Voici une autre histoire sur le thème de Doctor Who. Elle n'est pas entièrement finit, mais je vais bien finir par en faire quelque chose, non? Évidemment, si vous voulez donner votre avis, je suis ouverte. Peut-être ne vous écouterais-je pas et n'en ferais qu'à ma tête, mais que cela ne vous vexe pas, cela veut simplement dire que je sais où je m'en vais. Si jamais vous trouvez que les caractères des personnages s'éloignent des véritables, je m'excuse à l'avance, mais je vous préviens: je ne changerais pas ma façon d'écrire. Je ne peux garantir un total respect étant donné que nous ne pouvons connaître tout du personnage, même en écoutant cent fois les quatres saisons entières. Alors j'aime bien parfois utiliser des côtés que nous n'imaginerions peut-être pas chez le Docteur, chez Jack ou autre et c'est ce qui fait je crois, que mes histoires avancent. Tout ce que j'espère, c'est que malgré les différences, vous aimerez lire tout ça.

Spoilers pour les quatres saisons, je dirais lesquelles à chaque chapitre si je n'oublis pas. Spoilers de la saison 4 surtout dans le prologue.

Évidemment, tout dans cette histoire appartient à BBC et Compagnie, sauf ce qui sera inventé par moi.

Bonne lecture...


Prologue

La vie était faite de hasard, de douleur, de peine et de joie. L'univers était immense, infini et d'une beauté immense. L'existence était factice, joueuse et traîtresse. En 900 ans et des poussières, le Docteur avait apprit tout ça, avait vécu tout ça, avait subit tout ça...Des rencontres bienheureuses, des aventures extraordinaires, des situations délicates, des sentiments furtifs et malheureusement, des séparations plus que douloureuses. Pourtant il avait tout encaissé, avait tout accepté, hormis une seule et unique chose : la disparition de Rose Tyler. Elle n'était pas à proprement parlé disparue, les mots exacts seraient : il l'avait abandonné dans un univers parallèle avec un double qui ressemblait à lui-même, mais qui ne l'était pas. Il avait fait ce qu'il était capable de faire : fuir, toujours fuir. Pour ne pas ressentir cette souffrance, pour ne pas avoir l'impression de perdre son âme. Il voulait se préserver, car les humains sont mortels alors que lui est immortel. Pourtant, en la sentant si loin, il était justement dans l'état qu'il avait essayé sans succès d'éviter : la déprime. Pour un Seigneur du Temps ce pouvait être dangereux, surtout lorsque le vaisseau spatial, communément appelé TARDIS, était autant vivant que pouvait l'être son passager. Elle devenait alors terne et guidait plus ou moins bien le Docteur dans la bonne direction. Elle miroitait ses propres pensés.

« Alors...où va-t-on? » Demanda-t-il au TARDIS étant donné qu'il n'avait plus de compagne ; il avait effacé la mémoire de la dernière femme à être embarquée à bord.

L'homme temporel caressait distraitement la console de son vaisseau, comme il le faisait lorsqu'il était mélancolique, lorsqu'il pensait au passé. L'ambiance chaleureuse du TARDIS s'était légèrement assombrit depuis quelque temps ou plus exactement, depuis que le Docteur repensait à Rose, sa Rose Tyler, protectrice de la terre, le Méchant Loup.

Une secousse le jeta à terre, chose rare, prouvant qu'il était plus distrait que d'habitude.

« Je n'ai même pas enclenché de destination, alors pourquoi tu pars? »

Il ne comprenait vraiment pas ce qui se passait. Ce n'était pas normal, le TARDIS choisissait toute seule leur destination. Il se releva d'un bond et examina les coordonnées.

« Londres, Angleterre, Terre... » Récita-t-il alors que son air s'assombrissait. « Non...c'est un coup de traître que tu me fais là. » Ajouta-t-il n'ayant d'autre choix que de se laisser entraîner…