Touhg Act

Auteur: Isabel Evelyn

Traductrice: Flick-Flack

Résumé: À l'âge de six ans, Harry fuit sa famille abusive et est considéré mort par la communauté sorcière. Mais à treize ans, il réapparait soudainement.

Disclaimer: Rien n'est à moi, tout est à JK Rowling et l'histoire appartient Isabel Evelyn. Je n'ai que la traduction dont j'ai obtenu l'accord auprès de l'auteur.

Prologue

Par un magnifique Lundi matin, à 5 :30, une sonnerie se déclencha, retentissant à travers le crépuscule. La source de ce bruit interdit était un petit réveil blanc dans la chambre du propriétaire du 4, Privet Drive. La main de Vernon Dursley surgit de sous les couvertures et s'abattit sur le petit réveil blanc jusqu'à obtenir son silence. Lentement, il repoussa les chaudes couvertures et se dirigea vers la salle de bain afin de se préparer pour aller travailler.

« … Saleté de matin… Je hais les lundis… » Marmonna-t-il tandis qu'il tentait de rester aussi calme que possible.

Vernon prit sa douche, se brossa les dents et se rasa. Il ne remarqua pas la chouette effraie marron clair, passée près de la fenêtre avec ce qui semblait être une lettre qu'elle tenait dans son bec. Alors que le soleil s'élevait dans le ciel, le son d'un enfant pleurant ainsi que des bruits de pas accourants retentirent dans toute la maison. Vernon ajusta sa cravate et se dirigea vers la cuisine pour prendre un rapide petit-déjeuner. Pétunia, la femme de Vernon, nourrissait leur fils, Dudley, qui refusait de se laisser faire.

Après un rapide petit-déjeuner, Vernon embrassa sa femme et son fils puis leur dit au revoir. Dudley pointa la fenêtre du doigt. De nombreux hiboux volaient dans le ciel. Ce n'était pas un jour comme les autres. Vernon décida de faire comme si de rien n'était.

Vernon saisit sa mallette, son manteau, son chapeau et ouvrit la porte. La vue qui s'offrit à lui était des plus inattendues et le coupa dans sa lancée. Sur le palier, enveloppé dans de chaudes couvertures, se trouvait un bébé aux cheveux noirs corbeau possédant sur le front une coupure. Pétunia s'avança vers la porte afin de découvrir la raison de l'arrêt soudain de son mari. Tournant la tête là où son mari regardait, elle manqua de s'étouffer.

« C'est, c'est impossible, » dit-elle.

L'enfant ouvrit les yeux. Vernon et Pétunia regardèrent les magnifiques yeux verts émeraude de leur neveu. Pétunia se pencha pour ramasser une lettre qui était posée sur l'enfant.

« Bon sang, que je peux haïr les lundis, » dit Vernon tandis qu'il lisait par-dessus l'épaule de sa femme.

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Voilà ma nouvelle traduction, j'espère que vous l'apprécierez… Je sais que c'est très court mais ce n'est que le prologue, le prochain chapitre sera beaucoup plus long et les autres sont toujours plus longs au fil du temps. Cette fiction n'est par terminée et comporte pour l'instant 7 chapitres.

À bientôt,

Flick-Flack