L'enfant du cœur.
Voici la nouvelle fic que j'ai commencé, j'espère qu'elle vous plaira.
J'espère mettre rapidement la suite de mes autres fics !
Prologue : Mon fils !
Dans un château perdu au milieu de la campagne anglaise, un jeune homme vêtu de noir se dirigeait rapidement dans les couloirs froids de la vieille bâtisse. Pour être plus exact, il se rendait dans le bureau directorial, car il se trouvait dans une école. En effet, le jeune homme était maître de potions au collège de Poudlard. C'est une école un peu particulière, une école de sorcellerie la meilleure d'Angleterre.
Il franchit les escaliers et frappa à la porte.
-« Entrez ! »
-« Professeur Dumbledore, vous m'avez fait demander ? »
-« Oui Séverus, il semble que notre petit Harry soit en danger ! »
-« En danger ? Est-ce des mangemorts ? »
-« J'ai bien peur que non ! Arabella me fait un rapport tous les deux jour pour me dire comment il va et il semble que depuis plus d'une semaine le petit garçon n'ait pas mis un pied dehors. C'est étrange pour cette période de l'année, j'avoue que cela m'inquiète. »
-« Croyez-vous qu'il soit blessé ? »
-« Je l'ignore mais j'ai un très mauvais pressentiment à ce sujet ! »
-« Qu'attendez-vous de moi ? »
-« Séverus, il est peut-être temps pour vous d'aller rechercher ce que nous avons laissé sur le bas de la porte des Dursley et qui si je ne me trompes vous appartient toujours ! »
-« Je ne peux pas Albus, confiez le à qui vous voulez mais pas à moi, je ne serai jamais un bon père ! »
-« Séverus, se passe-t-il un jour sans que vous ne pensiez à lui ? Se passe-t-il un jour sans que vous ne vouliez le serrer dans vos bras ? Se passe-t-il un jour sans que vous ne vouliez l'entendre vous appeler papa ? »
-« Je… Non pas une minute, il est tout ce qu'il me reste de Lily ! »
-« Tout comme moi, ne l'oubliez pas, Harry est mon arrière-arrière-petit-fils ! »
-« Vous croyez qu'il voudra encore de moi alors que je l'ai lâchement abandonné à la mort de sa mère et de mon meilleur ami ? »
-« Je ne puis vous le dire mais vous devez y aller. Ramenez-le au château, il y sera le bien venu ! Vous le savez ! »
Séverus Rogue quitta immédiatement le château pour Privet Drive. Il avait pris sa décision, son fils était plus important que ses peurs !
Il transplana pour Privet Drive, se dirigea vers le numéro quatre et alla frapper à la porte. Cependant, il ressentit quelques chose d'étrange, un danger guettait.
Un homme obèse vint lui ouvrir, il était rouge et transpirait comme s'il venait de courir un marathon.
-« Mr Dursley ? »
-« Oui, que puis-je pour vous ? »
-« Je suis venu prendre des nouvelles de votre neveu Harry Potter ! »
-« Vous devez vous tromper, je n'ai pas de neveu ! »
Il referma la porte en la claquant.
Quelque chose n'allait pas. Il frappa à nouveau.
-« C'est encore vous ! Je vous ai dit qu'il n'y avait pas de Harry Potter ici. Veuillez laisser ma famille tranquille. »
-« C'est impossible, nous avons laissé un bébé sur le pas de votre porte, il y a un an ! »
-« Vous êtes un des ses anormaux. Nous avons abandonné l'enfant dans un orphelinat le lendemain. Nous ne voulons rien avoir à faire avec des gens de votre espèce. Maintenant si vous permettez, j'aimerais vivre en paix avec ma famille. »
Il lui claqua la porte au nez. Son unique fils avait été abandonné dans un de ses affreux centre pour enfants sans parents. Il retourna sans attendre à Poudlard et courut jusqu'au bureau du directeur. Il ouvrit à la volée la porte.
-« Albus ! Ils ont abandonné mon fils dans un orphelinat. Harry est tout seul ! »
-« Séverus, calmez-vous ! Que se passe-t-il ? »
-« Je suis allé les voir et ils m'ont dit que le lendemain du jour où nous leur avons confié Harry, ils l'ont conduit dans un orphelinat ! »
-« Quoi c'est impossible ! »
-« Mais je vous jure ! »
-« C'est impossible parce que les barrières magiques ne mentent pas, elles disent que Harry est dans la maison. Séverus, appelez Minerva, nous y retournons ! »
Fumseck s'envola.
-« Qu'y a-t-il compagnon ? Tu veux venir avec nous ? »
Le phœnix hulula joyeusement.
-« Bien, tu nous accompagnes ! Il te manque à toi aussi ! »
Minerva Mc Gonagall apparut dans le bureau l'air intrigué.
-« Que se passe-t-il Albus ? Pourquoi m'avoir demandée ? »
-« Il semblerait que la vie de Harry soit en danger ! »
-« Mais comment ? »
-« Sa famille ! »
-« Je vous l'avais dit Albus qu'ils avaient l'ai de gens peu recommandables ! »
-« Je sais Minerva mais j'espère toujours que vous vous trompiez ! »
-« Moi aussi Albus ! »
Les trois sorciers accompagnés d'un phœnix se dirigèrent hors du château et transplanèrent pour Magnolia Crescent !
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A Privet Drive, un petit garçon couvert de bleus, de sang et de larmes se recroquevillait dans le placard où l'on venait de l'envoyer alors qu'une personne frappait à la porte. Il avait malgré lui entendu la conversation et avait reconnu cette voix, elle ressemblait étrangement à celle de son papa, celui qu'il n'avait plus vu depuis longtemps. Des larmes coulèrent à nouveau lorsqu'il était reparti sans savoir qu'il était là. La porte de sa « chambre » s'ouvrit à nouveau.
-« Alors comme ça les monstres de ton espèce se souvienne de toi ! »
-« Mon papa pas monstre ! » cria-il difficilement à son oncle !
Son oncle le tira pas les cheveux avant de l'envoyer valser à l'autre bout de la pièce. Le petit Harry était courbé à cause de la douleur, sous la violence du choc, ses plaies s'étaient rouvertes.
-« Je vais t'apprendre à me répondre ! »
Il détacha sa ceinture et frappa le petit garçon de toutes ses forces. Celui se roula en boule pour essayer d'échapper à la douleur. Les coups continuèrent à pleuvoir créant de nouvelles coupures sur le dos de l'enfant qui n'avait même plus la force de réagir.
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Les sorciers se dirigèrent rapidement vers la maison mais dès qu'ils entendirent les bruits de coup, leur sang se glaça. Séverus fut le premier à agir d'un coup de baguette, il fit exploser la porte d'entrée. Il vit l'oncle de son fils frapper sans relâche un tout petit garçon qui semblait à peine en vie. Albus envoya valdinguer l'homme loin de Harry tandis que Séverus se précipita sur Harry.
-« Harry, mon petit ange ! »
Un faible « papa » traversèrent les lèvres de l'enfant avant qu'il ne perde conscience.
A suivre.