Disclaimer : Rien de ce qui vient de l'oeuvre ne m'apartiens
Paring : Harry/Drago ; Ron/Blaise ; et bien d'autres
Rating : T au début puis M
Prologue
Durant sa première année à Poudlard, Harry Potter empêcha son professeur de Défense Contre les Force du Mal, Quirinus Quirrell, alors possédé par Voldemort, de s'emparer de la pierre philosophale.
La pierre philosophale est une gemme très ancienne dont plus personne ne se souvient de l'origine ni du créateur probable. Tout ce que sait la communauté sorcière vient d'un parchemin vieux de mille ans, durant l'époque de Merlin.
Une chose que l'on peut vous révéler est que la pierre possède une conscience qui lui sert à se choisir un maitre à qui elle apportera Gloire et Perpétuité. Tous les anciens maîtres de la gemme écarlate ont leur nom connu de tous même plusieurs siècles après leur mort.
Son dernier maître ? Merlin lui-même.
À la mort de ce dernier, la pierre philosophale s'endormit d'une certaine torpeur, dans l'attente d'un être digne qu'elle le serve.
S'ils l'avaient su, peut-être que les sorciers n'auraient pas été aussi désemparé de sa disparition après l'arrestation de Quirrell.
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Harry Potter, celui qui avait protégé la gemme, fut assez perturbé de l'incident. Mais il ne put s'en inquiéter longtemps au vu des nombreux changements qui allaient s'opérer chez sa famille moldu, à son retour.
Le premier changement fut chez sa tante Pétunia Dursley.
Elle cessa, du jour au lendemain, d'exprimer le moindre signe de mépris ou de dégout à l'égard du jeune sorcier, tout en l'exemptant de ses habituelles corvées, si ce n'était de maintenir sa chambre, l'ancienne seconde chambre de son cousin Dudley Dursley, un minimum ranger et d'arroser les fleur le soir. Ce fut réellement perturbant. Pire encore, elle cessa de céder aux caprices de son fils.
Ce fut à ce moment-là que le jeune Potter remarqua le changement de comportement de son oncle, Vernon Dursley, qui ne faisait plus rien allant à l'encontre de la volonté de sa femme. Ce n'était plus lui qui portait la culotte à la maison.
En plus du changement de comportement, il y eu aussi une différence nette dans son apparence physique à la fin de l'été. Il avait échangé sa graisse pour du véritable muscle et s'était « acheté » un cou, devenant ainsi encore plus intimidant que lorsqu'il n'était qu'une grande montagne de graisse suintante.
En cette fin d'été, l'apprenti sorcier était encore choqué d'avoir vu son oncle muni d'un cou humain que sa tante l'acheva on lui imposant sa présence lors de sa sortie avec les Weasley pour faire leur course de matériaux scolaires.
Elle avait certes été polie ce jour-là mais sans réel courtoisie, il ne fallait trop en demander non plus, et les avait obligés à lui faire visiter le Chemin de Traverse de long en large.
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Par la suite, alors que Potter faisait de son mieux pour sauver les nés-moldu du basilic de Tom Jedusor, Pétunia Dursley fit fortune en visitant tous les plus grands casinos du monde.
Avec cet argent, Mme. Dursley acheta les trois propriétés qui encadraient sa maison, les fit raser, fit construire des murs de pierre à hauteur d'homme et planta de hauts et denses hais de bambou, afin de préserver leur intimité.
Elle fit ensuite aménagée une serre et un petit étant entouré de pierre lisse.
À son retour de sa deuxième année à Poudlard, Harry en était resté bouche bé un long moment avant que sa tante ne le convoque pour lui exiger un récit détaillé de son année.
Le jeune sorcier ne put refuser et se vit narrer tout ce qui s'était passé, incapable d'omettre le moindre petit détaille. Mais Potter n'eut, de nouveau, point le temps de s'interroger sur son propre comportement que sa tante lui proposa d'engager Dobby comme domestique rémunéré, logé et nourrit et surtout habillé d'un uniforme.
Le jeune garçon ne put cacher sa reconnaissance et offrit un grand sourire à sa tante en signe de gratitude et dit un grand « Oui » d'approbation.
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Quelques jours plus tard, et grâce à l'aide de Dobby, Mme. Dursley emmena son neveu à la clinique privée d'un discret médicomage qui devint le consultant du jeune Potter.
Sa tante voulait que Potter comble rapidement les dix années de malnutrition qu'il avait vécue chez eux.
Le jeune sorcier ignore comment l'entrevu ne fit pas les gros titres de la presse sorcière.
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Une autre initiative étrange de cet été-là fut d'inscrire Potter à un cours de tennis avec un soldat en formation qui allait aussi lui apprendre à se battre au corps-à-corps.
Edhan Jiu était un anglais d'origine japonaise. Âgé de 26 ans, M. Jiu était du genre jovial et sociable. Harry vint rapidement à le considérer comme un grand frère.
De son côté, Dudley s'amusait comme un con à son club de boxe.
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C'était tout de même beaucoup à avaler, pour le jeune Potter, après dix années d'enfer solitaire.
Il se confia alors à ses amis, à leur retour à Londres, après une troisième année encore plus mouvementé que les précédentes. Mais, aussi perdu que lui, Ronald Weasley et Hermione Granger, ses camarades d'aventure, ne purent que lui conseiller d'accepter et d'en profiter car ces changements semblaient aller pour durer.