c'est ma première fanfic. alors soyez indulgents. non finalement ne le soyez pas. il faut que j'ai un avis(ou plusieurs) autre que ma meilleure amie pour savoir mon niveau.
diclaimer: les personnages et les lieux appartiennent à Suzanne Collins (sauf leurs pensées)
Aujourd'hui je vais m'inscrire au centre d'entrainement pour les Hunger Games du district 2, j'ai le droit de m'y inscrire parce que j'ai eu 10 ans la semaine dernière. Je suis dans le couloir pendant que mes parents remplissent des papiers dans un bureau, il y a un garçon à coté de moi. Je le sens me regarder, c'est bizarre, comme s'il lisait en moi.
-Salut, moi c'est Cato.
-salut, Clove
-tu essaies de ne pas te lier d'amitié ? Parce que tu as l'air plutôt froide.
-Nan, je ne te connais pas c'est tout.
-on pourrait apprendre à se connaître
-d'accord, tu restes en pensionnat ?
-ouais, mes parents pensent que je serais plus concentré sur l'entrainement.
-c'est marrant moi aussi.
-t'es en première année ?
-oui et toi ?
-moi aussi.
-tu t'es déjà entrainée ? Moi mes parents m'ont entrainé pour que j'aie un avantage sur tous les autres. Mais j'espère que personne ne va me détester à cause de ça.
-tous ? Je n'en serais pas si sur si j'étais toi. Je rigole. En tout cas moi je te déteste pas.
- c'est vrai tu me détestes pas ? J'ai cru que tu me détestais au début parce que quand tu me parles j'ai l'impression que tu voudrais que je parte.
-nan, c'est juste que je n'aie jamais eu d'amis.
-pourquoi tu as jamais eu d'amis ?
-mes parents m'en empêchais, ils disent que ça me ferait trop souffrir si j'étais envoyé dans les jeux avec l'un d'eux ou si Snow les envoyais dans les jeux avant moi et qu'ils mouraient.
-je te comprends, mes parents sont un peu pareils mais eux ils veulent que je me porte volontaire si le nom d'un de mes amis est tiré au sort.
-mais c'est…
-horrible, je sais. Bref, sinon tu utilise quoi comme arme ?
- couteaux, enfin plus précisément le lancer de couteaux.
-cool, on est fait pour s'accorder on dirait. Moi je manie les épées.
-cool, on est tout les deux attiré pas les objets tranchant à ce que je vois.
-on se voit demain ?
-ouais.
Il me sourit et s'en va, je crois que je viens de me faire un ami. Quand je reviens le lendemain c'est les évaluations pour nous mettre par deux par niveau de compétence. Je suis assise en attendant qu'ils nous appellent puis Cato s'assoie à coté de moi et me salue, on discute un peu de chose inutile comme à quel point les autres sont stresser par rapport à nous. Ils m'appellent ça y est, je vais enfin pouvoir lancer des couteaux. Je me place face aux cibles, prends six couteaux et dessine un cœur en les lançant.
-félicitations, vous serez avec le meilleur de votre année. Allez dans le dortoir 122, votre équipier arrivera plus tard.
Je m'en vais et rentre dans le dortoir, il y deux lits, un double et un simple. Je pense prendre le simple. Les doubles c'est trop grand je me sens seule dans un grand lit. Plus tard Cato rentre dans le dortoir, pourquoi est-il là ? C'est lui mon coéquipier ?
-Clove ? C'est toi la meilleure ?
-tu me sous estime ?
-non, enfin on ne se connait pas trop alors je ne connaissais pas ton niveau.
-oui, moi non plus je ne connaissais pas le tien.
-c'est cool, on se connait déjà un peu, ça va faciliter les choses
-ouais
-amis ?
-amis
On se sourit puis on va se coucher. Les jours passent et finalement on s'entend très bien. Deux années passent, on est devenus les deux meilleurs amis du monde, la plupart des gens disent que nous sommes bizarre. C'est vrai qu'on est toujours collé l'un à l'autre. Un jour je suis réveillée par Cato.
-Clove…
-hum ?
-faut aller à l'entrainement, tu viens ?
-j'arrive.
Je vais me préparer puis nous descendons. Cato va s'asseoir dans un coin en me tirant à sa suite. Quand les entraineurs ont finis leur discours nous nous dirigeons vers l'atelier des couteaux et des épées. Je dois avouer qu'il est plutôt doué avec une épée. Plusieurs filles nous charrient, je crois qu'elles sont jalouse du fait que Cato ne me parle qu'a moi, parce qu'on est toujours tous les deux. Ils nous traitent d'amoureux. Ils feraient mieux d'arrêter parce que nous somme surement les deux plus entrainé du centre et que je vois la main de Cato se resserrer sur le manche de son épée et que j'ai une panoplie de couteau sous la main. Elles passent à coté d'un mur à environ une dizaine de mètres de nous. Je regarde les couteaux puis elles, de nouveaux les couteaux. Elles se retournent vers nous et disent une autre chose que je n'écoute même pas. C'est celle de trop. Je prends un couteau, le lance et frôle la tempe du chef du groupe, Catharina. Cato explose de rire devant l'air effrayé de la fille. Je joins mon rire au sien puis toute la salle nous regarde et tout le monde félicite Cato de s'être fait respecter comme ça. Il ne dit rien même pas que ce n'est pas lui. Ce n'est pas juste, c'est moi qui fait tout et c'est lui qu'on félicite. Je ne lui parle plus du reste de la journée, ce qui ne représente que quelques heures en fait. On retourne dans notre chambre. Je vois qu'il me regarde pour essayer de trouver pourquoi je ne lui ai pas parlé depuis plusieurs heures, il a l'air triste. Je crois que je vais craquer, et il le sait, je craque toujours devant sa tête quand il est triste, il est si mignon.
-Clove ?
Il ne faut pas que je réponde. Il croirait qu'il a gagné. Il s'approche et s'agenouille devant moi, je suis assise sur mon lit, il relève mon menton pour que je le regarde.
-Clove ? Regarde-moi, s'il te plait...
Oh non, je vais craquer, il a vraiment l'air malheureux et je n'aime pas ça. Alors je le regarde dans les yeux. Il sourit mais pas moi. Il ne m'aura pas si facilement.
-tu me fais la tête parce que je n'ai pas dit que c'était toi qui avais lancé le couteau ? C'est ça.
Je hoche la tête. Mais pourquoi j'ai hoché la tête ? Je devais l'ignorer.
-c'était la première fois qu'une autre personne que toi faisait attention à moi sans y être obligé et j'ai paniqué, je n'arrivais même pas à leur répondre.
J'ai envie de le serrer dans mes bras, je sais que quand il est triste il aime bien me faire un câlin. Et moi aussi j'aime bien ça.
-t'as eu peur ? Vraiment ? Toi ?
Son visage change et il part dans la salle de bain en claquant la porte. Oups ! J'y suis peut être allé un peu fort. Je m'approche de la porte et je l'entends sangloter à travers. Oh non pas ça. Je n'aime pas quand il est triste mais la c'est pire, parce que Cato ne pleure jamais. Je rentre et je m'agenouille devant lui.
-Cato ? Je suis désolée…
-va t'en s'il te plait… je ne veux pas que tu me vois pleurer.
Je le serre dans mes bras.
-j'ai vraiment eu la trouille quand ils m'ont tous regardé et puis je savais qu'il fallait que je leur dise que c'était toi mais j'arrivais plus à parler, je voulais juste que tu me rassure ou un truc du genre mais tu t'es moqué.
-c'est pas grave… si je me suis un peu moquée de toi tout à l'heure c'est parce que je pensais que tu te moquais de moi, que tu mentais pour te trouver une excuse et que j'arrête de te faire la tête. Je suis désolée. Je me sens vraiment mal maintenant.
-c'est pas grave. Tu ne pouvais pas savoir.
-allez viens faut aller dormir.
Je tente de me dégager de ses bras mais il resserre son emprise, donc on se lève toujours accroché. Mais comme il est déjà grand pour son âge et que je ne suis pas très grande, quand on se lève il me soulève alors je rigole et lui aussi. Ensuite il me garde dans ses bras et se jette sur son lit, toujours en me tenant dans ses bras puis il me chatouille. J'éclate de rire en le suppliant d'arrêter puis une personne du centre rentre et m'arrache à Cato et il hurle de me laisser tranquille, que je n'ai rien fait.
n'hésitez pas à laisser une review, ça fait toujours plaisir. qu'elle soit bonne ou mauvaise. à la prochaine pour un nouveau chapitre.
