◊ Bonjour très cher lecteur ou lectrice,
◊ La fanfiction qui suit est inspiré de deux œuvres, soit du personage d'Alois Trancy de Kuroshitsuji et de Stanislas Demers inspiré du roman Cétacia. Tous les deux ne m'appartiennent pas, ils sont à Yana Toboso et Mel Gosselin.
◊ Le fanfiction qui suit peut contenir des spoilers, pour ceux et celles qui n'ont pas envie de se faire « péter leur fun », lisez après avoir lu le roman Cétacia ou d'avoir regardé l'anime Kuroshitsuji. Elle contient aussi des caractères matures, ainsi que du Boys' love, si ça vous dégoûte, changer de page xD Je m'excuse pour les fautes, c'est pas mon fort…. C'est ma deuxième fanfiction . Merci de me laisser des commentaires, je vous adore !
PAIN IS MY PLEASURE
Chapitre 1
Savoir ce que l'on veut.
-Qu'est-ce que tu m'as fait ALOIS! Hurla Stanislas
-Ce que je t'ai fait...? Mieux vaut que je ne te le dise pas...Tu risques de m'égorger, de me tuer, de me décapiter... De lancer mes membres par la fenêtre, avec un air enragé... Non, je n'ai pas envie de te le dire... À simple condition, que tu me donnes un baiser et de promettre de ne jamais m'en vouloir...
-J'accepte, mais n'omet aucun détails et détache moi!
Ce qui s'est produit hier…
Sur ce lit au drap blanc, sur cette pureté, je m'amuserai comme je ne l'ai jamais fait. J'irai droit au ciel sans lois, sans frontières, ni limite et à la vitesse que je voudrai. J'expérimenterai ce qui me fait face de fantasmes, ces doux rêves qui me charment, je les réaliserai! Oui, je ferai l'amour avec un vierge!
Alois Trancy ferma avec conviction son calepin de voyage. En effet, le jeune maître ne se trouvait plus à Londres, son majordome et lui-même était partit pour Boston afin de changer d'air ; Caprice de l'Earl Trancy. Ils avaient donc fait le voyage en bateau, chose qui parut bien longue à Alois. Désormais à Boston, ils avaient pris une auberge de haute gamme.
Ce n'était pas avec joie que Claude avait accepté ce voyage, mais bien parce qu'il devait lui obéir. Il ne comprenait en rien pourquoi le jeune Trancy souhaitait aller au États-Unis. Peut-être parce qu'il avait appris qu'avant 1776, ce pays appartenait à l'Angleterre? Claude en doutait, Alois était mauvais élève. Il se fichait des cours, préférant les faire à sa manière, il était si irresponsable. Savait-il combien d'enfants lui enviaient de pouvoir posséder un professeur privé? Claude remonta ses lunettes, Alois n'avait pas toujours été riche, peut-être qu'il le savait en fin de compte...
Celui-ci le fixait avec attention, en tenant son journal contre lui. Il lui adressait un sourire avant de passer sensuellement sa langue sur sa lèvre supérieur, chose qui l'agaçait profondément.
-Claude...
-Yes, your Highness?
-Je souhaite me promener en ville, mais sans toi.
-Comme vous le voudrez, mais ne vous éloignez pas trop, restez sur la grande rue.
Connaissant Alois, le majordome savait qu'il allait commettre un de ses coups stupides. Il ne pouvait l'empêcher, de toute manière ce n'était point de ses affaires. Tant qu'il pourrait avoir son âme... Tel était la pensée d'un démon.
Alois se promenait sur la rue principale, écoutant les conseilles de son majordome. Il regardait défiler ces personnes, toutes aussi différentes, Alois se faisait dévisager par tout ces gens, qui se demandait ce qu'un noble faisait ici. Il était facile de reconnaître son statut sociale vu ses vêtements... Le blondinet leur faisait des grimaces afin de se venger de leurs regards vexant. Il s'assit sur un trottoir, le chemin en pavée, il s'ennuyait à en mourir. Tous ces gens étaient si ordinaires, ils étaient tous pressés, courant d'un sens puis de l'autre. Non, Alois n'avait pas envie de kidnapper quelqu'un de moche. Toute sa vie tournait autour de l'amusement. Chaque choix qu'il faisait avait un impact direct avec son propre plaisir. Il tapait impatiemment avec ses pieds sur le sol... Lorsqu'il releva la tête, il fut surpris d'apercevoir un petit garçon blond, qui marchait avec une bande de racaille. Celui-ci, lui ressemblait drôlement, Alois en fut frappé. Il se releva en hâte, poussant les passants afin d'essayer de le poursuivre.
Il marchait vite, suivant ce groupe, Alois courait tout en gardant son regards fixé sur lui, il l'avait trouvé... Oui... C'était ce garçon qu'il voulait, même s'il ne l'avait vu que de dos...
