hommes dans les escaliers. Ils sont à vous. Faith : Bien reçu Sully Bosco vit les deux hommes descendrent en trombe. Bosco : Police, arrêtez ! Mais les deux hommes continuèrent. Bosco commença à les poursuivre, suivit par Yokas Sully : Davis ça va ? Ty : Un peu sonné. Oh ben il t'a pas loupé le mec ! Sully toucha sa lèvre qui était gonflée et saignait.
Les pompiers et secouristes finissaient de ranger leur matériel lorsqu'ils virent les deux types sortir en courant.
Jimmy : Tiens ils sont coursés par Bosco je suis sûr !
Bosco apparu à ce moment là et vit les types disparaître juste dans une allée en côté.
Bosco : Du cons, arrêtez ça veut dire STOP !
Il s'engagea après eux.
Jimmy : J'suis bien content d'être pompier ! Jo : Ouais ? Jimmy : Ouais ; pas besoin de courir pour épater les filles, l'uniforme suffit ! Les pompiers se mirent à rire. Doc : Et c'est ce type là que t'as épousé ? Kim : Ouais je me demande comment j'ai fait pour rester cinq ans avec lui. Doc : T'étais folle ? Kim : Sans doute !
Bosco s'avança dans l'allée mais ne vit personne, seulement des papiers par terre et une beine à ordures. Il s'arrêta de courir et avança prudemment lorsqu'un des deux hommes surgit de derrière la beine et lui asséna un coup dans le dos, ce qui causa la surprise et lui fit lâcher son arme. L'autre homme arriva et prit l'arme, tandis que Bosco essayait de se dégager de la poigne du premier. L'homme commença à diriger l'arme à Bosco lorsque Faith surgit. Bosco la vit du coin de l'?il.
Bosco : Faith dégage de là ! Faith !
Une détonation se fit entendre. Faith tomba en arrière, sur le trottoir ; tandis que l'homme abaissa l'arme à la tempe droite de Bosco, ce qui eût pour effet d'assommer ce dernier. Puis les deux hommes s'en allèrent en courant. Les deux policiers étaient à terre, l'un allongé sur le bitume, l'autre avait la tête en sang. Aucun des deux ne bougeaient. Plus un mouvement, juste le silence.
***Caserne des pompiers***
Jimmy : Je te jure ! Jo : Attend, tu veux dire que ce mec était sur le point de cramer et la seule chose qui trouve à te dire, c'est « Donne moi une glace à la banane ? » Walsh : Y'en a qui sont totalement déjantés. J'veux dire que si je suis sur le point de rôtir pour finir en merguez, je penserais en priorité à ma famille. Jimmy : Et c'est pas tout. Lorsque j'ai réussi à le descendre, il a été voir sa femme et la première chose qui lui a demandé c'est si elle avait pas 1$ pour qu'il aille s'acheter une glace à la banane.
Kim, Alex, Doc et Carlos arrivent à ce moment là.
Kim : Qui est-ce qui voulait une glace à la banane ? Walsh : Un barge. Jimmy : Bon après-midi? Doc : Pas trop mauvais. On a eu deux accidents de voitures avec blessés légers, un avp. Carlos :.Et une bonne femme en détresse respiratoire qui voulait absolument que son poisson rouge l'accompagne à l'hôpital. Jo : En gros y'a que des cinglés aujourd'hui. Alex : Et il n'est que 17 heures
Kim prend une petite bouteille d'eau lorsque Jimmy se glisse derrière elle et la prend par la taille.
Kim : Oh, qu'est-ce qui te prends, t'es d'humeur câline ? Jimmy : Les hommes ont aussi besoin de tendresse parfois. Kim : Je ne me souviens pas avoir eu le droit à tant d'attention et d'affection pendant notre mariage. Jimmy : J'ai deux places pour le concert des Sharks demain soir, ça te dirait d'y aller avec moi ? Kim : Un rencard maintenant ? De mieux en mieux. Jimmy : Alors ? Kim : Faut voir Elle se dégage de l'étreinte de son ex-mari et se dirige vers l'escalier Jimmy : Voir quoi ? Kim : Si je dois décommander Boscorelli. Jimmy : Bosco ? Kim : Hé relaxe je plaisantais ! Détend-toi, tu vas nous faire un infarct'.
*** Dans les rues de New York***
Bosco : Ah, LA FERME Homme1 : Mais c'est lui qui a commencé Homme2 : C'est pas vrai Bosco : Et puis vous avez continué ! Alors il a enchaîné donc vous vous êtes défendus. Homme1 : Comment vous savez ça ? Bosco : J'suis voyante ! Faith se rapproche de son partenaire.
Bosco : Je vais devenir dingue ! Mais ils ont décidé d'être cons, aujourd'hui ? Faith : Calme toi ! Bosco : À cause d'eux on va avoir trois tonnes de paprasse à faire ! Faith : C'est le métier ! Allez messieurs, vous allez rentrer sagement là- dedans. Homme1 : Quoi, parce qu'en plus vous m'embarquez ? C'est pas de ma faute si cet abruti m'est rentré dedans. Homme2 : Je ne l'ai pas fait exprès. Homme1 : Ah non ? Homme2 : Non, si je l'avais fait exprès je me serais arrangé pour que vous ne puissiez plus parler ! Homme1 : Quoi ? Vous voyez bien il me menace ! J'y suis pour rien là-dedans c'est dingue ! Bosco : Ah oui ? Et lorsque vous avez frappé, c'était une puissance extérieure qui agissait à votre place ? Vos mains n'étaient plus sous contrôle ? Homme1 : Mais. Bosco : Montez là-dedans, dépêchez-vous. Faith : C'est aussi valable pour vous monsieur.
Faith referme la porte de la patrouilleuse.
Bosco : C'est un super début de journée, vraiment ! Faith : Faut de tout pour faire un monde.
Ils montent dans la voiture puis s'en vont.
*** Mickey Mantle's, sur la 59ème***
Ty : J'adore ça ! Sully : Ouais elles sont plutôt bonnes Ty : Non je ne parle pas des frites, mais du fait que pour une fois, on peut manger tranquillement sans avoir d'appel. Sully : C'est vrai que c'est calme aujourd'hui. Ty : Comment ça va avec Tatiana ? Sully : Depuis cette histoire avec Chevchenko elle est plutôt à cran. Ty : Ca se comprend Sully : Je n'arrive pas à croire qu'elle m'a menti Ty : Ben c'est pas forcément évident de dire quelque chose comme ça. Tu la voyais arriver devant toi et te dire « Sully mon vrai nom est Natascha et je travaille pour la mafia ? Mais ne t'inquiète surtout pas tout baigne » Sully : C'est vrai Ty : L'essentiel pour le moment c'est que vous réussissiez à vous retrouver. Sully : Je l'aime, c'est ça le pire ! Ty : L'amour est une science trop complexe pour le commun des mortels. Suis ton c?ur, c'est tout. Sully : Mouais. Central : 55 Charlie, un 10-9 au 1045 de la 1ere avenue. Ty : 55 Charlie à Central, 1045 de la 1ere avenue, bien reçu. Une perturbation domestique ! Sully : Génial ! ***38ème Rue, au niveau de Lexington***
Faith et Bosco descendent de la patrouilleuse. Les pompiers sont entrain d'éteindre un feu tandis que Doc et Kim s'occupent des blessés.
Faith : C'est pas trop grave ? Doc : Non juste quelques blessés légers et deux intoxications à la fumée. Bosco : Alors Doherty, t'éteint le feu que ta maman a mis ? Jimmy : Oh je croyais que c'était la tienne, quand elle a oublié d'éteindre sa cigarette qu'elle a laissée près de son verre de whisky. Bosco commence à prendre des mesures en avant quand Faith l'attrape par le bras. Kim : Oh les mecs on se calme ! Faith (à Bosco): Fait pas ça ; ça n'en vaut pas la peine. Bosco (à Doherty) : Ne t'avise plus jamais de parler de ma mère comme ça c'est clair ? Jimmy : Quoi j'ai heurté le petit fi-fils à sa maman ? Bosco se retourne Faith : Bosco ! Ca sert à rien Central : Central à 55 David, une bagarre signalée au 14 de la 38ème. Faith : 55 David à central, on y va. (À Bosco) : C'est juste en face. Viens ! Bosco se dirige nerveusement vers le bâtiment juste de l'autre côté de la rue tandis que Kim s'approche de Jimmy. Kim : Bien joué, t'as le chic pour blessé les gens toi. Jimmy : C'est lui qui a commencé ! Kim : Oh mais grandit un peu. C'est pas le genre de sujet sur lequel on plaisante. Doc : Kim j'ai besoin de toi ici. Elle s'éloigne de Jimmy et va voir la patiente que Doc lui a indiquée. Jimmy : Il l'a cherché !!!
Bosco et Faith se dirigent vers l'appartement indiqué par le concierge. Faith regarde Bosco.
Bosco : Quoi ? Tu veux ma photo ? Faith : Ca va ? Bosco : Non ça ne va pas, comment est-ce qu'il a osé ? Faith : Ecoute je reconnais que Doherty n'est pas très finaud, mais tu l'a provoqués. Bosco : Et ça lui donne le droit d'insulter ma mère ? Faith : Je ne lui donne pas raison, mais si t'apprenais à te la fermer quand il le faut, vous n'en arriveriez pas là tous les deux. Bosco : Je ne supporte pas ce type Faith : Est-ce que tu te supportes seulement toi-même ? Bosco : Ca veut dire quoi ça ? Faith : On y est. Ah mais ça pu ici ! Bosco : Non me dis pas que. Faith : Police, ouvrez la porte ! Aucune réponse Bosco : Ils ne sont pas très réceptifs on dirait. Faith : Police ! Bosco : J'ai une meilleure idée. Il s'éloigne un peu de la porte et la défonce à coup de pied, puis entre. Faith (sur un air déploré): Ah ! La virilité en action ! Elle suit son partenaire. A l'intérieur tout est enfumé. Bosco : Oh, mais c'est l'aquarium ici ! En traversant le salon, ils tombent sur une dizaine de camés avachis de tout leur long soit sur le canapé soit parterre. Bosco : Alors on se fait une petite fête ? Un ? Il se dirige vers un noir, coiffé de rastas, entrain de se fumer un split. Bosco : Un ? C'est pas gentil ça les gars, vous organisez une boom et je suis même pas invité ? Arrête de fumer, toi (en disant ça il enlève le spliff de la main du type et le jette au sol, tandis que Faith regarde autour d'elle) Faith : On nous a appelé pour une bagarre, vous ne sauriez pas au courant ? Bosco : Hé les demeurés, elle vous a posé une question ! (Au mec avachi sur le canapé) Hé toi Rastaman, oui toi, là avec tes cheveux, tu ne saurais pas ce qui se passe ? Rastaman (complètement défoncé) : Nonnn Faith : Laisse tu n'en tireras rien. Bosco : Je rêve pas là ? Il se dirige vers une autre pièce. Bosco : Mais c'est un bang ! Et un gros en plus !!! D'accord vous êtes tous en état d'arrestation Faith : Arrestation ? Bosc. Bosco : Tout le monde les mains en l'air Faith : Bosco, tu ne peux pas tous les arrêter ; ils sont onze. Bosco : Quoi je devrais les laisser se procurer de la came, en profiter et ensuite les laisser revendre le reste à des gosses ? Faith : Ah oui et tu comptes faire quoi une fois qu'ils auront tous les menottes aux poignets ? Les mettre tous les onze dans la voiture ? Bosco : On peut très bien les faire courir derrière. Faith : Ah ! Bon écoute, on nous a signalé une bagarre dans cet appartement exact ? Bosco : Et alors certainement que c'est un voisin qui a senti les odeurs et qui a appelé le 911 sous un faux prétexte. Faith : Tu connais les revendeurs Bosco, ils sont assez stupides pour vendre de la came, mais en, général ils restent clean. Bosco : Tu veux en venir où ? Faith : Regarde ces sachets, ils sont à peine entamés. Bosco : Tu penses qu'ils pourraient être toujours ici ? Faith : Quand on était dehors j'ai remarqué deux types entrer dans cet immeuble. Et puisqu'on n'a pas bougé, qu'ils ne sont pas sortis, ils ne peuvent être qu'ici. Je ne suis pas sûr que ce soit ceux-là, mais on était sur les lieux bien avant l'appel. De plus c'est un tout petit immeuble. Bosco : Je vais vérifier au fond. Faith : J'appel des renforts. 55 David à Central, possibilité de 10-5 à cette adresse. Besoin de renforts. Central : Central à 55 David, possibilité de 10-5. Les renforts sont sur la route.
*** Dans la patrouilleuse de 55 Charlie***
Sully : Des places pour le concert de Bruce Springstin ? Ty : Oui, demain soir au premier rang. Sully : Waou, ça m'a l'air d'être du sérieux entre vous. Ty : Alex est vraiment une fille chouette. Je tiens beaucoup à elle, et j'espère que ça va durer le plus longtemps possible. Sully : Et vous n'êtes pas trop dérangés par Carlos pour vos. vos ébats amoureux ? Ty (sourire au coin des lèvres) : Il est toujours plongé dans ses bouquins à la bibliothèque où alors il ramène une fille. Il vit d'un côté de l'appart, moi de l'autre, et franchement, ça me va ! Sully commence à rire. Central : A tous les 55, on signale un 10-5 possible au niveau de la 38ème rue. Tous les renforts disponibles doivent se rendre à cette adresse. Sully : 55 Charlie, on y va.
Les pompiers étaient encore entrain d'essayer de maîtriser le feu lorsque des voitures de police arrivèrent de l'autre côté de la rue. Doc et Kim, qu'Alex et Carlos avaient rejoint pour les aider à s'occuper des blessés, relevèrent la tête.
Kim : Echelle de glasgo à 20. Carlos : Qu'est-ce qui se passe ? Doc : Aucune idée.
Ils virent Sully et Davis sortir de la patrouilleuse.
Doc : Hé Sully qu'est-ce qui se passe ? Sully : On tient probablement des dealers. Ty (faisant un clin d'?il à Alex) : Salut Alex (un grand sourire) : Salut Sully : Davis ! Tu dragueras après. Ils rentrèrent dans la construction pendant que Carlos lança un regard à Alex. Carlos : Hé miss belle au bois dormant, les patients n'attendent pas ! Alex : Ouais !
Elle aida Carlos à charger deux patients dans l'ambulance puis ils partirent en direction de la Pitié.
Sully : Yokas qu'est-ce qui se passe. Faith : On a été appelé pour une bagarre et on est tombé sur des drogués. Leurs fournisseurs pourraient être ici. Ty : Où est Bosco ? Bosco : Ici. Y'a rien ! On a vérifié le premier étage. Sully, Ty vous prenez le troisième. On va vérifier le deuxième. Sully : Ok.
Bosco et Faith vérifiaient les appartements un à un, tandis que Sully et Ty faisaient de même. La progression était lente et assidue. Lorsque Ty ouvrit la porte de l'avant dernier appartement, il senti un objet rentrer en collision avec lui, ce qui lui fit perdre l'équilibre et tomber en arrière, s'assommant moitié contre le mur. Sully : Davis ? Il s'approcha de son partenaire mais un homme lui fonça dessus et lui décrocha un bon direct du droit, qui le fit valser en arrière. Puis un autre homme sorti de l'appartement en courant, et tous deux dévalèrent les escaliers. Sully attrapa sa radio : Bosco ; Faith, deux hommes dans les escaliers. Ils sont à vous. Faith : Bien reçu Sully Bosco vit les deux hommes descendrent en trombe. Bosco : Police, arrêtez ! Mais les deux hommes continuèrent. Bosco commença à les poursuivre, suivit par Yokas Sully : Davis ça va ? Ty : Un peu sonné. Oh ben il t'a pas loupé le mec ! Sully toucha sa lèvre qui était gonflée et saignait.
Les pompiers et secouristes finissaient de ranger leur matériel lorsqu'ils virent les deux types sortir en courant.
Jimmy : Tiens ils sont coursés par Bosco je suis sûr !
Bosco apparu à ce moment là et vit les types disparaître juste dans une allée en côté.
Bosco : Du cons, arrêtez ça veut dire STOP !
Il s'engagea après eux.
Jimmy : J'suis bien content d'être pompier ! Jo : Ouais ? Jimmy : Ouais ; pas besoin de courir pour épater les filles, l'uniforme suffit ! Les pompiers se mirent à rire. Doc : Et c'est ce type là que t'as épousé ? Kim : Ouais je me demande comment j'ai fait pour rester cinq ans avec lui. Doc : T'étais folle ? Kim : Sans doute !
Bosco s'avança dans l'allée mais ne vit personne, seulement des papiers par terre et une beine à ordures. Il s'arrêta de courir et avança prudemment lorsqu'un des deux hommes surgit de derrière la beine et lui asséna un coup dans le dos, ce qui causa la surprise et lui fit lâcher son arme. L'autre homme arriva et prit l'arme, tandis que Bosco essayait de se dégager de la poigne du premier. L'homme commença à diriger l'arme à Bosco lorsque Faith surgit. Bosco la vit du coin de l'?il.
Bosco : Faith dégage de là ! Faith !
Une détonation se fit entendre. Faith tomba en arrière, sur le trottoir ; tandis que l'homme abaissa l'arme à la tempe droite de Bosco, ce qui eût pour effet d'assommer ce dernier. Puis les deux hommes s'en allèrent en courant. Les deux policiers étaient à terre, l'un allongé sur le bitume, l'autre avait la tête en sang. Aucun des deux ne bougeaient. Plus un mouvement, juste le silence.
