Alors voila un petit OS (vraiment très petit) en réponse au défi de Crazy Av Froid/Frais. J'espère qu'il va vous plaire. Bonne lecture !

Ce que préférait Marinette l'été c'était rester dans sa chambre toute la journée allongée sur le parquet frai à lire, dessiner, découper, bricoler. Parfois Alya l'emmenait faire un tour. Souvent accompagnés d'Adrien et Nino, sous le prétexte que les deux métisses étaient en couple. Elle se retrouvait d'ailleurs le plus souvent seule avec Adrien derrière leurs deux meilleurs amis. Ils allaient chez André le glacier des amoureux et bien qu'ils prenaient chaque fois une coupe séparé elle voyait bien qu'André les fixait imaginant sans doute la composition parfaite pour elle et Adrien. Enfin elle espérait. Ces glaces avaient toujours le don de la rafraîchir alors qu'elle bouillonnait de l'intérieur et que son cœur battait si fort qu'elle se demandait encore comment Adrien fessait pour ne pas l'entendre. Et un jour Alya avait proposé d'aller à la piscine. Là Marinette avait carrément paniqué. Car qui dit piscine dit mayo et Marinette ne savait pas lequel choisir. Mais ce qu'elle n'avait pas pensé c'était à Adrien. La jeune fille c'était arrêtée de respirer dès qu'elle avait vu son camarade. Elle savait que le jeune homme était parfait. Elle devait même avoué qu'elle avait tenté d'imaginer le corps d'Adrien dans des moment de pure égarement. Mais jamais au grand jamais elle n'avait pensé qu'Adrien puisse être plus beau que dans ses rêves les plus fous. Elle ne pensait pas que le basket et l'escrime étaient des sports aussi physique. Elle songea que son père devait lui faire pratiqué de la musculation pour ses séances photo. Oui cela devait être à cause de cela qu'il avait un torse si parfait. Mais elle n'eut pas le temps de remarqué qu'Adrien c'était lui aussi figé à la vu de Marinette puisqu'Alya l'avait poussé dans la piscine ce qui lui avait tout à fait remis les idées en place.

Mais ce que Marinette adorait par dessus tout c'était ses soirées. Quand la chaleur étouffante avait laisser place à une brise fraîche. Elle se mettait alors sur son balcon, accoudé à la balustrade et observait les étoiles. Chat Noir la rejoignant parfois, souvent même, et ils discutaient pendant des heures allongé sur le sol frais en regardant le firmament.