Bonjour tout le monde.
Je viens de finir Les Âmes vagabondes (the Host pour le titre original) de Stephenie Meyer. Je l'ai littéralement adoré. Quand je l'ai finit, je me suis dit « non je veux savoir la suite, ça ne peut pas se terminer comme ça », j'attends avec impatiente la suite et le film (à ce qu'il parait il va bien avoir lieu ?) Alors parce que je ne pouvais pas attendre, je me suis mise à écrire pour combler le manque. J'espère que ça vous plaira et que ça vous feras patienter aussi. (^^)
Assez de balivernes maintenant je vais vous parler de ma fic.
J'ai voulu combler l'ellipse entre le chapitre 58 et le chapitre 59. Le moment au Gaby est dans son caisson cryogénique. J'ai appelé ma fiction, LES ÂMES SŒURS pour des raisons que vous comprendrez en me lisant. J'espère que vous apprécierez cette histoire qui devrait avoir environ 7 chapitres.
Pour suivre l'esprit du livre, j'ai décidé de commencer l'histoire par un poème. J'ai essayé de rester la plus fidèle possible à l'atmosphère du livre et de me raccrocher sans cesse aux indices donnés dedans. J'espère que j'y serais arrivé. La seule différence frappante sera que j'écris au travers de différents points de vue, contrairement à Stephenie Meyer qui n'écrit qu'au travers de Vagabonde.
Disclamer : tout appartient à Stephenie Meyer, je ne fais que combler ma frustration et la votre.
Personnage : aucuns nouveaux et différents POV.
LES ÂMES SOEURS
La suite du chapitre 58 : la fin, car tout commence par la fin, toujours...
Dit de la force de l'amour
Entre tous mes tourments entre la mort et moi
Entre mon désespoir et la raison de vivre
Il y a l'injustice et ce malheur des hommes
Que je ne peux admettre il y a ma colère
Il y a les maquis couleur de sang d'Espagne
Il y a les maquis couleur du ciel de Grèce
Le pain le sang le ciel et le droit à l'espoir
Pour tous les innocents qui haïssent le mal
La lumière toujours est tout près de s'éteindre
La vie toujours s'apprête à devenir fumier
Mais le printemps renaît qui n'en a pas fini
Un bourgeon sort du noir et la chaleur s'installe
Et la chaleur aura raison des égoïstes
Leurs sens atrophiés n'y résisteront pas
J'entends le feu parler en riant de tiédeur
J'entends un homme dire qu'il n'a pas souffert
Toi qui fus de ma chair la conscience sensible
Toi que j'aime à jamais toi qui m'as inventé
Tu ne supportais pas l'oppression ni l'injure
Tu chantais en rêvant le bonheur sur la terre
Tu rêvais d'être libre et je te continue.
Paul Eluard
