《Tu peux continuer de gémir autant que tu veux. Personne ne viendra.
Je ne t'aiderais pas.
Dans ton trou la main levé vers le ciel, attendant des doigts étrangés, peux tu ressentir la solitude qui m'a prit aux tripes ces années là ?
Non tu ne peux pas. On m'as souvent dis que le regard des autres est comme la brûlure d'une cigarette sur sa chair mais que ses propre yeux sur son corps est comme une calcination. Pourrais tu ressentir alors ce qu'est la haine de soi-même ?
Dans la glace tout ce consumme.
À la lumière du soir, tes restes disparaissent dans un bruit de cendres.
Et tes pleurs accompagnent celles ci jusqu'à l'astre blancheâtre.
Peux tu ressentir le besoin de t'arracher tes propres chairs trop imposante ?
Ca te bouffera la vie.
Pourquoi pleurs tu ? Tu le ressens ? Tu crois le ressentir ?
Mais tu as tout faux.
Tu ne peux pas imaginer. Mord toi. Va. Bouffe ta graisse comme une plâtré de frites après une semaine sans remplir ton estomacs.
Tu sais. Ce n'est rien. Rien du tout. Mais continue. Enfonce toi un instant avec moi dans la folie. Soit mon compagnon de misère.
Regarde ce croissant de lune, le vois tu ? C'est le sourire du diable. Celui qui te murmure à l'oreille que tu n'es qu'un déchet. Une déception sur patte. Arrête toi malheureux. Le sang coule et l'ivresse te gagne.
Tu le ressens au fond de toi ? Cela ne fait plus rien.
La cire de cette bougie coulant sur ton corps souillé, te murmure t-elle ce qui fait de toi, ni un homme, ni un monstre ?
Tu n'es rien. Rien. Rien. Hurle vas-y: Quand ta trachée explosera soudain sous tes malmenations vocale, tu saura peut-être ce que la mienne ressentait chaque soir. .
Embrasse moi mon ange. Mange mes lèvres souillé par les parole de mon âme pourrie. Laisse moi me consumer en toi.
N'ai pas peur. La fin est loin de nos yeux.》

. .

Mon estomacs danse alors que YongHwa entraine le monstre de la soirée.
Mon esprit refuse de comprendre comment un homme sous les paroles d'un autre c'est lui même mutilé de toute part.
Il a enfoncé des fumigène dans son propre gosier. (Des fumigène !) Avant de ce coudre lui même la bouche. Juste par l'influence du châtain.
"Le monde est fou." Soufflais je en remplissant mon rappel. Le corps n'a, semblerait-il, pas encore était touché par mes collègues. Et ses yeux vides me regardent béatement.
Alors je me penche et clos les paupière de ce 'JungShin'. Qu'il, je vous en prie, puisse regarder vers le chemin du paradis. Et ne pense plus à ce MinHyuk...