« …j'aime ! »
Par Amy Quirrell
Je m'en rappelle comme si c'était hier…Je me demande encore comment ça c'est passer ! Moi ! J'ai aimé… ! Tout à commencé un jour où j'était sur une affaire qui me prenait du temps…Je me demande encore comment ai-je eu le temps de me consacré a celle-ci…Elle était arrivée presque paniquée à Baker Street. Watson, toujours fidèle, était présent à mes coté. Nous discutions de notre fameuse affaire lorsque Madame Hudson la fit entrée. Des cheveux d'un noir profond des yeux d'un bleu-vert intense…Une robe simple marron-violette des mains manucurés, des lèvre douces et pleines un nez sans défaut. La « Grâce » par excellence ! Après examen du trouble qui l'avait amené à me consulter et en dépit de l'affaire que j'avais en cours je lui proposait de me rendre chez elle le lendemain. Bien sur ce n'était pas du tout l'affaire en elle même qui m'intéressait…Watson en fut très étonné d'ailleurs !
« Nous nous verrons demain Miss Bakerfield ! » Oui demain…C'était très étrange…Cette affaire n'étais pourtant pas d'une attirance particulière et… Le lendemain donc je me rendait au 123c Prescott Street. Le matin j'avais chargé Watson d'aller prendre quelque renseignement de ma part à l'un de mes nombreux indicateurs pour avancé sur notre affaire plus urgente. Je sonnait donc et un majordome m'ouvrit. J'entendit le son d'un piano et ce dernier me fit entré au salon. La douce mélodie me parvenant au oreille comme une douce caresse. Je vit donc Miss Bakerfield les yeux fermé jouant du piano. Au début je voulu la laisser continuer mais pour être honnête je n'avais nullement envie de m'attarder ici. En quelque enjambé je fut à sa hauteur et lui posait une main solide et ferme sur son épaule. Elle sursauta.
« Ho ! Je ne voulait pas vous effrayez vous vous souvenez je suis….
-Je l'est retrouver !
-Pardon ?
-Mon Collier ! Je l'est retrouver ! Je suis désolé je suis très distraite je n'aurais pas du vous faire perdre votre temps si précieux ! Si vous saviez comme…
-J'en sui ravie ! »
Quel était donc cette mystification ! Ce payait-elle ma tête ! Je m'étais déplacé pour rien ! Maudite soit-elle ! Je n'y comprenais rien du tout ! A quoi jouait-elle donc ? Ce jouait-elle de moi ! Je vit alors son visage devenir blême…En l'occurrence elle ne devait pas ce sentir très bien. Sûrement les effet de son gène… « Cela ne va pas ? demandais-je. Vous avez l'air pâle !
-Moi non pourquoi ? Disons que je suis ennuyer c'est tous.
-Ne le soyez pas cela peut très bien arriver à tous le monde. (Enfin...si ont veux…)
-Vous êtes…Gentil…me dit-elle avec un sourire timide.
-Je ne suis pas gentil c'est la vérité tous simplement ! (Ha! les femmes…tous des intrigantes)
-Heu oui vous avez raison !
-Et bien je ne m'attarderais pas plus….(J'ai vraiment autre chose à faire que de m'attarder ici)
-Heu…Vous…vous ne voulez pas une tasses de thé avant de partir !
-Allons donc ! Je ne veux pas abusez de votre temps précieux… (Plutôt de MON temps précieux)
-Mais non au contraire cela me ferait plaisir !
-(Décidément elle ne va vraiment pas bien…Qu'a-t-elle donc à vouloir me retenir ainsi ?) Vous avez quelque chose qui ne va vraiment pas !
-Pourquoi dîtes vous sa ?
-(Son visage ! Il est tellement pâle tout d'un coup !) Vous êtes toute pâle ! Voulez vous que j'appelle mon ami le docteur Watson ? Demandais-je alors que ma main caressait délicatement sa joue pâle….C'était une drôle de sensation d'ailleurs… -Je t'aime !
-Quoi !(Qu'est-ce qu'elle vient de dire !)C'était donc la raison de son trouble. Mon cœur battait à un rythme effréné ! Je ne put que la couver du regard…Mais je devais en être sur… -Je vous demande pardon ?
-Je….Je vous….Je vous aime… -(Ca par exemple ! Voilà donc le fin mot de l'histoire ! Elle à fait tous ça pour ce déclaré !) Et vous avez inventer toute cette histoire rien que pour le seul but de me dire ça !
-Je…Je ne l'est pas inventer ! C'est vrai… !
-(Regard sincère…) Alors un prétexte….
-Oui !
Comment gérez la situation ? Jamais personne ne m'avait dit ces mots au paravent… C'était un sentiment très étrange que d'être aimé et pour la première fois de ma vie je me sentait confus, désorienté. Mon cœur et ma respiration devenait saccadé et je ne m'était pas rendu compte que je m'était approché d'elle…Ho si près ! Je lui pris sa main douce et ne put m'empêché de dire :
-Je n'est jamais aimer…Et je ne savait pas que j'étais aimer…Vraiment troublant….
J'étais troublé, je ne savait pas quoi faire…J'avais oublier Watson, mon affaire et tous ce qui m'entourais ! Je ne voyait qu'elle…ces bras ce refermèrent sur ma taille et je ne put que répondre à cette étreinte. Une profonde douceur avait envahit la pièce. Je sentait sa tête blottit sur mon torse puit me regardé au plus profond de mon âme. Ses lèvres m'attiraient inexorablement et j'y pressaient les miennes…Délicates et subtiles…Le baiser était doux, sensuel puis je le sentit plus envoûtant et plus intense…Et à mesure qu'il ce faisait plus empressant mon esprit me rappela à l'ordre….Je devais arrêté tout de suite… !
